mardi, avril 08, 2008

Ca devait arriver

Ben oui, c'était trop beau. Tout roulait trop bien au boulot. Jusqu'à aujourd'hui. Rien de bien grave, hein? Mais bien pénible.
Tout est parti de l'irruption dans le bureau de la préposée aux banques, une vieille bique lunatique qui, je crois, lfippe à l'idée de se retrouver à la retraite àla fin de l'année et qui fait donc suer le monde à ses heures perdues. Bref, cette dame était dans tous ses états parce qu'il y avait un trou dans les comptes. En gros, un chèque a été comptabilisé chez nous, posté lais n'a pas été crédité.
Et, bien sûr, c'est le seul truc dont j'ai oublié de faire une copie pour les archives depuis que j'y suis.
Ma seule erreur.
Et ça m'est brutalement retombé dessus.
Cette abrutie m'a mis une pression de tous les diables en tirant une gueule de six pieds de long, sans compter les visites, pas aimables, toutes les 5 minutes pour me pourrir. et pas moyen de mettre la main sur cette foutue pièce. J'ai quand même retrouvé le bordereau du distingo de l'envoi.
J'en ai profité pour aller sur le ternet pour vérifier que c'était bien arrivé. Appel à la banque aussi pour voir si ce n'était pas eux qui avaient lourdé ce foutu chèque.
L'affaire suit son cours.
En attendant, ça m'a bien pourri une journée pourtant bien commencée.
Heureusement que je peux compter sur une amie fidèle pour me changer les idées en prenant la Lupo pour aller faire des courses à Carrouf. Promis, je lui garde la Reloue quand elle veut. Et je vais chercher ses colis à la Poste.
Par contre, pas de Monica ce soir. Tant pis, il y aura bien des inepties à la téloche. Et j'ai plein de trucs à lire sur le ternet.
Bonne soirée les gens.
Au passage, désolé pour la mise en page un peu à la portnaouak. Pas ma faute. C'est blogger qui en a décidé ainsi. Pas ma journée je vous dis.

dimanche, avril 06, 2008

mon sport favori

Et devinez ce que j'ai fait hier?
Mes fidèles lecteurs auront deviné. Il s'agit de mon second métier qui tourne à la vraie vocation lje trouve, c'est à dire le déménagement. Ben oui. Hier, il s'agissait d'une amie, Sabine, qui vient de s'acheter un appart tout neuf tout mignon. Et quand je parle de neuf, c'est vraiment du neuf. absolument pas de travaux de prévus, si ce n'est l'installation d'une cuisine équipée. Mais je m'égare là.
Revenons en donc à nos moutons. Hier matin donc, au mieu de la traditionnelle grasse matinée du samedi, réveil super tôt. Monica, qui devait aller chercher un colis à la poste, est restée couchée en attendant que ça ouvre. Moi, non. Donc, debout à pas d'heure, caféination sans petit déjeûner, prévu sur place, fringues un peu pourries (le déménagement ne nécessite pas de glamouritude) et let's go. Arrivé sur place, la grande zone. Des cartons faits, d'autres à faire et pas mal de démontage de meubles divers. Heureusement que Sabine avait prévu pas mal de main d'oeuvre et que, parmi tous ces gens, il y en avait d'équipés d'outils. Donc tout avançait assez vite. Puis, il a fallu aller chercher le camion. Tout neuf le camion. Pas la moindre égratignure. Il allait falloir faire gaffe, les loueurs étant particulièrement pointilleux là dessus. Par contre, pour atteindre les 100 km légaux il allait falloir faire pas mal de détours, le trajet entre ancien et nouvelle appartement ne faisant que 6 km aller retour. J'aime bien ce genre de déménagement.
Retour avec le camion. Nous allions pouvoir passer auxchoses sérieuses. Café, croissants, pains au chocolat et jus de fruits, histoire de se donner du coeur à l'ouvrage. Ventres remplis, il était environ 10h et le premier chargement pouvait avoir lieu. Assez rapide vu la main d'oeuvre et très organisé. Ben oui, hormis moi, il y avait un couple qui, personnellement en était à une quinzaine d'activités de ce genre. Tout a donc été parfaitement maîtrisé au niveau du remplissage. Pas le moindre cm3 d'inutile. La bête goinfrée, premier voyage avec voitures d'accompagnement. Il fallait bien que tout le monde puisse se déplacer. Une fois arrivés sur site, là non plus, ça n'a pas lambiné, tout étant soigneusement étiquetté. Juste un petit hic, la peite montée d'escalier pour arriver à l'appartement, pas très large et avec un magnifique angle droit, juste ce qu'il faut. Mais nous étions trop forts pour celà. Un peu de vrac (je vous rappele que la cuisine n'est pas installée, il faut donc mettre ce qui est sensé y être un peu partout ailleurs), et nous voilà repartis. Là, c'était le chargeùent de tout l'électroménager et des lits. Un grand morceau de bravoure, d'autant que nous ne savions pas si le sommier allait passer dans l'escalier qui mène aux chambres. Nous croisions donc nerveusement les doigts.
Le chargement effectué,il était temps de faire une pause, vu qu'il était déjà midi et qu'il fallait reprendre des forces. Sans oublier le traditionnel pot de milieu de déménagement. Donc pour qui bière pour qui soda ou eau minérale et chips pour éponger tout ça. Assis par terre bien sûr, les tables et chaises étant déjà parties. Ceci fait, pique-nique à base de taboulé carrouf, de jambon et de tomates cerises. Mioume !!! Mais il fallait bientôt s'y remettre au grand dam de certains qui auraient bien fait une petite sieste réparatrice. Pas moi, je n'y arrive jamais pour mon plus grand malheur. Je jouais donc les mouches du coche pour repartir. L'électroménager ne posa aucun souci. Par contre, le lit... Pas mois d'une demie heure pour le faire passer sans détruire l'enduit des murs ou scier la rampe d'escalier. Mais à force de manipulations en tous sens (debout, couché, dans un sens, dans l'autre, j'en passe et des meilleures), il finit par rejoindre sa place. Le canapé du salon nous posa également quelqhes soucis, les accoudoirs étant particulièrement larges et les encadrements de portes réduits. Il fut même question de les démonter ou de dégonder des portes. Finalement, rien de tout ça et après être redescendu, histoire d'être représenté un peu mieux, lui aussi arriva à bon port.
Le dernier voyage fut, par comparaison, de la gnognotte. Juste des cartons de fringues et autres bibelots. J'allais oublier Scottie la chatte de la maison, un tantinet traumatisée et qu'il fallut au départ enfermer dans une des chambres pour éviter toute vélléité de fuite. Enfermement avec bonne pâtée, eau fraîcheet doudous en tous genres pour l'apaiser. Comme quoi, la méthode d'abord le gros puis le petit porta ses fruits. Bref, vers 17h15, tout était terminé et il était temps d'aller nourrir le camion avant d'aller le rendre. De retour, commença le grand déballage au cours duquel Monica nous démontra ses grands talents d'organisatrice de buffet à vaisselle.
19h30, le plus gros était fait. Le petit personnel commença à regagner ses pénates et nous restâmes fort peu à savourer le reste de chips, de soda et de bières tout en parlant de choses et d'autres et à nous féliciter pour ce bon moment.
A l'heure où je vous écris, quelques courbatures mais tout va bien. Et enfin grasse matinée.
Bon dimanche les gens.