A force de lire Phoebe qui manque d'inspiration en ce moment, je me suis dit que, finalement moi aussi j'avais un blog. En jachère grave le blog. Je viens de lire mon dernier billet et me suis rendu compte qu'il était âgé d'un an. Ca commence à faire. Autant dire que je ne risque pas trop d'être lu à moins que les gens aient des trucs genre je suis averti par une sirène sur l'ordi à chaque parution de n'importe quel blog sur la planète.
Ce préambule passé, je pourrais reprendre quasi in extenso le post précédent. Parce que c'est encore une période de ponts et que pendant ces longs week ends, je bosse pour les autres.
Pas de déménagement cette année. Ca manque, hein ? Histoire de compenser, je bricole.
Le 1er mai, a eu pour thème le placo. Chez des amis qui ont acheté une baraque genre ruine où tout est à refaire sauf que leur budget est trop serré pour faire appel à des professionnels pour tout. alors on s'y colle dès qu'on a un peu de temps. Donc là c'était le placo à découper et à poser. Petite précision : je suis assez un manche en bricolage mais au royaume des aveugles... Alors on m'a refilé un beau cutter et une règle et en avant ! Pour la pièce là, il faut un bout de tant sur tant et avec un décroché parce qu'il y a une prise, une poutre au plafond ou que sais-je, le but du jeu étant de faire le moins possible de chutes. Après, étalage de colle sur le mur. Ca c'est rigolo. On développe son esprit créatif avec sa truelle. Le plus dur après est de poser la plaque comme il faut parce que la fourbe à tendance à descendre toute seule et à déborder sur la plinthe qu'après ça jointe plus sur le mur. On était 5 et on s'en est vu. J'avais été prévenu pourtant. Par mon frère, ex maçon reconverti dans la vente de bons produits surgelés. Galère mais rigolade quand même.
Le 8 mai, j'étais chez ma reum. Là, c'était l'isolation sous le toit qui était à refaire. Donc on change et on se met à la laine de verre. Qu'il faut également découper parce qu'il y a une charpente à contourner. Et c'est à qui q'on refile le cutter et le mètre ? Moins de rigolade mais le plaisir de se voir était bien présent.
J'envisage donc de me reconvertir. A suivre...
mardi, mai 12, 2009
vendredi, mai 02, 2008
Pont
Enfin quelques jours de repos. Repos de courte durée car, devinez ce que je fais demain? Je vous le donne en mille. Un déménagement. Cette fois, c'est Soleildoctobre qui s'y colle. Mais qu'ont tous ces gens à investir dans la pierre? Tant mieux pour eux en tout cas, je suis très heureux pour eux. Quoi qu'il en soit, je vais encore couper à ma traditionnelle grasse matinée, et ce, pour la deuxième fois de ce long weekend. Ben oui, ce matin il a bien fallu émerger pou préparer le petit déjeûner de Monica qui, la pauvre, n'a pas droit au pont. En même temps, elle était en congés depuis le début de la semaine. Mais plaignez la les gens. Mais je m'égare.
Donc demain matin, réveil programmé tôt, vérification de la carte pour ne pas louper le lieu de rendez vous et go ! Que ne ferait on pas pour un café et des croissants gratuits. Sans compter la pizza du midi. Miam !!! En plus, ce sera le plaisir de porter de vrais meubles d'ébéniste, profession du petit mari de Soleil. Un régal vous dis je. En plus, les connaissant, ce devrait se passer dans une ambiance qui, sans être totalement festive (faut bosser je vous le rappelle), sera des plus charmantes. Comme il fera beau (climat méditerranéen merci), tout ira pour le mieux. Ne me plaignez donc pas les gens.
Pour ceux qui en étaient restés au post précédent, tout est rentré dans l'ordre au boulot. La vieille bique s'est calmée, sans doute suite à sa semaine de vacances. Depuis, elle est quasiment charmante. Chiante mais sans plus en fait. Donc, là aussi, tout va pour le mieux. Par contre, la semaine prochaine, pas de pont. Il fallait quelqu'un de permanence au boulot et ça m'est tombé dessus. Je ne pourrai sans doute pas faire grand chose mais j'y serai, surtout pour répondre au téléphone que, justement, je ne peux pas faire grand chose et qu'il faut attendre que mes charmantes collègues reviennent, donc rappelez lundi, merci. C'est marrant tout de même comme ces deux jours de permanence sont tombés sur les deux personnes qui sont arrivées en dernier. M'enfin, j'aurai quand même le lundi. Ca compense.
Bon weekend à tout le monde et mes plus repectueuses pensées à ceux qui vont bosser quand même.
Bonne journée les gens.
Donc demain matin, réveil programmé tôt, vérification de la carte pour ne pas louper le lieu de rendez vous et go ! Que ne ferait on pas pour un café et des croissants gratuits. Sans compter la pizza du midi. Miam !!! En plus, ce sera le plaisir de porter de vrais meubles d'ébéniste, profession du petit mari de Soleil. Un régal vous dis je. En plus, les connaissant, ce devrait se passer dans une ambiance qui, sans être totalement festive (faut bosser je vous le rappelle), sera des plus charmantes. Comme il fera beau (climat méditerranéen merci), tout ira pour le mieux. Ne me plaignez donc pas les gens.
Pour ceux qui en étaient restés au post précédent, tout est rentré dans l'ordre au boulot. La vieille bique s'est calmée, sans doute suite à sa semaine de vacances. Depuis, elle est quasiment charmante. Chiante mais sans plus en fait. Donc, là aussi, tout va pour le mieux. Par contre, la semaine prochaine, pas de pont. Il fallait quelqu'un de permanence au boulot et ça m'est tombé dessus. Je ne pourrai sans doute pas faire grand chose mais j'y serai, surtout pour répondre au téléphone que, justement, je ne peux pas faire grand chose et qu'il faut attendre que mes charmantes collègues reviennent, donc rappelez lundi, merci. C'est marrant tout de même comme ces deux jours de permanence sont tombés sur les deux personnes qui sont arrivées en dernier. M'enfin, j'aurai quand même le lundi. Ca compense.
Bon weekend à tout le monde et mes plus repectueuses pensées à ceux qui vont bosser quand même.
Bonne journée les gens.
mardi, avril 08, 2008
Ca devait arriver
Ben oui, c'était trop beau. Tout roulait trop bien au boulot. Jusqu'à aujourd'hui. Rien de bien grave, hein? Mais bien pénible.
Tout est parti de l'irruption dans le bureau de la préposée aux banques, une vieille bique lunatique qui, je crois, lfippe à l'idée de se retrouver à la retraite àla fin de l'année et qui fait donc suer le monde à ses heures perdues. Bref, cette dame était dans tous ses états parce qu'il y avait un trou dans les comptes. En gros, un chèque a été comptabilisé chez nous, posté lais n'a pas été crédité.
Et, bien sûr, c'est le seul truc dont j'ai oublié de faire une copie pour les archives depuis que j'y suis.
Ma seule erreur.
Et ça m'est brutalement retombé dessus.
Cette abrutie m'a mis une pression de tous les diables en tirant une gueule de six pieds de long, sans compter les visites, pas aimables, toutes les 5 minutes pour me pourrir. et pas moyen de mettre la main sur cette foutue pièce. J'ai quand même retrouvé le bordereau du distingo de l'envoi.
J'en ai profité pour aller sur le ternet pour vérifier que c'était bien arrivé. Appel à la banque aussi pour voir si ce n'était pas eux qui avaient lourdé ce foutu chèque.
L'affaire suit son cours.
En attendant, ça m'a bien pourri une journée pourtant bien commencée.
Heureusement que je peux compter sur une amie fidèle pour me changer les idées en prenant la Lupo pour aller faire des courses à Carrouf. Promis, je lui garde la Reloue quand elle veut. Et je vais chercher ses colis à la Poste.
Par contre, pas de Monica ce soir. Tant pis, il y aura bien des inepties à la téloche. Et j'ai plein de trucs à lire sur le ternet.
Bonne soirée les gens.
Au passage, désolé pour la mise en page un peu à la portnaouak. Pas ma faute. C'est blogger qui en a décidé ainsi. Pas ma journée je vous dis.
Tout est parti de l'irruption dans le bureau de la préposée aux banques, une vieille bique lunatique qui, je crois, lfippe à l'idée de se retrouver à la retraite àla fin de l'année et qui fait donc suer le monde à ses heures perdues. Bref, cette dame était dans tous ses états parce qu'il y avait un trou dans les comptes. En gros, un chèque a été comptabilisé chez nous, posté lais n'a pas été crédité.
Et, bien sûr, c'est le seul truc dont j'ai oublié de faire une copie pour les archives depuis que j'y suis.
Ma seule erreur.
Et ça m'est brutalement retombé dessus.
Cette abrutie m'a mis une pression de tous les diables en tirant une gueule de six pieds de long, sans compter les visites, pas aimables, toutes les 5 minutes pour me pourrir. et pas moyen de mettre la main sur cette foutue pièce. J'ai quand même retrouvé le bordereau du distingo de l'envoi.
J'en ai profité pour aller sur le ternet pour vérifier que c'était bien arrivé. Appel à la banque aussi pour voir si ce n'était pas eux qui avaient lourdé ce foutu chèque.
L'affaire suit son cours.
En attendant, ça m'a bien pourri une journée pourtant bien commencée.
Heureusement que je peux compter sur une amie fidèle pour me changer les idées en prenant la Lupo pour aller faire des courses à Carrouf. Promis, je lui garde la Reloue quand elle veut. Et je vais chercher ses colis à la Poste.
Par contre, pas de Monica ce soir. Tant pis, il y aura bien des inepties à la téloche. Et j'ai plein de trucs à lire sur le ternet.
Bonne soirée les gens.
Au passage, désolé pour la mise en page un peu à la portnaouak. Pas ma faute. C'est blogger qui en a décidé ainsi. Pas ma journée je vous dis.
dimanche, avril 06, 2008
mon sport favori
Et devinez ce que j'ai fait hier?
Mes fidèles lecteurs auront deviné. Il s'agit de mon second métier qui tourne à la vraie vocation lje trouve, c'est à dire le déménagement. Ben oui. Hier, il s'agissait d'une amie, Sabine, qui vient de s'acheter un appart tout neuf tout mignon. Et quand je parle de neuf, c'est vraiment du neuf. absolument pas de travaux de prévus, si ce n'est l'installation d'une cuisine équipée. Mais je m'égare là.
Revenons en donc à nos moutons. Hier matin donc, au mieu de la traditionnelle grasse matinée du samedi, réveil super tôt. Monica, qui devait aller chercher un colis à la poste, est restée couchée en attendant que ça ouvre. Moi, non. Donc, debout à pas d'heure, caféination sans petit déjeûner, prévu sur place, fringues un peu pourries (le déménagement ne nécessite pas de glamouritude) et let's go. Arrivé sur place, la grande zone. Des cartons faits, d'autres à faire et pas mal de démontage de meubles divers. Heureusement que Sabine avait prévu pas mal de main d'oeuvre et que, parmi tous ces gens, il y en avait d'équipés d'outils. Donc tout avançait assez vite. Puis, il a fallu aller chercher le camion. Tout neuf le camion. Pas la moindre égratignure. Il allait falloir faire gaffe, les loueurs étant particulièrement pointilleux là dessus. Par contre, pour atteindre les 100 km légaux il allait falloir faire pas mal de détours, le trajet entre ancien et nouvelle appartement ne faisant que 6 km aller retour. J'aime bien ce genre de déménagement.
Retour avec le camion. Nous allions pouvoir passer auxchoses sérieuses. Café, croissants, pains au chocolat et jus de fruits, histoire de se donner du coeur à l'ouvrage. Ventres remplis, il était environ 10h et le premier chargement pouvait avoir lieu. Assez rapide vu la main d'oeuvre et très organisé. Ben oui, hormis moi, il y avait un couple qui, personnellement en était à une quinzaine d'activités de ce genre. Tout a donc été parfaitement maîtrisé au niveau du remplissage. Pas le moindre cm3 d'inutile. La bête goinfrée, premier voyage avec voitures d'accompagnement. Il fallait bien que tout le monde puisse se déplacer. Une fois arrivés sur site, là non plus, ça n'a pas lambiné, tout étant soigneusement étiquetté. Juste un petit hic, la peite montée d'escalier pour arriver à l'appartement, pas très large et avec un magnifique angle droit, juste ce qu'il faut. Mais nous étions trop forts pour celà. Un peu de vrac (je vous rappele que la cuisine n'est pas installée, il faut donc mettre ce qui est sensé y être un peu partout ailleurs), et nous voilà repartis. Là, c'était le chargeùent de tout l'électroménager et des lits. Un grand morceau de bravoure, d'autant que nous ne savions pas si le sommier allait passer dans l'escalier qui mène aux chambres. Nous croisions donc nerveusement les doigts.
Le chargement effectué,il était temps de faire une pause, vu qu'il était déjà midi et qu'il fallait reprendre des forces. Sans oublier le traditionnel pot de milieu de déménagement. Donc pour qui bière pour qui soda ou eau minérale et chips pour éponger tout ça. Assis par terre bien sûr, les tables et chaises étant déjà parties. Ceci fait, pique-nique à base de taboulé carrouf, de jambon et de tomates cerises. Mioume !!! Mais il fallait bientôt s'y remettre au grand dam de certains qui auraient bien fait une petite sieste réparatrice. Pas moi, je n'y arrive jamais pour mon plus grand malheur. Je jouais donc les mouches du coche pour repartir. L'électroménager ne posa aucun souci. Par contre, le lit... Pas mois d'une demie heure pour le faire passer sans détruire l'enduit des murs ou scier la rampe d'escalier. Mais à force de manipulations en tous sens (debout, couché, dans un sens, dans l'autre, j'en passe et des meilleures), il finit par rejoindre sa place. Le canapé du salon nous posa également quelqhes soucis, les accoudoirs étant particulièrement larges et les encadrements de portes réduits. Il fut même question de les démonter ou de dégonder des portes. Finalement, rien de tout ça et après être redescendu, histoire d'être représenté un peu mieux, lui aussi arriva à bon port.
Le dernier voyage fut, par comparaison, de la gnognotte. Juste des cartons de fringues et autres bibelots. J'allais oublier Scottie la chatte de la maison, un tantinet traumatisée et qu'il fallut au départ enfermer dans une des chambres pour éviter toute vélléité de fuite. Enfermement avec bonne pâtée, eau fraîcheet doudous en tous genres pour l'apaiser. Comme quoi, la méthode d'abord le gros puis le petit porta ses fruits. Bref, vers 17h15, tout était terminé et il était temps d'aller nourrir le camion avant d'aller le rendre. De retour, commença le grand déballage au cours duquel Monica nous démontra ses grands talents d'organisatrice de buffet à vaisselle.
19h30, le plus gros était fait. Le petit personnel commença à regagner ses pénates et nous restâmes fort peu à savourer le reste de chips, de soda et de bières tout en parlant de choses et d'autres et à nous féliciter pour ce bon moment.
A l'heure où je vous écris, quelques courbatures mais tout va bien. Et enfin grasse matinée.
Bon dimanche les gens.
Mes fidèles lecteurs auront deviné. Il s'agit de mon second métier qui tourne à la vraie vocation lje trouve, c'est à dire le déménagement. Ben oui. Hier, il s'agissait d'une amie, Sabine, qui vient de s'acheter un appart tout neuf tout mignon. Et quand je parle de neuf, c'est vraiment du neuf. absolument pas de travaux de prévus, si ce n'est l'installation d'une cuisine équipée. Mais je m'égare là.
Revenons en donc à nos moutons. Hier matin donc, au mieu de la traditionnelle grasse matinée du samedi, réveil super tôt. Monica, qui devait aller chercher un colis à la poste, est restée couchée en attendant que ça ouvre. Moi, non. Donc, debout à pas d'heure, caféination sans petit déjeûner, prévu sur place, fringues un peu pourries (le déménagement ne nécessite pas de glamouritude) et let's go. Arrivé sur place, la grande zone. Des cartons faits, d'autres à faire et pas mal de démontage de meubles divers. Heureusement que Sabine avait prévu pas mal de main d'oeuvre et que, parmi tous ces gens, il y en avait d'équipés d'outils. Donc tout avançait assez vite. Puis, il a fallu aller chercher le camion. Tout neuf le camion. Pas la moindre égratignure. Il allait falloir faire gaffe, les loueurs étant particulièrement pointilleux là dessus. Par contre, pour atteindre les 100 km légaux il allait falloir faire pas mal de détours, le trajet entre ancien et nouvelle appartement ne faisant que 6 km aller retour. J'aime bien ce genre de déménagement.
Retour avec le camion. Nous allions pouvoir passer auxchoses sérieuses. Café, croissants, pains au chocolat et jus de fruits, histoire de se donner du coeur à l'ouvrage. Ventres remplis, il était environ 10h et le premier chargement pouvait avoir lieu. Assez rapide vu la main d'oeuvre et très organisé. Ben oui, hormis moi, il y avait un couple qui, personnellement en était à une quinzaine d'activités de ce genre. Tout a donc été parfaitement maîtrisé au niveau du remplissage. Pas le moindre cm3 d'inutile. La bête goinfrée, premier voyage avec voitures d'accompagnement. Il fallait bien que tout le monde puisse se déplacer. Une fois arrivés sur site, là non plus, ça n'a pas lambiné, tout étant soigneusement étiquetté. Juste un petit hic, la peite montée d'escalier pour arriver à l'appartement, pas très large et avec un magnifique angle droit, juste ce qu'il faut. Mais nous étions trop forts pour celà. Un peu de vrac (je vous rappele que la cuisine n'est pas installée, il faut donc mettre ce qui est sensé y être un peu partout ailleurs), et nous voilà repartis. Là, c'était le chargeùent de tout l'électroménager et des lits. Un grand morceau de bravoure, d'autant que nous ne savions pas si le sommier allait passer dans l'escalier qui mène aux chambres. Nous croisions donc nerveusement les doigts.
Le chargement effectué,il était temps de faire une pause, vu qu'il était déjà midi et qu'il fallait reprendre des forces. Sans oublier le traditionnel pot de milieu de déménagement. Donc pour qui bière pour qui soda ou eau minérale et chips pour éponger tout ça. Assis par terre bien sûr, les tables et chaises étant déjà parties. Ceci fait, pique-nique à base de taboulé carrouf, de jambon et de tomates cerises. Mioume !!! Mais il fallait bientôt s'y remettre au grand dam de certains qui auraient bien fait une petite sieste réparatrice. Pas moi, je n'y arrive jamais pour mon plus grand malheur. Je jouais donc les mouches du coche pour repartir. L'électroménager ne posa aucun souci. Par contre, le lit... Pas mois d'une demie heure pour le faire passer sans détruire l'enduit des murs ou scier la rampe d'escalier. Mais à force de manipulations en tous sens (debout, couché, dans un sens, dans l'autre, j'en passe et des meilleures), il finit par rejoindre sa place. Le canapé du salon nous posa également quelqhes soucis, les accoudoirs étant particulièrement larges et les encadrements de portes réduits. Il fut même question de les démonter ou de dégonder des portes. Finalement, rien de tout ça et après être redescendu, histoire d'être représenté un peu mieux, lui aussi arriva à bon port.
Le dernier voyage fut, par comparaison, de la gnognotte. Juste des cartons de fringues et autres bibelots. J'allais oublier Scottie la chatte de la maison, un tantinet traumatisée et qu'il fallut au départ enfermer dans une des chambres pour éviter toute vélléité de fuite. Enfermement avec bonne pâtée, eau fraîcheet doudous en tous genres pour l'apaiser. Comme quoi, la méthode d'abord le gros puis le petit porta ses fruits. Bref, vers 17h15, tout était terminé et il était temps d'aller nourrir le camion avant d'aller le rendre. De retour, commença le grand déballage au cours duquel Monica nous démontra ses grands talents d'organisatrice de buffet à vaisselle.
19h30, le plus gros était fait. Le petit personnel commença à regagner ses pénates et nous restâmes fort peu à savourer le reste de chips, de soda et de bières tout en parlant de choses et d'autres et à nous féliciter pour ce bon moment.
A l'heure où je vous écris, quelques courbatures mais tout va bien. Et enfin grasse matinée.
Bon dimanche les gens.
dimanche, mars 23, 2008
Should I stay or should I go?
Ah zut, déjà un mois que je n'ai pas écrit. Quelle misère. Faut que je m'y remette pourtant.
Titre pas original du tout mais qui représente bien mon état d'espit du moment.
En gros, mon service est transféré dans la capitale et, comme personne d'ici ne veut y aller, je devrais avoir l'opportunité d'obtenir un bon vieux CDI qui ferait du bien à ma vie professionnelle. avec peut-être aussi une évolution salariale. En plus, la société est tout à fait saine (leader mondial dans son domaine) et présente tout plein d'avantages (chocolats à Noël, à Pâques, j'en passe et des meilleures) avec en plus un CE tout à fait très bien.
Jusque là, aucun souci, je signe des deux mains. Maintenant, pour le petit provincial que je suis, aller dans la grande ville tout seul me fait un peu peur. D'abord, je n'y connais quasiment personne. Juste un ami de fac qui a fait ce chemin et qui visiblement s'y est adapté, ce qui serait plutôt encourageant. Sorti de cette personne, le grand vide. De plus, Monica ne me suivra jamais, trop attachée au sud qu'elle est. Et comme en ce moment elle ne va pas trop bien, je culpabilise un peu à l'idée de la laisser toute seule.
Bref, c'est le grand bo**el dans ma tête. Jai une décision super importante à prendre pour mon avenir et j'ai beaucoup de mal.
Aidez moi les gens
Titre pas original du tout mais qui représente bien mon état d'espit du moment.
En gros, mon service est transféré dans la capitale et, comme personne d'ici ne veut y aller, je devrais avoir l'opportunité d'obtenir un bon vieux CDI qui ferait du bien à ma vie professionnelle. avec peut-être aussi une évolution salariale. En plus, la société est tout à fait saine (leader mondial dans son domaine) et présente tout plein d'avantages (chocolats à Noël, à Pâques, j'en passe et des meilleures) avec en plus un CE tout à fait très bien.
Jusque là, aucun souci, je signe des deux mains. Maintenant, pour le petit provincial que je suis, aller dans la grande ville tout seul me fait un peu peur. D'abord, je n'y connais quasiment personne. Juste un ami de fac qui a fait ce chemin et qui visiblement s'y est adapté, ce qui serait plutôt encourageant. Sorti de cette personne, le grand vide. De plus, Monica ne me suivra jamais, trop attachée au sud qu'elle est. Et comme en ce moment elle ne va pas trop bien, je culpabilise un peu à l'idée de la laisser toute seule.
Bref, c'est le grand bo**el dans ma tête. Jai une décision super importante à prendre pour mon avenir et j'ai beaucoup de mal.
Aidez moi les gens
dimanche, février 24, 2008
Tagué
Oui, j'ai été tagué. Par Sixtine. Il y a bien longtemps mais ma paresse bloguesque m'a e^mpêché de le faire avant. Alors, je m'y colle avant d'avoir totalement oublié. Le but du jeu, si je m'en souviens bien, était de raconter 6 choses totalement inintéressantes sur son propre compte. Allons y.
1/ J'écoute de la musique de sauvage à fond dans la voiture. Tout seul. S'il y a du monde, je coupe pour cause de préférence à causer. Tiens, ça me rappele quelqu'un.
2/ Voiture encore. J'ai une consommation effrénée de liquide de lave-glace. Je ne supporte pas que mon pare-brise soit sale. De l'extérieur. L'intérieur est tout pourri et je m'en fous.
3/ Je mange de la mayonnaise avec quasiment n'importe quel aliment. Salé quand même. Ne soyons pas totalement branque.
4/ J'ai un gros problème avec les clés. Elles refusent de rester à portée de main et de vue, surtout quand j'en ai besoin, ce qui m'occasionne retards, stress et jurons.
5/ Voiture toujours. Le voyant qui me dit que je dois absolument ravitailler sous peine de bientôt devoir pousser Lupo s'allume systématiquement dans la montée qui me mène chez Monica au virage près. J'ai pourtant multiplié les itinéraires précédant ce moment.
6/ Je mets le réveil super tôt le matin rien que pour avoir du temps à moi pour glander avanrt d'aller au boulot. Je précise que j'ai totalement modifié depuis un précédent post et que ça va super mieux.
S'il vous plait, n'appelez pas l'HP trop vite.
A bientôt les gens. Si la flemme ne me reprend pas.
1/ J'écoute de la musique de sauvage à fond dans la voiture. Tout seul. S'il y a du monde, je coupe pour cause de préférence à causer. Tiens, ça me rappele quelqu'un.
2/ Voiture encore. J'ai une consommation effrénée de liquide de lave-glace. Je ne supporte pas que mon pare-brise soit sale. De l'extérieur. L'intérieur est tout pourri et je m'en fous.
3/ Je mange de la mayonnaise avec quasiment n'importe quel aliment. Salé quand même. Ne soyons pas totalement branque.
4/ J'ai un gros problème avec les clés. Elles refusent de rester à portée de main et de vue, surtout quand j'en ai besoin, ce qui m'occasionne retards, stress et jurons.
5/ Voiture toujours. Le voyant qui me dit que je dois absolument ravitailler sous peine de bientôt devoir pousser Lupo s'allume systématiquement dans la montée qui me mène chez Monica au virage près. J'ai pourtant multiplié les itinéraires précédant ce moment.
6/ Je mets le réveil super tôt le matin rien que pour avoir du temps à moi pour glander avanrt d'aller au boulot. Je précise que j'ai totalement modifié depuis un précédent post et que ça va super mieux.
S'il vous plait, n'appelez pas l'HP trop vite.
A bientôt les gens. Si la flemme ne me reprend pas.
jeudi, février 07, 2008
Panique et conséquences
En ce moment, c'est carrément la zone au boulot. La faute à de profonds changements au sein du groupe. En fait, deux sociétés ont fusionné en donnant naissance à deux nouvelles entités. Le problème, c'est que l'intendance ne suit pas. En gros, c'est l'informatique qui coince grave. Résultats? Il se passe, quand j'arrive au boulot le matin, que mon chef me dit de ne surtout rien faire en attendant que les pannes soient résolues. Quand on ne me fait pas faire des trucs complètement abracadabrantesques, genre saisie en triple de règlements clients, tout ça parce que le service commercial n'a pas fait son boulot de peur de froisser le client. J'alterne donc des périodes de glandouille totale, où j'ai bien le temps de me demander quelle sera la prochaine tuile , et des moments d'effervescence où là, je n'ai le temps de penser à rien. Mais bon, c'est provisoire. J'espère.
Dans le genre de phénomènes marrants qui se passent, notons des disparitions subites de mouvements financiers. Marrade garantie pour les chefs. Et pour nous, pauvres peones, qui devons alors tout recommencer à zéro. Ou alors, les télétransmissions à la banque qui n'arrivent jamais. C'est l'occasion de longues conversations téléphoniques du genre : "
- On vous a mis plein de sous sur le compte, vous l'avez vu?
- Ben non.
- Pourtant on l'a fait. Ne bougez pas, on vous le renvoie.
- vous l'avez maintenant?
- Toujours pas."
Et ça fait trois jours que ce petit jeu dure. Et c'est en train de mettre une pagaille monstre dans la comptabilité. Parce que pour nous, les sous étaient sur le compte à telle date et qu'ils ne le seront qu'à une date ultérieure bien décalée pour la banque. S'ils arrivent. Bonjour les rapprochements. On va bien rire.
Tout ça pour dire que ça palpite bien chez moi en ce moment et que je suis bien content de regagner le canapé d'angle le soir.
Bonne soirée les gens. Et plaignez moi.
P.S. La mise en page est indépendante de ma volonté. Toutes mes excuses.
Dans le genre de phénomènes marrants qui se passent, notons des disparitions subites de mouvements financiers. Marrade garantie pour les chefs. Et pour nous, pauvres peones, qui devons alors tout recommencer à zéro. Ou alors, les télétransmissions à la banque qui n'arrivent jamais. C'est l'occasion de longues conversations téléphoniques du genre : "
- On vous a mis plein de sous sur le compte, vous l'avez vu?
- Ben non.
- Pourtant on l'a fait. Ne bougez pas, on vous le renvoie.
- vous l'avez maintenant?
- Toujours pas."
Et ça fait trois jours que ce petit jeu dure. Et c'est en train de mettre une pagaille monstre dans la comptabilité. Parce que pour nous, les sous étaient sur le compte à telle date et qu'ils ne le seront qu'à une date ultérieure bien décalée pour la banque. S'ils arrivent. Bonjour les rapprochements. On va bien rire.
Tout ça pour dire que ça palpite bien chez moi en ce moment et que je suis bien content de regagner le canapé d'angle le soir.
Bonne soirée les gens. Et plaignez moi.
P.S. La mise en page est indépendante de ma volonté. Toutes mes excuses.
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