pour le moment. En fait, j'ai eu tellement de boulot aujourd'hui qu'ils n'y ont même pas pensé. Et de toute façon, c'était juste pas possible. Et comme j'étais un peu à l'ouest ce matin pour cause de grosse fatigue du weekend,j'ai un peu pris mon temps en en laissant pour demain matin. Il faut gérer son effort.
Le weekend, parlons en. Déjà, lever super tôt pour ne pas trainer pour aller bosser chez Frangin qui est muté, vends sa maison et donc la rénove. En plus, j'ai fait quelques efforts capillaires et pileux, histoire d'être un peu plus présentable. Ceci fait, départ dans la froidure et le vent. qui s'est calmé au fur et à mesure du trajet. Heureusement, sinon ça n'aurait pas été possible de travailler.
Une fois sur place, ça a commencé par:"Tu vois les 30m² de bitume devant la maison? Ben faut les enlever à la pioche pour mettre de la clapissette (pour ceux qui ne connaitraient pas, je précise qu'il s'agit de gravillons liés par une sorte de sable)".En avant donc. C'est étrange comme tout d'un coup il faisait plus chaud. Evacuation des gravats à la brouette puis dans une remorque et direction la déchèterie pour tout balancer. Et encore des coups de pelle. De la pelle toujours au magasin de bricolage pour l'achat de ladite clapissette qui a bien rempli la remorque. Pour ne pas perdre la main, pelle pour tout décharger et étendre le truc. Avec quand même pause repas au milieu. Faut pas exagérer. C'était délicieux au deumeurant, Frangin étant un vrai cordon bleu. Puis, fin de la journée au rouleau pour bien tout tasser. Un bon Stéphane Leroi et au dodo.
Le lendemain, levé à pas d'heure. Pour rien. Par habitude je pense. Café, gaufre et en avant pour la suite. Là, il s'agissait de repeindre la façade pour faire plus jolie la maison. Un escabeau, une échelle, un seau et de quoi peindre et nous voilà partis pour la matinée pendant que le reste de la troupe se livrait à d'autres activités non moins intéressantes. Re-pause à midi avec saucisses lentilles pour bien se caler et après-midi peinture et lasure (je ne sais pas du tout comment ça s'écrit). Parce qu'il fallait aussi lasurer le portail qui en avait bien besoin. La maison résonnait de mille bruits de scies, perceuses et autres instruments de torture en tous genres. Fallait bien ce qu'il fallait et le travail avançait bien.
Il a bien fallu s'arrêter à la tombée de la nuit. Un peu avant même, histoire de na pas rentrer dans les ténèbres. Avec embarquement de la clim portative qui, en ces temps, ne leur sert plus à grand chose. Posage du barda chez le Paternel et retour at home. Glacial. Le convecteur faisait bien ce qu'il pouvait (c'est à dire pas grand chose) mais rien n'y faisait. Et puis, j'avais un peu mal partout et une grosse envie de me mettre sous la couette. Dont acte. Un peu de téloche et le grand néant jusqu'à ce matin. et je crois que ça va se répéter dans un proche avenir pou les trois mois à venir.Au moins, s'ils ne me font pas signer au boulot, j'aurai une expérience de Franck pour Valérie Damidot.
Ce soir, rien. Que d'alle. Bonne soirée les gens.
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4 commentaires:
Bonjour, je vais déménager dans les mois qui viennent. A qui dois-je m'adresser pour bénéficier de vos services déjà internetesquement reconnus?
Ashley > uh uh uh
Sinon "Un bon Stéphane Leroi" j'ai rien compris
Stephen King, oh pinaise, ah oué
Lire le blog en entier, pretty good
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