C'est désormais officiel: mon directeur m'a convoqué dans son bureau pour me proposer la fameuse prolongation de contrat dont il avait été question en bruits de couloirs.Normalement, je reste à mon poste jusqu'à fin septembre 2008. Elle n'est pas belle la vie?En plus, j'ai appris que j'avais fait suffisamment d'heure supplémentaire pour pouvoir récupérer un jour. Le 2 novembre donc. Je fais le pont. Youpi !
Pourtant, la journée n'avait pas super bien commencé. Je me suis levé avec la boule au ventre et des nausées que même le bon café du matin n'a pas pu faire partir. Rassurez vous, tout s'est arrangé à mon arrivée au bureau. Mais bon, je me sentais un peu angoissé pour des raisons que j'ignore. Peut-être la coupure du weekend. Je ne sais pas. Remède: bosser comme un malade pour ne pas trop gamberger. Résultats immédiats. J'étais speedé par le travail mais tout allait mieux. Et du travail, comme tous les lundis, il y en avait. J'ai donc fait ma petite heure supplémentaire, histoire de justifier mon pont. Jusqu'à la convocation dans le bureau du directeur. Là, je n'en menais pas large. Juste avant l'annonce.Après, joie, d'autant qu'il va voir ce qu'il peut faire au cas où j'aurais envie de muter sur Paris après. De telles propositions ne se refusent pas, hein?
Donc, content de ma journée. Bon, il me reste deux ou trois bricoles que je n'ai pas pu faire mais rien de bien long. Je ferai ça demain à tête reposée. Et puis, de toute façon, je ne pouvais pas le faire depuis mon PC. pas assez de privilèges sur la base de donnée. Faut attendre mais rie n'est urgent. Prenons le donc plutôt tranquille.
Si je m'écoutais, je fêterai ça ce soir. Mais je ne suis pas encore remis de samedi et il faut être raisonnable. Je vais donc faire ça en comité restreint (moi tout seul avec un bouquin).
Bonne soirée les gens.
lundi, octobre 29, 2007
dimanche, octobre 28, 2007
Les photos, enfin
Voilà enfin quelque clichés de la soirée. Sixtine trouvera sans doute que je suis très ressemblant. La suite très bientôt, je n'ai pas pu tout télécharger. Il faudra que je passe pour récupérer les 200 Mo restants. Bonne soirée les gens.
P.S. Et phoque, les titres n'apparaissent pas bien. Je suis terriblement déçu. Essayez en cliquant dessus, ça marchera peut-être
P.S. Et phoque, les titres n'apparaissent pas bien. Je suis terriblement déçu. Essayez en cliquant dessus, ça marchera peut-être
Bringue
J'émerge juste ce matin. Ben oui, hier soir, c'était bringue. Anniversaire de mon frangin la suite. Oh, c'était intime. Pas plus d'une centaine de personne. Le thème en était les années 70 avec déguisements à la clé. Et, ce qui a été plutôt bien, c'est que tout le monde a joué le jeu, ce qui a donné l'occasion de pas mal de fous rires à voir laquelle ou lequel était le mieux(?) attifé. En plus, la musique était à l'avenant, un des participant ayant bien fait fonctionné la mule pour avoir tout plein de bonne musique. Parce que maintenant, c'est de la fête moderne avec PC connecté à une sono et plein de MP3 dedans. Je ne me rappelle plus vraiment des titres, tellement il y en avait, mais c'était super bien et ça a dansé comme des petits fous. La déco était à l'avenant avec une dominante bien psychédélique à base de couleurs à tomber par terre. On dit bravo à celles et ceux qui se sont démenés tout l'aprème pour ça. Et j'en étais. J'ai à moitié perdu un poumon à gonfler une multitude de ballons tous plus beaux les uns que les autres tandis que d'autres se livraient à des jeux de collages, ma foi bien réussis. Ceci bouclé, réunion collective pour l'habillage chez Jolie soeur de mon frère. Et première bosse de rire. Franchement, il y avait de quoi. Ensuite, retour sur les lieux de la fête et attente des premiers convives avec le stress du triage des morceaux. Ben oui, 40 Go de MP3, ça ne se trie pas comme des lentilles. Et il y avait à manger et à boire dans la sélection. Sans compter qu'il fallait organiser les plages en fonction du rythme de ma soirée. Plutôt tranquille au début, puis crescendo vers une disco endiablée. Ceci fait, nous avons pu souffler un peu. Mais pas trop longtemps car du monde arrivait et il fallait accueillir. Ce qui était marrant, c'était d'essayer de voir qui se cachait derrière le déguisement. Avec parfois de belles surprises.
Vers 21h30, à peu près tout le monde était en place et la fête commençait à battre son plein.Sans compter que, parmi les organisateurs, se cachait un pizzaïolo (je l'écris comme je veux, hein?) qui nous a bien régalé de ses excellentes productions, histoire de restaurer entre deux danses. Les APN crépitaient à qui mieux mieux sauf le mien que j'ai lamentablement oublié chez moi. Là, j'attends qu'on m'en envoie pour vous en faire profiter.
La soirée avançait, tout comme l'état de certains convives qui avaient décidé de ne pas rentrer en voiture et avaient prévu le duvet pour dormir sur place. Ce qui donnait une belle collection d'yeux bien rouges cachés sous d'improbables lunettes de soleil. Et à des chorégraphies plus ou moins Kamelwalesques, certains, dont mon frère, étant particulièrement déchaînés. Un peu de digression vers les années 80 plus tard et arriva le moment du gâteau, toujours réussi. En fait, vu le monde, il y en avait plutôt une certaine quantité, rapidement engloutie, et tout le monde reprit place sur la piste.
Fin de soirée un peu gâchée par l'inévitable techno un peu anachronique au vu de la thématique de la soirée et votre serviteur, un peu fatigué (ben oui, ça faisait vraiment trop longtemps que je ne m'étais pas couché aussi tard), décida de regagner ses pénates. L'heure de sommeil en plus dûe au changement d'heure allait être bien employée.
Bref, excellente soirée. Bientôt j'espère les photos. Je n'hésiterai d'ailleurs pas à me dévoiler à vos yeux sous mon meilleur jour.
Bon dimanche les gens.
Vers 21h30, à peu près tout le monde était en place et la fête commençait à battre son plein.Sans compter que, parmi les organisateurs, se cachait un pizzaïolo (je l'écris comme je veux, hein?) qui nous a bien régalé de ses excellentes productions, histoire de restaurer entre deux danses. Les APN crépitaient à qui mieux mieux sauf le mien que j'ai lamentablement oublié chez moi. Là, j'attends qu'on m'en envoie pour vous en faire profiter.
La soirée avançait, tout comme l'état de certains convives qui avaient décidé de ne pas rentrer en voiture et avaient prévu le duvet pour dormir sur place. Ce qui donnait une belle collection d'yeux bien rouges cachés sous d'improbables lunettes de soleil. Et à des chorégraphies plus ou moins Kamelwalesques, certains, dont mon frère, étant particulièrement déchaînés. Un peu de digression vers les années 80 plus tard et arriva le moment du gâteau, toujours réussi. En fait, vu le monde, il y en avait plutôt une certaine quantité, rapidement engloutie, et tout le monde reprit place sur la piste.
Fin de soirée un peu gâchée par l'inévitable techno un peu anachronique au vu de la thématique de la soirée et votre serviteur, un peu fatigué (ben oui, ça faisait vraiment trop longtemps que je ne m'étais pas couché aussi tard), décida de regagner ses pénates. L'heure de sommeil en plus dûe au changement d'heure allait être bien employée.
Bref, excellente soirée. Bientôt j'espère les photos. Je n'hésiterai d'ailleurs pas à me dévoiler à vos yeux sous mon meilleur jour.
Bon dimanche les gens.
vendredi, octobre 26, 2007
week-end
Pour ceux qui s'inquiétaient, je tiens à les rassurer. Je n'avais pas disparu au fond d'un quelconque trou sans internet. C'est juste que j'ai passé deux jours en compagnie de Monica, Zéphyr et le canapé d'angle. Et que la conjonction des trois n'encourage pas à faire grand chose si ce n'est du prélassement post boulot. En plus, je vous le dis à tous, le oui-phi, quand ça ne veut pas marcher, c'est vraiment de la daube. Et il s'était décidé à foirer lamentablement chez Monica. Du genre, je déconnecte toutes les trois minutes et pour récupérer de la connexion, il faut carrément redémarrer l'ordinateur. Ca va bien cinq minutes mais ça gave quand même. Et pour bloguer, c'est juste pas possible. On perd tout à chaque fois. Et au boulot, c'est encore un peu limite. J'ai donc décidé d'être silencieux quelques temps. J'espère que vous ne m'en aurez pas voulu.
En ce qui concerne le reste de ma vie, le boulot et tout le reste, ça va plutôt bien. Depuis quelques jours, mes collègues se montrent plutôt insistantes sur le fait que je me suis bien intégré, commencent à déconner avec moi, m'offrent même des bonbons et me posent des questions du genre: "le boulot te plaît? Et si on te proposait de rester, tu le ferais?" Autant dire que ça sent plutôt bon la prolongation de contrat si l'on en croit les divers bruits de couloir. Mais sans confirmation officielle, je préfère ne pas m'emballer. Mais ce serait cool vu que, si j'ai bien tout compris, il y en aurait pour un an de plus. Sinon, ça bosse. J'ai encore fait des heures supplémentaires (non payées mais récupérées) hier pour finir un truc que finalement j'ai dû refaire aujourd'hui. Sans cesse sur le métier... Mais dans l'ensemble c'est plutôt tranquille et je me plais vraiment à cet endroit. Et, grâce à Lupo (peut-être prochainement unie à Odessa si les deux parties trouvent un accord), je peux me lever une demie heure plus tard. C'est toujours ça de gagné. Un peu de qualité de vie ne fait de mal à personne.
Là, c'est week-end. Et en plus on passe à l'heure d'hiver. Encore une heure de grasse matinée de gagnée dimanche matin. Si j'y arrive. Mais je pourrai toujours glander sous la couette au besoin. Et comme demain soir c'est bringue, je risque d'en avoir bien besoin.
Toute ma compassion pour celles et ceux qui bossent même le samedi.
Bonne soirée les gens.
En ce qui concerne le reste de ma vie, le boulot et tout le reste, ça va plutôt bien. Depuis quelques jours, mes collègues se montrent plutôt insistantes sur le fait que je me suis bien intégré, commencent à déconner avec moi, m'offrent même des bonbons et me posent des questions du genre: "le boulot te plaît? Et si on te proposait de rester, tu le ferais?" Autant dire que ça sent plutôt bon la prolongation de contrat si l'on en croit les divers bruits de couloir. Mais sans confirmation officielle, je préfère ne pas m'emballer. Mais ce serait cool vu que, si j'ai bien tout compris, il y en aurait pour un an de plus. Sinon, ça bosse. J'ai encore fait des heures supplémentaires (non payées mais récupérées) hier pour finir un truc que finalement j'ai dû refaire aujourd'hui. Sans cesse sur le métier... Mais dans l'ensemble c'est plutôt tranquille et je me plais vraiment à cet endroit. Et, grâce à Lupo (peut-être prochainement unie à Odessa si les deux parties trouvent un accord), je peux me lever une demie heure plus tard. C'est toujours ça de gagné. Un peu de qualité de vie ne fait de mal à personne.
Là, c'est week-end. Et en plus on passe à l'heure d'hiver. Encore une heure de grasse matinée de gagnée dimanche matin. Si j'y arrive. Mais je pourrai toujours glander sous la couette au besoin. Et comme demain soir c'est bringue, je risque d'en avoir bien besoin.
Toute ma compassion pour celles et ceux qui bossent même le samedi.
Bonne soirée les gens.
mardi, octobre 23, 2007
Star academy?
Certes, j'ai été un peu absent mais j'avais mes raisons.
Tout d'abord, lundi fut une longue journée avec du boulot par dessus la tête. Ben oui, avec les grèves de la fin de la semaine dernière, le courrier n'était pas arrivé et a débarqué en masse hier. Et étant d'un naturel bosseur, je n'ai pas compté mes heures. Comme j'ai récupéré Lupo de moi, je n'étais plus tributaire des bus et suis donc resté tard au bureau pour essayer, en vain, de finir ce que j'avais à faire. Et puis, j'ai reçu un SMS de Monica qui, la pauvre se gelait toute seule sur son canapé d'angle et avait besoin d'une bouillotte. Je ne me suis donc pas fait prier pour la rejoindre. Et donc, pas de ternet hier soir. Du canapé
aujourd'hui fut légèrement plus tranquille. A peine moins de boulot à faire en plus de ce que j'avais à finir. J'ai donc pas mal marné mais je suis arrivé à peu près à me mettre à jour. Ce sera donc un peu plus tranquille demain. Enfin, j'espère. De toute façon, j'ai la visite médicale pour savoir si je suis apte au poste. Après 3 semaines, il serait temps de savoir si je peux le faire, non?
Ce soir, pas de canapé. Monica a un repas de famille super important auquel je ne suis pas convié vu qu'ils vont discuter affaires. Je vais donc me les peler tout seul chez moi, vu que, mine de rien, il s'est mis à faire vraiment pas chaud par chez nous avec un vent à décorner les boeufs. Même que peut-être je vais mettre du chauffage. En attendant, je vais me sustenter parce qu'il commence à faire faim. Là, ça va être du réchauffage de restes de ce week-end, juste pour faire saliver la Reine.
Au fait, ce soir c'est le grand retour de la starac'. Je crois que je vais faire l'impasse. pas trop envie de voir une énième fois des braillards de tout poil. Pas grave, je trouverai bien de quoi faire. De toute façon, j'ai du retard en consultation de blogs. A rattrapper.
Bonne soirée les gens.
Tout d'abord, lundi fut une longue journée avec du boulot par dessus la tête. Ben oui, avec les grèves de la fin de la semaine dernière, le courrier n'était pas arrivé et a débarqué en masse hier. Et étant d'un naturel bosseur, je n'ai pas compté mes heures. Comme j'ai récupéré Lupo de moi, je n'étais plus tributaire des bus et suis donc resté tard au bureau pour essayer, en vain, de finir ce que j'avais à faire. Et puis, j'ai reçu un SMS de Monica qui, la pauvre se gelait toute seule sur son canapé d'angle et avait besoin d'une bouillotte. Je ne me suis donc pas fait prier pour la rejoindre. Et donc, pas de ternet hier soir. Du canapé
aujourd'hui fut légèrement plus tranquille. A peine moins de boulot à faire en plus de ce que j'avais à finir. J'ai donc pas mal marné mais je suis arrivé à peu près à me mettre à jour. Ce sera donc un peu plus tranquille demain. Enfin, j'espère. De toute façon, j'ai la visite médicale pour savoir si je suis apte au poste. Après 3 semaines, il serait temps de savoir si je peux le faire, non?
Ce soir, pas de canapé. Monica a un repas de famille super important auquel je ne suis pas convié vu qu'ils vont discuter affaires. Je vais donc me les peler tout seul chez moi, vu que, mine de rien, il s'est mis à faire vraiment pas chaud par chez nous avec un vent à décorner les boeufs. Même que peut-être je vais mettre du chauffage. En attendant, je vais me sustenter parce qu'il commence à faire faim. Là, ça va être du réchauffage de restes de ce week-end, juste pour faire saliver la Reine.
Au fait, ce soir c'est le grand retour de la starac'. Je crois que je vais faire l'impasse. pas trop envie de voir une énième fois des braillards de tout poil. Pas grave, je trouverai bien de quoi faire. De toute façon, j'ai du retard en consultation de blogs. A rattrapper.
Bonne soirée les gens.
samedi, octobre 20, 2007
Miam!!!
Pas grand chose de neuf aujourd'hui, sinon le repas d'anniversaire du frangin. Pour l'occasion, Môman avait fait mijoter un délicieux plat de fèves et petits pois aux petits oignons. Tout ceci accompagnant du poulet à l'orange. Sans oublier le grand plateau de fromages ni le dessert à base de pâte d'amandes. Ceci est une spéciale dédicace à la Reine qui, la pauvre, là où elle est, ne peut pas vraiment profiter de notre bonne vieille gastronomie. J'avais promis de la faire saliver. Dont acte.
Sinon, j'ai pu voir mon cher neveu qui a bien grandi et forci depuis le mois et demi durant lequel je ne l'avais pas vu. Et c'est marrant comme certains surnoms se retrouvent, c'est aussi: "magrossepatate" de chez ses parents, tout comme une certaine Angel que je vous conseille de lire très vite si ce n'est déjà fait. Il est trop beau mon neveu. Il fait des sourires à tout bout de champ et... Oh mon Dieu, je gâgâtise devant un bébé. Y deviendrai-je sensible?
Trop de flemme aujourd'hui. Je vous abandonne avec un post feignantissime avec même pas une vidéo ou des photos pour meubler.
Bonne fin de week-end les gens. Et compassion énorme pour celles et ceux qui bossent.
Ah oui, j'allais oublier. Si quelqu'un a la recette de la grasse matinée, qu'elle ou il m'en fasse part. Je me suis réveillé comme une fleur ce matin... à 6h30. Réflexe conditionné?Résultat, je me suis lamentablement traîné toute la journée, sans même un canapé d'angle à occuper.Espérons que demain sera d'un autre acabit.
Sinon, j'ai pu voir mon cher neveu qui a bien grandi et forci depuis le mois et demi durant lequel je ne l'avais pas vu. Et c'est marrant comme certains surnoms se retrouvent, c'est aussi: "magrossepatate" de chez ses parents, tout comme une certaine Angel que je vous conseille de lire très vite si ce n'est déjà fait. Il est trop beau mon neveu. Il fait des sourires à tout bout de champ et... Oh mon Dieu, je gâgâtise devant un bébé. Y deviendrai-je sensible?
Trop de flemme aujourd'hui. Je vous abandonne avec un post feignantissime avec même pas une vidéo ou des photos pour meubler.
Bonne fin de week-end les gens. Et compassion énorme pour celles et ceux qui bossent.
Ah oui, j'allais oublier. Si quelqu'un a la recette de la grasse matinée, qu'elle ou il m'en fasse part. Je me suis réveillé comme une fleur ce matin... à 6h30. Réflexe conditionné?Résultat, je me suis lamentablement traîné toute la journée, sans même un canapé d'angle à occuper.Espérons que demain sera d'un autre acabit.
vendredi, octobre 19, 2007
Week end
Ca y est, ma troisième semaine de boulot s'est terminée. C'est marrant comme on s'y fait. Mais bon, demain, je vais faire la grasse matinée. Marre de me lever super tôt et même avant, vu que je me réveille pas mal de temps avant le réveil. C'est d'ailleurs tout moi ça. Il me suffit de mettre un réveil (à absolument n'importe quelle heure) et boum, j'émerge au moins une heure avant. Trop facile.
Aujourd'hui, encore pas grand chose à faire, même si on m'a confié une nouvelle tâche. Les affres de la Poste, ou, du moins, ceux redoutés par les clients, ont sans doute rebuté nos clients qui n'ont donc pas envoyé leurs paiements en masse. Et comme c'est moi qui fait rentrer les sous dans la baraque, quand il n'y en a pas, j'en suis réduit à mendier des activités pour cause de culpabilité galopante. Mais bon, je pense que lundi il y aura le boulot de quatre jours et là on va rigoler, genre je suis pas rentré avant le bout de ma nuit. Et même que je risque de camper sur place s'ils ont un duvet.
Normalement, dernier voyage en bus. A partir de demain, je récupère Lupo et vais gagner du temps. Voyage tranquille. Les divers étudiants qui le garnissent habituellement avaient dû faire la bringue et cuvaient probablement.
C'est week-end sans canapé aussi. Mais anniversaire du frangin. Ca ne compense pas mais bon... C'est sympa aussi la famille.
Bon week-end les gens.
Aujourd'hui, encore pas grand chose à faire, même si on m'a confié une nouvelle tâche. Les affres de la Poste, ou, du moins, ceux redoutés par les clients, ont sans doute rebuté nos clients qui n'ont donc pas envoyé leurs paiements en masse. Et comme c'est moi qui fait rentrer les sous dans la baraque, quand il n'y en a pas, j'en suis réduit à mendier des activités pour cause de culpabilité galopante. Mais bon, je pense que lundi il y aura le boulot de quatre jours et là on va rigoler, genre je suis pas rentré avant le bout de ma nuit. Et même que je risque de camper sur place s'ils ont un duvet.
Normalement, dernier voyage en bus. A partir de demain, je récupère Lupo et vais gagner du temps. Voyage tranquille. Les divers étudiants qui le garnissent habituellement avaient dû faire la bringue et cuvaient probablement.
C'est week-end sans canapé aussi. Mais anniversaire du frangin. Ca ne compense pas mais bon... C'est sympa aussi la famille.
Bon week-end les gens.
jeudi, octobre 18, 2007
Bizarre...
Aujourd'hui, ça a été bizarre au boulot. Nous avons déjà pu constater que la poste ne faisait pas entièrement grève au vu de l'abondant courrier que nous avons reçu et que j'ai classé. Cependant, il n'y avait pas tant de boulot que ça et, comme le gros dossier que je dois saisir doit être déminé avant, je n'ai pas pu m'en occuper. Ben oui, déminé. Visiblement, nous en recevons un comme ça tous les mois et il est tellement truffé de couenneries que deux personnes doivent se pencher dessus avant tout boulot dessus. Je l'ai donc scanné et expédié via intranet à qui de droit. Le problème, c'est qu'à 13h30, j'avais pour ainsi dire terminé tout ce que j'avais à faire. Et en plus, j'ai appris que le truc sur lequel j'avais sué sang et eau hier, je n'aurais pas dû le faire vu que le client ne paiera pas si j'ai bien tout compris. Donc, aprème un peu étrange où je mendiais de quoi m'occuper jusqu'à la sortie, vu que je culpabilisais un chouïa. Mais bon, demain on m'apprend un truc de plus et je serai plus occupé.
A la cantine, le jeudi c'est pizza. En avant pour une ventrée de sucres lents et de protéines. Mais toujours fruits et crudités. On ne se refait pas. Et ce soir, c'est encore steak. Il m'en reste un. Après, courses nécessaires. Je vais donc couper Totor le temps de la cuisson. Faiche...
Et un grand merci à Sixtine pour le prêt de sa Touingo en ces temps difficiles de mouvements sociaux. Je suis solidaire mais j'ai quand même besoin d'aller bosser. Et c'est à Dâche.
Bonne soirée les gens.
A la cantine, le jeudi c'est pizza. En avant pour une ventrée de sucres lents et de protéines. Mais toujours fruits et crudités. On ne se refait pas. Et ce soir, c'est encore steak. Il m'en reste un. Après, courses nécessaires. Je vais donc couper Totor le temps de la cuisson. Faiche...
Et un grand merci à Sixtine pour le prêt de sa Touingo en ces temps difficiles de mouvements sociaux. Je suis solidaire mais j'ai quand même besoin d'aller bosser. Et c'est à Dâche.
Bonne soirée les gens.
mercredi, octobre 17, 2007
On est ce que l'on mange
J'avais promis un post sur mes habitudes alimentaires. Le voilà.
J'ai pour coutume de manger tout plein de crudités, sources de fibres et de vitamines, le tout accompagné de jambon et de pain complet. Sans oublier le bon morceau de fromage qui le fait bien. Pour ceux qui aiment et ceux qui peuvent se le permettre bien sûr. Sans oublier un fruit de saison. En ce moment, c'est poires. Et le midi à la cantine, c'est à peu de choses près la même chose. Sauf qu'il y a de l'ananas et du kiwi et que j'adore ça. D'ailleurs, Sixtine m'a fait remarquer que c'était un peu bizarre de ma part. De ne manger que des crudités. Et Ashley m'a fait remarquer qu'en sortant de gastro, ce n'était pas malin. Dont acte. Donc, ce soir je me suis fait un steak avec des pâtes. Mais avec une poire quand même. Faut pas déconner non plus. Et je signale à cette dernière (Ashley donc) que quand j'étais malade, c'était riz bouilli sans rien d'autre. Rien de dramatique donc. Et demain, à la cantine, c'est pizza. S'il y a encore. Ce midi, il y en avait et ça avait l'air vachement bon. On verra bien.
Sinon, j'ai failli devenir dingue deux fois aujourd'hui. Une fois ce matin dans le bus où une juvénile pimprenelle s'est ramenée, lecteur Aime Paix Troie avec haut parleurs à fond les manettes qui diffusait une daube infâme qu'il a fallu supporter tout le trajet. La deuxième cet aprème, où, après une longue saisie de factures avec couenneries en tous genres, je me suis rendu compte qu'il y avait une différence. Minime certes, mais elle était là. J'ai donc repris ligne par ligne. Rien. Appel de collègue, nouvelle reprise. Toujours rien. Je voyais déjà le moment où il fallait tout refaire. 1h30 foutues en l'air et perspective de rentrer super tard. Heureusement qu'à la troisième révision, nous nous sommes rendus compte qu'il y avait un 8 mystérieusement transformé en 4. Ouf!!! Correction donc. Et demain, gros morceau. Un truc de 62 pages à saisir en espérant qu'il ne sera pas trop truffé. Sinon, je campe sur place. Parce que j'en ai en gros pour la journée, sans compter qu'il y aura les trucs reçus de la journée.Plaignez moi les gens.
C'est tout pour aujourd'hui. Je vais me vautrer devant la téloche.
Bonne soirée
J'avais oublié. J'ai aussi tout plein de chocolat en ce moment. Avec la tisane du soir, c'est divin.
J'ai pour coutume de manger tout plein de crudités, sources de fibres et de vitamines, le tout accompagné de jambon et de pain complet. Sans oublier le bon morceau de fromage qui le fait bien. Pour ceux qui aiment et ceux qui peuvent se le permettre bien sûr. Sans oublier un fruit de saison. En ce moment, c'est poires. Et le midi à la cantine, c'est à peu de choses près la même chose. Sauf qu'il y a de l'ananas et du kiwi et que j'adore ça. D'ailleurs, Sixtine m'a fait remarquer que c'était un peu bizarre de ma part. De ne manger que des crudités. Et Ashley m'a fait remarquer qu'en sortant de gastro, ce n'était pas malin. Dont acte. Donc, ce soir je me suis fait un steak avec des pâtes. Mais avec une poire quand même. Faut pas déconner non plus. Et je signale à cette dernière (Ashley donc) que quand j'étais malade, c'était riz bouilli sans rien d'autre. Rien de dramatique donc. Et demain, à la cantine, c'est pizza. S'il y a encore. Ce midi, il y en avait et ça avait l'air vachement bon. On verra bien.
Sinon, j'ai failli devenir dingue deux fois aujourd'hui. Une fois ce matin dans le bus où une juvénile pimprenelle s'est ramenée, lecteur Aime Paix Troie avec haut parleurs à fond les manettes qui diffusait une daube infâme qu'il a fallu supporter tout le trajet. La deuxième cet aprème, où, après une longue saisie de factures avec couenneries en tous genres, je me suis rendu compte qu'il y avait une différence. Minime certes, mais elle était là. J'ai donc repris ligne par ligne. Rien. Appel de collègue, nouvelle reprise. Toujours rien. Je voyais déjà le moment où il fallait tout refaire. 1h30 foutues en l'air et perspective de rentrer super tard. Heureusement qu'à la troisième révision, nous nous sommes rendus compte qu'il y avait un 8 mystérieusement transformé en 4. Ouf!!! Correction donc. Et demain, gros morceau. Un truc de 62 pages à saisir en espérant qu'il ne sera pas trop truffé. Sinon, je campe sur place. Parce que j'en ai en gros pour la journée, sans compter qu'il y aura les trucs reçus de la journée.Plaignez moi les gens.
C'est tout pour aujourd'hui. Je vais me vautrer devant la téloche.
Bonne soirée
J'avais oublié. J'ai aussi tout plein de chocolat en ce moment. Avec la tisane du soir, c'est divin.
mardi, octobre 16, 2007
Un jour de plus
Ce soir, je vais être bref. Je n'ai pas encore mangé et le souvenir du repas à la cantine commence à s'estomper. Il faut donc que j'aille refaire provision de glucose, fibres et autres protéines.
La journée s'est bien passée et je m'enhardis de plus en plus. Je n'ai quasiment jamais appelé au secours mes collègues, ce que je prends comme un bon signe. Bientôt, je serai totalement autonome et pourrai gérer mon temps comme bon me semble. Parce qu'en ce moment, c'est plutôt à la va comme je te pousse. Je fais un peu ce que je peux et finis tard pour en avoir le moins possible à faire le lendemain. Ce qui parfois me joue des tours. Par exemple, ce matin, je me suis rendu compte avec effroi du mélange que j'avais fait dans mes classements, ce qui a eu pour effet de mettre une belle panique. Vite rentrée dans l'ordre toutefois et personne ne s'en est rendu compte sinon votre serviteur, seul témoin. Et le reste de la journée fut tranquille. je rentre dans la routine pour mon plus grand bonheur sans toutefois tout faire mécaniquement. Sinon, où serait le plaisir? Je vous le demande.
Ah oui, j'ai reçu ma convocation à l'examen de la médecine du travail pour voir si je suis apte au poste. Quand j'irai, je serai sur place depuis quasiment quatre semaines. assez longtemps à mon goût pour savoir si je peux bosser ou pas. M'enfin...
Transports moins bondés que d'habitude mais toujours aussi en retard le matin, ce qui me fait doucement flipper d'arriver à la bourre. Saluons quand même le gentil chauffeur du retour qui s'est arrêté exprès pour moi avant l'endroit exact pour que je puisse monter. Grâces lui soient rendues, j'aurais poireauté 20 minutes sans lui. J'ai quand même eu droit au couplet rigolard sur le fait qu'après l'heure c'est plus l'heure mais bon...
J'ai faim. je vous quitte.
Bonne nuit les gens.
La journée s'est bien passée et je m'enhardis de plus en plus. Je n'ai quasiment jamais appelé au secours mes collègues, ce que je prends comme un bon signe. Bientôt, je serai totalement autonome et pourrai gérer mon temps comme bon me semble. Parce qu'en ce moment, c'est plutôt à la va comme je te pousse. Je fais un peu ce que je peux et finis tard pour en avoir le moins possible à faire le lendemain. Ce qui parfois me joue des tours. Par exemple, ce matin, je me suis rendu compte avec effroi du mélange que j'avais fait dans mes classements, ce qui a eu pour effet de mettre une belle panique. Vite rentrée dans l'ordre toutefois et personne ne s'en est rendu compte sinon votre serviteur, seul témoin. Et le reste de la journée fut tranquille. je rentre dans la routine pour mon plus grand bonheur sans toutefois tout faire mécaniquement. Sinon, où serait le plaisir? Je vous le demande.
Ah oui, j'ai reçu ma convocation à l'examen de la médecine du travail pour voir si je suis apte au poste. Quand j'irai, je serai sur place depuis quasiment quatre semaines. assez longtemps à mon goût pour savoir si je peux bosser ou pas. M'enfin...
Transports moins bondés que d'habitude mais toujours aussi en retard le matin, ce qui me fait doucement flipper d'arriver à la bourre. Saluons quand même le gentil chauffeur du retour qui s'est arrêté exprès pour moi avant l'endroit exact pour que je puisse monter. Grâces lui soient rendues, j'aurais poireauté 20 minutes sans lui. J'ai quand même eu droit au couplet rigolard sur le fait qu'après l'heure c'est plus l'heure mais bon...
J'ai faim. je vous quitte.
Bonne nuit les gens.
lundi, octobre 15, 2007
On a repris
Ben oui, c'est lundi. Retour au boulot. Avec la petite boule au ventre, conséquence de mon absence de la fin de semaine dernière. Boule infondée tant ma reprise s'est bien passée avec plein de compassion de la part de mes collègues. Mais reprise un peu hard vu qu'il y avait du boulot à rattraper et que le lundi il y a double courrier et donc double ration de factures à saisir. En plus, ce matin, j'étais de mailing pour nos chers fournisseurs. Juste une cinquantaine d'enveloppes à garnir. Ce n'est pas la mort du petit cheval mais ça prend un peu de temps.
Midi a été consacré aux soucis que nous posent nos chères têtes blondes à l'école avec tous les jeux dangereux qui existent et que de toute façon si le collège est trop pourri, je la mets dans le privé. Là, pas trop concerné le Faffwah. Heureusement que la conversation a viré sur le fameux match de samedi soir qui a déjà fait couler tant d'encre. Là, j'ai pu glisser mon petit grain de sel, d'autant que mes collègues ne comprennent pas grand chose à ce jeu. La principale information retenue était quand même la possible suspension d'un néanderthalien soi-disant coupable d'un plaquage un peu haut. Rien vu de tel moi.
Sinon, toujours l'enfer des transports. Avec un bus ce matin qui a pris une bonne dizaine de minutes de retard et qui était encore plus bondé que d'habitude, si c'était possible. Paraît-il qu'il y aurait eu des perturbations. M'enfin... Retour plus tranquille quand même. Et bientôt Lupo. Elle est enfin guérie et a passé brillamment son examen. Je vais pouvoir mieux gérer mon temps vu qu'il faut que je pense à ne pas louper le dernier bus au boulot et, surtout, me lever un peu plus tard le matin. Ou lire plus de blogs. On verra.
C'est tout les gens. Je vais bien et tout roule. A bientôt.
Midi a été consacré aux soucis que nous posent nos chères têtes blondes à l'école avec tous les jeux dangereux qui existent et que de toute façon si le collège est trop pourri, je la mets dans le privé. Là, pas trop concerné le Faffwah. Heureusement que la conversation a viré sur le fameux match de samedi soir qui a déjà fait couler tant d'encre. Là, j'ai pu glisser mon petit grain de sel, d'autant que mes collègues ne comprennent pas grand chose à ce jeu. La principale information retenue était quand même la possible suspension d'un néanderthalien soi-disant coupable d'un plaquage un peu haut. Rien vu de tel moi.
Sinon, toujours l'enfer des transports. Avec un bus ce matin qui a pris une bonne dizaine de minutes de retard et qui était encore plus bondé que d'habitude, si c'était possible. Paraît-il qu'il y aurait eu des perturbations. M'enfin... Retour plus tranquille quand même. Et bientôt Lupo. Elle est enfin guérie et a passé brillamment son examen. Je vais pouvoir mieux gérer mon temps vu qu'il faut que je pense à ne pas louper le dernier bus au boulot et, surtout, me lever un peu plus tard le matin. Ou lire plus de blogs. On verra.
C'est tout les gens. Je vais bien et tout roule. A bientôt.
vendredi, octobre 12, 2007
Du mieux
je poursuis ma convalescence avec toute l'aide des messages de compassion que j'ai reçu et dont je tiens à remercier leurs auteurs. Ca m'a fait vraiment plaisir.
Sinon, pas grand chose à raconter. Je suis un régime à base de riz bouilli et de coca touillé pour enlever les bulles, il paraît, d'après la toubib, que ça fait du bien. et discipliné comme je suis, je le fais. Pour le riz bouilli, c'est ma diététicienne conseil Sixtine.
Visiblement, la fièvre est un peu tombée, ce qui fait que je ne suis plus obligé de me réchauffer sous la couette. C'est déjà ça. Mais j'ai toujours un peu froid, ce qui n'est pas vraiment normal au vu du temps qu'il fait. Mais je vais me remettre, ne vous en faites pas.
Je passe ma journée à lire des blogs et à bouquiner couché. Rien de bien passionnant donc. J'espère que la suite sera un peu plus palpitante quand je pourrai sortir.
En attendant, je vais attaquer ça:
Un parent d'Ashley? Pas originale la blague. Sixtine qui m'a prêté le bouquin a dû déjà la faire. Désolé.
La photo est un peu floue, mais je suis obligé de tout prendre au flash chez moi, tellement c'est lumineux. Et ne vous inquiétez pas, le titre ne correspond en rien à mon état d'esprit.
Bonne journée les gens.
P.S. Si Ashley a eu une fleur de ma part, c'est que c'était ma 1000ème visiteuse et que donc elle avait gagné quelque chose. Pour la 2000ème, on verra bien ce que je pourrai faire.
Sinon, pas grand chose à raconter. Je suis un régime à base de riz bouilli et de coca touillé pour enlever les bulles, il paraît, d'après la toubib, que ça fait du bien. et discipliné comme je suis, je le fais. Pour le riz bouilli, c'est ma diététicienne conseil Sixtine.
Visiblement, la fièvre est un peu tombée, ce qui fait que je ne suis plus obligé de me réchauffer sous la couette. C'est déjà ça. Mais j'ai toujours un peu froid, ce qui n'est pas vraiment normal au vu du temps qu'il fait. Mais je vais me remettre, ne vous en faites pas.
Je passe ma journée à lire des blogs et à bouquiner couché. Rien de bien passionnant donc. J'espère que la suite sera un peu plus palpitante quand je pourrai sortir.
En attendant, je vais attaquer ça:
Un parent d'Ashley? Pas originale la blague. Sixtine qui m'a prêté le bouquin a dû déjà la faire. Désolé.
La photo est un peu floue, mais je suis obligé de tout prendre au flash chez moi, tellement c'est lumineux. Et ne vous inquiétez pas, le titre ne correspond en rien à mon état d'esprit.
Bonne journée les gens.
P.S. Si Ashley a eu une fleur de ma part, c'est que c'était ma 1000ème visiteuse et que donc elle avait gagné quelque chose. Pour la 2000ème, on verra bien ce que je pourrai faire.
jeudi, octobre 11, 2007
Pas bien
Dans la série rien ne va plus, ce jour restera gravé en moi.
Dès le lever, frissons, nausées, j'en passe et des meilleures. N'écoutant que mon courage qui me disait de retourner me coucher, j'ai empoigné mon bigophone préféré et ai passé deux coups de fil. Un au boulot pour leur dire que, ok c'est cool le pique-nique mais bon, aujourd'hui c'est pas bon pour moi et un à la toubib parce que je ne voulais pas mourir comme ça. Et comme je crevais de froid (pas normal du tout pour moi, ça), j'ai mis, tenez vous bien, un pull et des chaussettes, ce qui n'est pas du tout mon genre, et me suis mis en grelottant sous la couette en attendant que ça passe. Ce qui n'est pas vraiment arrivé avec donc de fréquents voyages vers les wawas.
Sur les conseils de Sixtine, experte en bouffe, je me suis décidé à me faire du riz bouilli à midi, histoire de me caler un peu le ventrou qui faisait bobo. Et là, surprise. La pratique de l'internet n'est pas compatible avec la cuisson chez moi. Ben non. Ordinateur + plaque chauffante = sautage intempestif des plombs. Faut donc en éteindre un pour se servir de l'autre. Trop puissante l'installation électrique chez moi dites donc. Je mangerai mon riz cru la prochaine fois. Et à l'occasion en toucherai deux mots à mon fantôme de proprio qui, bien sûr ne lèvera pas le petit doigt.
Je pensais que j'en avais fini, mais non. Alors que je faisais ma vaisselle (obligatoire: j'en avais pas mal), bling! La montre par terre. Koikinya? Je ramasse et constate que le bracelet s'est carrément fait la malle, complètement pété. Et moi, vivre sans montre, c'est juste pas possible. La victime est donc en soins intensifs chez l'horloger du quartier. Et moi tout nu. C'est du moins mon impression.
Ajoutez à ça un sentiment de culpabilité de ne pas être allé bosser, que le boulot va s'accumuler pour les autres et toussa. Oui, je me sens mal d'abandonner mon poste,même si, d'après la toubib, je suis en vrac avec forte fièvre et tout le tremblement et donc conseil de rester couché au moins deux jours.
Vivement que cette journée se termine, moi j'en ai un peu marre.
Dès le lever, frissons, nausées, j'en passe et des meilleures. N'écoutant que mon courage qui me disait de retourner me coucher, j'ai empoigné mon bigophone préféré et ai passé deux coups de fil. Un au boulot pour leur dire que, ok c'est cool le pique-nique mais bon, aujourd'hui c'est pas bon pour moi et un à la toubib parce que je ne voulais pas mourir comme ça. Et comme je crevais de froid (pas normal du tout pour moi, ça), j'ai mis, tenez vous bien, un pull et des chaussettes, ce qui n'est pas du tout mon genre, et me suis mis en grelottant sous la couette en attendant que ça passe. Ce qui n'est pas vraiment arrivé avec donc de fréquents voyages vers les wawas.
Sur les conseils de Sixtine, experte en bouffe, je me suis décidé à me faire du riz bouilli à midi, histoire de me caler un peu le ventrou qui faisait bobo. Et là, surprise. La pratique de l'internet n'est pas compatible avec la cuisson chez moi. Ben non. Ordinateur + plaque chauffante = sautage intempestif des plombs. Faut donc en éteindre un pour se servir de l'autre. Trop puissante l'installation électrique chez moi dites donc. Je mangerai mon riz cru la prochaine fois. Et à l'occasion en toucherai deux mots à mon fantôme de proprio qui, bien sûr ne lèvera pas le petit doigt.
Je pensais que j'en avais fini, mais non. Alors que je faisais ma vaisselle (obligatoire: j'en avais pas mal), bling! La montre par terre. Koikinya? Je ramasse et constate que le bracelet s'est carrément fait la malle, complètement pété. Et moi, vivre sans montre, c'est juste pas possible. La victime est donc en soins intensifs chez l'horloger du quartier. Et moi tout nu. C'est du moins mon impression.
Ajoutez à ça un sentiment de culpabilité de ne pas être allé bosser, que le boulot va s'accumuler pour les autres et toussa. Oui, je me sens mal d'abandonner mon poste,même si, d'après la toubib, je suis en vrac avec forte fièvre et tout le tremblement et donc conseil de rester couché au moins deux jours.
Vivement que cette journée se termine, moi j'en ai un peu marre.
mercredi, octobre 10, 2007
Pas beau
Aujourd'hui, pluie. Et comme pour le faire exprès, Juste au moment où j'attendais mon bus.Ce matin et tout à l'heure en rentrant. Parce qu'au milieu, grand beau temps. Je vais finir par croire qu'il existe un mauvais génie qui s'occupe de moi au niveau météo. Parce que, bien sûr, je n'avais pas de parapluie. Donc, arrivé mouillé au boulot (pas top quand même, ce n'était pas le déluge non plus) et obligé de me changer en arrivant. En fait, pas trop. Je me change systématiquement en rentrant. J'ai mon déguisement de travailleur (pantalon comme il faut, belle chemise) et ma tenue de tous les jours qui est plus un assortiment jean t-shirt. Que je préfère. Plus décontracté.
Au boulot, c'était plutôt désert, deux mères de famille prenant leur mercredi pour leurs chères têtes blondes. Ajoutez à ça que les deux autres sont parties manger ailleurs pour, je crois, faire des courses et vous obtenez que je me suis retrouvé tout seul à la cantine. Et ça n'a pas traîné. J'ai avalé ma pitance assez rapidement et suis remonté me prendre un petit café. Première fois que je le payais, mes collègues me l'offrant systématiquement depuis ma prise de poste. Mais toujours tout seul. après, j'ai profité du reste de ma pause et de ma nouvelle connexion internet que j'ai pour envoyer quelques mails perso. C'est permis du moment qu'il n'y a pas d'abus et que ça reste en dehors des heures de travail. Ensuite, aprème de saisies monstrueuses et truffées d'erreurs, nos chers clients s'accordant généreusement des acomptes qu'il faut régulariser. Et là, je suis toujours aux basques d'une de mes collègues dans la mesure où je n'ai pas assez de privilèges sur la base de données pour tout avoir. moi, je suis juste là pour saisir et pas pour modifier ou consulter d'autres trucs. C'est un peu frustrant et je culpabilise de déranger une personne pour ça. Pénible quoi. Alors, je fais ce que je peux, du moment que le boulot avance.
Sinon, pas de nouvelles de Monica. Il faut dire qu'elle est légèrement handicapée de la communication,c'est à dire qu'elle répugne un chouïa à décrocher l'un ou l'autre de ses téléphones. Quant à appeler, c'est encore une autre paire de manches. Nous passons donc des jours à ne pas nous parler. C'est comme ça...
Demain,pique-nique. Je vous raconterai si je n'ai pas succombé à la digestion entretemps.
Bonne soirée les gens.
Au boulot, c'était plutôt désert, deux mères de famille prenant leur mercredi pour leurs chères têtes blondes. Ajoutez à ça que les deux autres sont parties manger ailleurs pour, je crois, faire des courses et vous obtenez que je me suis retrouvé tout seul à la cantine. Et ça n'a pas traîné. J'ai avalé ma pitance assez rapidement et suis remonté me prendre un petit café. Première fois que je le payais, mes collègues me l'offrant systématiquement depuis ma prise de poste. Mais toujours tout seul. après, j'ai profité du reste de ma pause et de ma nouvelle connexion internet que j'ai pour envoyer quelques mails perso. C'est permis du moment qu'il n'y a pas d'abus et que ça reste en dehors des heures de travail. Ensuite, aprème de saisies monstrueuses et truffées d'erreurs, nos chers clients s'accordant généreusement des acomptes qu'il faut régulariser. Et là, je suis toujours aux basques d'une de mes collègues dans la mesure où je n'ai pas assez de privilèges sur la base de données pour tout avoir. moi, je suis juste là pour saisir et pas pour modifier ou consulter d'autres trucs. C'est un peu frustrant et je culpabilise de déranger une personne pour ça. Pénible quoi. Alors, je fais ce que je peux, du moment que le boulot avance.
Sinon, pas de nouvelles de Monica. Il faut dire qu'elle est légèrement handicapée de la communication,c'est à dire qu'elle répugne un chouïa à décrocher l'un ou l'autre de ses téléphones. Quant à appeler, c'est encore une autre paire de manches. Nous passons donc des jours à ne pas nous parler. C'est comme ça...
Demain,pique-nique. Je vous raconterai si je n'ai pas succombé à la digestion entretemps.
Bonne soirée les gens.
mardi, octobre 09, 2007
Trop bon!!
J'ai ouvert la première bouteille. Impossible de résister plus longtemps. Et là, la révélation: aucune stock option au monde ne vaut ce jus de pomme bio. Il déchire trop sa race. Et comme je suis généreux de nature, j'en ai apporté une bouteille à Sixtine qui est balade la pauvre. Ca ne pourra que lui faire du bien. En tout cas, ça m'en a fait à moi. Mais il va falloir faire gaffe. Ca part vraiment trop vite.
Sinon, une journée tout à fait normale. Avec du rugby à la cantine. Tout le monde, même mes collègues, en parle. Et la cantine a pris une déco aux couleurs de l'ovalie. C'est marrant cet effet de mode. Moi, je suis tombé dedans tout petit (oncle éducateur rugby) et en ai tâté un peu lors de mes études alors que j'étais encore sportif. Mais c'est du passé tout ça et je me contente maintenant de trépigner devant le petit écran. On vieillit ma bonne dame.
Post un peu pourri ce soir. Désolé mais je suis un peu las et ne vais pas trop tarder à rejoindre mon lit avec un bouquin. Privé de séries ce soir. Bonne nuit les gens.
Sinon, une journée tout à fait normale. Avec du rugby à la cantine. Tout le monde, même mes collègues, en parle. Et la cantine a pris une déco aux couleurs de l'ovalie. C'est marrant cet effet de mode. Moi, je suis tombé dedans tout petit (oncle éducateur rugby) et en ai tâté un peu lors de mes études alors que j'étais encore sportif. Mais c'est du passé tout ça et je me contente maintenant de trépigner devant le petit écran. On vieillit ma bonne dame.
Post un peu pourri ce soir. Désolé mais je suis un peu las et ne vais pas trop tarder à rejoindre mon lit avec un bouquin. Privé de séries ce soir. Bonne nuit les gens.
lundi, octobre 08, 2007
Jus de pomme, boulot et pique-nique
Ca y est. J'ai mon jus de pomme. Et, bonne surprise, ce n'est pas un mais quatre litres que j'ai reçu. Franchement, je m'attendais à moins. Cool! Je vais pouvoir régaler mon entourage au cours de festives dégustations. Ca, c'était le début de cette longue journée. Longue parce qu'il y avait un boulot de dingue. j'ai dû faire des heures supplémentaires pour pouvoir tout boucler. Ambiance tête dans le guidon donc. Pas le temps de papoter avec mon entourage. Sauf à la cantine. Et là, le sujet de conversation portait sur les diverses maladies que peuvent attraper les enfants.Comme la paternité est une notion qui m'est assez lointaine, j'ai fort peu participé, préférant me consacrer à mon assiette. Très bonne comme d'habitude. J'aurais préféré comme la dernière fois un papotage en règle sur les diverses séries dont nous abreuvent nos chers médias ou sur les dernières sorties cinéma mais bon, tant pis. Ce sera mieux la prochaine fois. Enfin, j'espère. Parce qu'avec des mères de famille comme interlocutrices, j'ai peur que ça vire bientôt à quoi acheter pour Noël pour leurs chères têtes blondes. J'ai quand même réussi à en placer une car l'une d'entre elles a un ado qui veut absolument un aïpode comme ses copains et elle cherchait du conseil. Ouf!!!
Sinon, aprème bien rempli avec pour seule distraction un mail d'une collègue prévenant pour le pique-nique de jeudi. Oui, mon service organise ce genre de festivités et je n'étais pas encore au courant. Grâce soit rendue à l'intranet. Au programme, charcuteries diverses et fromages non moins variés. Et le mieux, c'est que tout est organisé. Rien à faire ni à apporter. Sauf un gobelet pour les boissons. Je sais tout ça parce que je me suis bien sûr renseigné par retour de message. Je sens que ça va bosser dur dans trois jours. D'autant qu'il y a une réunion du service avant. Mais là, je ne sais pas si je suis convié. Il semblerait que ce soit au sujet des prochaines mutations, le siège de ma boîte mutant sur Paris et (un de plus, comme s'il n'y en avait pas assez déjà) personne ne voulant déménager. Il y a du reclassement dans l'air. Mais je ne me sens pas vraiment concerné étant donné la brièveté de mon contrat. On verra bien.
Voilà, c'est à peu près tout pour aujourd'hui. En attendant les prochaine péripéties. Bises à vous.
Sinon, aprème bien rempli avec pour seule distraction un mail d'une collègue prévenant pour le pique-nique de jeudi. Oui, mon service organise ce genre de festivités et je n'étais pas encore au courant. Grâce soit rendue à l'intranet. Au programme, charcuteries diverses et fromages non moins variés. Et le mieux, c'est que tout est organisé. Rien à faire ni à apporter. Sauf un gobelet pour les boissons. Je sais tout ça parce que je me suis bien sûr renseigné par retour de message. Je sens que ça va bosser dur dans trois jours. D'autant qu'il y a une réunion du service avant. Mais là, je ne sais pas si je suis convié. Il semblerait que ce soit au sujet des prochaines mutations, le siège de ma boîte mutant sur Paris et (un de plus, comme s'il n'y en avait pas assez déjà) personne ne voulant déménager. Il y a du reclassement dans l'air. Mais je ne me sens pas vraiment concerné étant donné la brièveté de mon contrat. On verra bien.
Voilà, c'est à peu près tout pour aujourd'hui. En attendant les prochaine péripéties. Bises à vous.
vendredi, octobre 05, 2007
Week-end
Ca y est, j'y suis arrivé. Cool.
C'est marrant, je n'arrive pas à me faire au fait que c'est réellement du boulot. Il y a un truc au fond de moi qui me fait penser que c'est un stage, comme ceux que j'ai eus lors de ma formation. Mais bon, cette sensation devrait s'estomper avec le temps. Enfin, j'espère. En tout cas, bonne nouvelle, je suis très motivé le matin pour y aller. Et culpabilise un peu quand le bus traine ou quand je pars avant certaines le soir. Je pense que je ferai plus d'heures la semaine prochaine. Mais pas trop. Passée une certaine heure, plus de bus et la perspective de me frapper le trajet du retour à pieds m'effraie un tantinet. C'est que ce n'est pas vraiment la porte à côté quand même.
Au programme des deux jours qui viennent. De la révision de mes procédures. Un peu. Ben oui, je ne suis pas encore tout à fait au point et j'en ai marre de demander sans cesse à celle qui me forme, même si elle est très gentille avec moi. Je ne veux pas abuser de sa patience. Et puis, du canapé d'angle. Beaucoup. Avec Monica et Zéphyr. Et si j'ai le temps, visite à la famille. On verra. Mais surtout, demain matin, c'est grasse matinée. Si j'y arrive. Tel que je me connais, je vais ouvrir l'oeil comme d'habitude et ce n'est pas le but du week-end.
Une pensée à celles et ceux qui ne pourront pas se reposer. Bon courage à eux. Et bon week-end aux autres.
C'est marrant, je n'arrive pas à me faire au fait que c'est réellement du boulot. Il y a un truc au fond de moi qui me fait penser que c'est un stage, comme ceux que j'ai eus lors de ma formation. Mais bon, cette sensation devrait s'estomper avec le temps. Enfin, j'espère. En tout cas, bonne nouvelle, je suis très motivé le matin pour y aller. Et culpabilise un peu quand le bus traine ou quand je pars avant certaines le soir. Je pense que je ferai plus d'heures la semaine prochaine. Mais pas trop. Passée une certaine heure, plus de bus et la perspective de me frapper le trajet du retour à pieds m'effraie un tantinet. C'est que ce n'est pas vraiment la porte à côté quand même.
Au programme des deux jours qui viennent. De la révision de mes procédures. Un peu. Ben oui, je ne suis pas encore tout à fait au point et j'en ai marre de demander sans cesse à celle qui me forme, même si elle est très gentille avec moi. Je ne veux pas abuser de sa patience. Et puis, du canapé d'angle. Beaucoup. Avec Monica et Zéphyr. Et si j'ai le temps, visite à la famille. On verra. Mais surtout, demain matin, c'est grasse matinée. Si j'y arrive. Tel que je me connais, je vais ouvrir l'oeil comme d'habitude et ce n'est pas le but du week-end.
Une pensée à celles et ceux qui ne pourront pas se reposer. Bon courage à eux. Et bon week-end aux autres.
jeudi, octobre 04, 2007
Vivement
Ce week-end parce que, ça y est, j'ai mon premier coup de pompe de travailleur. Sans doute le fait que je me suis plus activé aujourd'hui. J'ai enfin mon login, alors je ne suis plus dépendant des autres pour travailler. Je suis enfin autonome, youpi!!! Mais je n'en ai toujours pas profité personellement. Pas trop envie. Pour la fatigue, en fait, c'est que je me lève vachement plus tôt qu'avant et me couche comme d'habitude. Perte de temps de sommeil garantie. A rattraper dès samedi en canapant d'angle (du verbe canaper, participe passé canapé) chez Monica.
La paie parce que, mine de rien, ça coûte vachement cher d'être actif. Vachement plus que de rester scotché chez soi à candidater via mail et attendre d'hypothétiques réponse. Mais je ne vais pas se plaindre. Déjà je bosse, et c'est très bien. Si seulement ça pouvait durer.
Je suis bref ce soir mais là, je suis un peu las et j'ai faim. Et la perspective du quoi faire pour me sustenter occupe une grande partie de mes méninges. C'est que c'est compliqué de se faire un menu roboratif et bon. Et varié. Enfin, pour moi oui. Je serais plutôt du genre à me laisser aller à manger n'importe quoi. Mais j'essaie de faire gaffe. Et manger tous les soirs la même chose, c'est un tantinet déprimant. Heureusement qu'il y a la cantine à midi pour la variété. Et c'est bon. J'allais oublier. Manger tout seul, c'est un peu triste aussi. Alors, je lance un appel à toutes celles et à tous ceux qui sont dans mon cas. Manger ensemble par webcam. Ca serait plus convivial, non?
Peut-être à tout à l'heure. Soyez sages les gens.
La paie parce que, mine de rien, ça coûte vachement cher d'être actif. Vachement plus que de rester scotché chez soi à candidater via mail et attendre d'hypothétiques réponse. Mais je ne vais pas se plaindre. Déjà je bosse, et c'est très bien. Si seulement ça pouvait durer.
Je suis bref ce soir mais là, je suis un peu las et j'ai faim. Et la perspective du quoi faire pour me sustenter occupe une grande partie de mes méninges. C'est que c'est compliqué de se faire un menu roboratif et bon. Et varié. Enfin, pour moi oui. Je serais plutôt du genre à me laisser aller à manger n'importe quoi. Mais j'essaie de faire gaffe. Et manger tous les soirs la même chose, c'est un tantinet déprimant. Heureusement qu'il y a la cantine à midi pour la variété. Et c'est bon. J'allais oublier. Manger tout seul, c'est un peu triste aussi. Alors, je lance un appel à toutes celles et à tous ceux qui sont dans mon cas. Manger ensemble par webcam. Ca serait plus convivial, non?
Peut-être à tout à l'heure. Soyez sages les gens.
mercredi, octobre 03, 2007
voyages
Ce matin, préparation ultra rapide pour essayer de prendre le bus d'avant. Essai concluant: il est beaucoup plus tranquille au niveau du trajet. Les quelques gremlins qui l'occupent sont encore trop pleins de sommeil pour vociférer et ce n'est pas encore l'heure de pointe au niveau de la circulation. Résultat des courses, je me suis retrouvé au boulot alors qu'il n'y avait encore personne à l'exception d'un cerbère qui, ne m'ayant pas reconnu (forcément, il ne m'avait jamais vu avant), a examiné mon badge à tout faire sous toutes les coutures en me demandant si je bossais vraiment là bas avant que je ne lui explique que je venais juste de commencer. Ceci fait, je suis monté à mon bureau (désert) poser mes affaires. En l'absence de login, pas moyen de pouvoir me connecter au ternet ni de pouvoir commencer à bosser. Je me suis donc rendu à la machine à café afin d'ingurgiter une partie de ma dose quotidienne en relisant mes notes sur comment qu'on fait pour être un vrai comptable.
8h20, arrivée de ma première collègue assez ébahie de trouver quelqu'un sur place et qui m'a expliqué par le détail que ce n'était vraiment pas la peine de venir si tôt pour ne rien faire et que de toute façon, il fallait attendre les autres pour que je puisse faire quoi que ce soit. Poireautage donc. Le reste de la troupe arrivé, on me dit qu'aujourd'hui c'était bouclage du mois précédent et que donc on ne pourrait pas trop s'occuper de moi. Patience, patience. J'ai donc vaqué à mes occupations du matin (un peu de saisie, un peu de classement et le courrier) en attendant la cantine. Là, discussions cinéma sur les dernières sorties qu'on irait voir ou pas et que de toute façon mon chéri il n'aime pas les films français alors on ira voir Matt Damon. Remontage au bureau via la machine à café (encore offert, je suis chouchouté ou alors dans deux jours il faudra payer ma tournée à tout l'étage. A voir...) avec petit chocolat au lait. Miam.
Cet après-midi, découverte d'une saisie que je ne connaissais pas encore avec mise en pratique. Avec auparavant, interrogation des comptes pour voir si tout va bien. Long quoi. j'ai même fini plus tard que prévu parce que je voulais finir mes deux pages de chiffres. Si ce n'est pas de la conscience professionnelle ça. Et j'ai loupé mon bus de retour. D'où re-poireautage à l'arrêt en priant pour qu'il ne pleuve pas (il faisait assez gris aujourd'hui) et récupération de gremlins au retour. Mais dans l'ensemble, ça se passe bien en attendant le vrai début de ma formation qui devrait avoir lieu demain. On verra.
Demain, je reprends mon bus habituel. En attendant, soyez sages.
J'allais oublier. Je vais avoir du jus de pomme. Il y a des pommiers autour du bâtiment qu'ils font récolter, presser et qu'ils distribuent gratos. Miam!!!
8h20, arrivée de ma première collègue assez ébahie de trouver quelqu'un sur place et qui m'a expliqué par le détail que ce n'était vraiment pas la peine de venir si tôt pour ne rien faire et que de toute façon, il fallait attendre les autres pour que je puisse faire quoi que ce soit. Poireautage donc. Le reste de la troupe arrivé, on me dit qu'aujourd'hui c'était bouclage du mois précédent et que donc on ne pourrait pas trop s'occuper de moi. Patience, patience. J'ai donc vaqué à mes occupations du matin (un peu de saisie, un peu de classement et le courrier) en attendant la cantine. Là, discussions cinéma sur les dernières sorties qu'on irait voir ou pas et que de toute façon mon chéri il n'aime pas les films français alors on ira voir Matt Damon. Remontage au bureau via la machine à café (encore offert, je suis chouchouté ou alors dans deux jours il faudra payer ma tournée à tout l'étage. A voir...) avec petit chocolat au lait. Miam.
Cet après-midi, découverte d'une saisie que je ne connaissais pas encore avec mise en pratique. Avec auparavant, interrogation des comptes pour voir si tout va bien. Long quoi. j'ai même fini plus tard que prévu parce que je voulais finir mes deux pages de chiffres. Si ce n'est pas de la conscience professionnelle ça. Et j'ai loupé mon bus de retour. D'où re-poireautage à l'arrêt en priant pour qu'il ne pleuve pas (il faisait assez gris aujourd'hui) et récupération de gremlins au retour. Mais dans l'ensemble, ça se passe bien en attendant le vrai début de ma formation qui devrait avoir lieu demain. On verra.
Demain, je reprends mon bus habituel. En attendant, soyez sages.
J'allais oublier. Je vais avoir du jus de pomme. Il y a des pommiers autour du bâtiment qu'ils font récolter, presser et qu'ils distribuent gratos. Miam!!!
mardi, octobre 02, 2007
Tranquille encore?
Deuxième journée de boulot, déjà.
Aujourd'hui, encore l'angoisse dans les transports en commun pour y aller. Mais pas le choix, il faut y aller quoi qu'il m'en coûte. Et puis, un peu de promiscuité n'a jamais fait de mal à personne. Je pense aux habitants de notre belle capitale qui doivent s'en fader de bien pires. Ne me plaignez donc pas les gens, ça n'en vaut pas la peine.
Arrivé tôt et rencontre d'une nouvelle collègue sympa, arrivée bien avant moi (la ruse sur place je crois c'est de faire plein d'heures pour avoir plein de RTT après), qui, après les salutations d'usage me dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi, que déjà elle devait rattraper son lundi de vacances et que je devais attendre les autres. Installage donc et attente. Et comme toujours pas de login sur l'ordi, même pas une partie de solitaire ou une consultation de blogs. La galère.
Arrivage du reste de mes collègues. Aujourd'hui, ce n'était pas parti pour rigoler vu que celle qui doit me former est toujours malade (gastro) et que donc nous sommes deux et demi (moi, le demi) pour faire le boulot de quatre. Mais déjà évolution. Je ne suis plus le petit nouveau mais bel et bien Faffwah. Exemple: "Non, on ne peut pas te dépanner pour tel truc aujourd'hui, il nous manque du monde et on doit former Faffwah". Et, de ce fait, mes activités étaient plutôt réduites, chacune vaquant à ses occupations, ne me laissant que quelques miettes à picorer. Dont le courrier. Méchant le courrier sur place. 15 cm au bas mot. Et qui s'est frappé de l'ouvrir, le classer et le dispatcher?Et toujours pas de ragots de boulot. L'ambiance était plutôt à la tête dans le guidon. Mais ça devrait venir j'espère. Et ce fut le cas à la cantine ( toujours très bonne, merci) où j'eus par le menu le dernier repas de collègues avec qui avait fait quoi, picolé quoi et le reste.
Début d'aprème plutôt tranquille, personne n'osant me confier quoi que ce soit à part quelques saisies. Où j'ai eu ma première erreur. Une ligne qui devait donner 150€ en moins s'est transformée sous mes yeux ébahis en 5000€ en plus. Pas de ma faute mais il a fallu abandonner le travail en cours pour modifier le truc. Pas de mon ressort. J'ai donc pris la feuille suivante et ai continué mes trucs. Ca vient assez vite à mon grand soulagement. A 16h, plus rien à faire. Ca tombe bien, je devais partir. Je préfère rentrer tôt sans RTT. Mais bon, s'il y a le coup de feu, je resterai. Mais là, collègue me dit:"Tu peux partir, il n'y aura rien de plus à faire aujourd'hui et ont'a déjà fait rentrer des trucs qui auraient pu être faits un autre jour. Remontage donc dans le bus, calme au début, et bientôt envahi de gremlins au passage devant un bahut de la périphérie. C'est marrant comme ils sont scotchés à leurs perdables et comment ils hurlent dedans. Mais c'est vite pénible.
Ah oui, il a fait chaud aujourd'hui. Grâce soit donc rendue à la clim du bureau. Mais au sortir du bus, j'étais à tordre. La douche fut donc salvatrice après un passage chez Sixtine pour papotage post boulot.
C'est tout pour aujourd'hui. Bonne soirée les gens.
Aujourd'hui, encore l'angoisse dans les transports en commun pour y aller. Mais pas le choix, il faut y aller quoi qu'il m'en coûte. Et puis, un peu de promiscuité n'a jamais fait de mal à personne. Je pense aux habitants de notre belle capitale qui doivent s'en fader de bien pires. Ne me plaignez donc pas les gens, ça n'en vaut pas la peine.
Arrivé tôt et rencontre d'une nouvelle collègue sympa, arrivée bien avant moi (la ruse sur place je crois c'est de faire plein d'heures pour avoir plein de RTT après), qui, après les salutations d'usage me dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi, que déjà elle devait rattraper son lundi de vacances et que je devais attendre les autres. Installage donc et attente. Et comme toujours pas de login sur l'ordi, même pas une partie de solitaire ou une consultation de blogs. La galère.
Arrivage du reste de mes collègues. Aujourd'hui, ce n'était pas parti pour rigoler vu que celle qui doit me former est toujours malade (gastro) et que donc nous sommes deux et demi (moi, le demi) pour faire le boulot de quatre. Mais déjà évolution. Je ne suis plus le petit nouveau mais bel et bien Faffwah. Exemple: "Non, on ne peut pas te dépanner pour tel truc aujourd'hui, il nous manque du monde et on doit former Faffwah". Et, de ce fait, mes activités étaient plutôt réduites, chacune vaquant à ses occupations, ne me laissant que quelques miettes à picorer. Dont le courrier. Méchant le courrier sur place. 15 cm au bas mot. Et qui s'est frappé de l'ouvrir, le classer et le dispatcher?Et toujours pas de ragots de boulot. L'ambiance était plutôt à la tête dans le guidon. Mais ça devrait venir j'espère. Et ce fut le cas à la cantine ( toujours très bonne, merci) où j'eus par le menu le dernier repas de collègues avec qui avait fait quoi, picolé quoi et le reste.
Début d'aprème plutôt tranquille, personne n'osant me confier quoi que ce soit à part quelques saisies. Où j'ai eu ma première erreur. Une ligne qui devait donner 150€ en moins s'est transformée sous mes yeux ébahis en 5000€ en plus. Pas de ma faute mais il a fallu abandonner le travail en cours pour modifier le truc. Pas de mon ressort. J'ai donc pris la feuille suivante et ai continué mes trucs. Ca vient assez vite à mon grand soulagement. A 16h, plus rien à faire. Ca tombe bien, je devais partir. Je préfère rentrer tôt sans RTT. Mais bon, s'il y a le coup de feu, je resterai. Mais là, collègue me dit:"Tu peux partir, il n'y aura rien de plus à faire aujourd'hui et ont'a déjà fait rentrer des trucs qui auraient pu être faits un autre jour. Remontage donc dans le bus, calme au début, et bientôt envahi de gremlins au passage devant un bahut de la périphérie. C'est marrant comme ils sont scotchés à leurs perdables et comment ils hurlent dedans. Mais c'est vite pénible.
Ah oui, il a fait chaud aujourd'hui. Grâce soit donc rendue à la clim du bureau. Mais au sortir du bus, j'étais à tordre. La douche fut donc salvatrice après un passage chez Sixtine pour papotage post boulot.
C'est tout pour aujourd'hui. Bonne soirée les gens.
lundi, octobre 01, 2007
Première journée
Voilà, je suis de retour du boulot après une première journée riche en émotions. Juste le temps de revenir, de boire un verre d'eau (le travail ça donne soif) et de monter chez Monica d'où je vou écris.
Commençons par le commencement. Lever 6h30, rasage, douchage, petit dèj'. Rien de bien palpitant. 7h30, départ pour le bus. Qui, oh joie, passe juste en bas de chez moi. C'est déjà ça. A moi les joies du transport en commun. Bien sûr, heure de pointe avec son lot de circulation dense. Et premier stress. Je n'arriverai jamais à temps. Ben si. Tout juste. Et tout ça pour me faire dire que les gens qe je devais voir n'étient pas encore arrivée. Poireautage donc.
Finalement, on vient me chercher, m'installe dans mon bureau. Trop classe avec des fauteuils à mourir. Je m'assois donc, attendant les premières instructions. Deuxième contretemps: la personne qui devait me former a une gastro et est absente au moins pour deux jours. Pour l'initiation aux arcanes de la compta de cette entreprise on repassera. Sauf que, collègue très gentille (je ne travaille qu'avec des femmes, heureusemùent qu Monica n'est pas jalouse), Cécile de son prénom, me logue et me laisse faire quelques manips sious sa férule. Parce que, pour ce qui est d'avoir un compte à moi, ce n'est pas pour tout de suite. Je saisis donc quelques factures avant qu'on me propose d'en trier. OK me dis-je. Et là, on m'apporte une quarantaine de centimètres dépaisseur de papiers à remettre par ordre alphabétique. Souvenirs de stupeur et tremblements. Si je mets toutes les SA à la suite, est-ce que ça va le faire? Je ne crois pas. Je trie donc consciencieusement jusqu'à midi. Là, collègue Cécile et collègue Sandrine m'emmènent à la cantine. Grand moment. En fait, c'est super simple. On m'a remis un badge à tout faire dont manger. Il suffit de mettre des sous dessus et on paieà la caisse avec. Et en plus, j'ai été invité avec le badge prévu à cet effet de la compta. Trop la classe. Et il y avaitplein de trucs bons. Que choisir? Je me suis rabattu sur une salade composée, un truc gratiné au jambon et un gros morceau d'ananas. On peut manger sain en plus et sans se ruiner. De l'avantage des grosses boîtes. Petite pause café ensuite et retour au classement. Ca m'a pris tout l'après-midi. Et le papier c'est lourd quand il y en a plein. Je suis tout moulu.
Retour, toujours par le bus. Là, pleine heure de pointe avec sorties de bahuts en tous genres avec leur cortège de gremlins hystériques beuglant dans leurs perdables. Une heure ça m'a pris le retour. Dans Maville, c'est beaucoup. Va falloir réparer Lupo de toute urgence.
Pas encore d'anecdotes de photocopieuse. Ca viendra je pense. Ah oui, on m'appelle le petit nouveau. Comme à l'école. J'ai trouvé ça mignon. Et non, je ne bloguerai pas du bureau. Pas le temps je pense.
Voilà. La suite demain. Ah oui, pas de photos non plus. Pas pour le moment. Je suis encore à l'essai et je crains que ce ne soit mal vu. Et il faudrai que je pense à prendre APN aussi. C'est pas gagné.
Commençons par le commencement. Lever 6h30, rasage, douchage, petit dèj'. Rien de bien palpitant. 7h30, départ pour le bus. Qui, oh joie, passe juste en bas de chez moi. C'est déjà ça. A moi les joies du transport en commun. Bien sûr, heure de pointe avec son lot de circulation dense. Et premier stress. Je n'arriverai jamais à temps. Ben si. Tout juste. Et tout ça pour me faire dire que les gens qe je devais voir n'étient pas encore arrivée. Poireautage donc.
Finalement, on vient me chercher, m'installe dans mon bureau. Trop classe avec des fauteuils à mourir. Je m'assois donc, attendant les premières instructions. Deuxième contretemps: la personne qui devait me former a une gastro et est absente au moins pour deux jours. Pour l'initiation aux arcanes de la compta de cette entreprise on repassera. Sauf que, collègue très gentille (je ne travaille qu'avec des femmes, heureusemùent qu Monica n'est pas jalouse), Cécile de son prénom, me logue et me laisse faire quelques manips sious sa férule. Parce que, pour ce qui est d'avoir un compte à moi, ce n'est pas pour tout de suite. Je saisis donc quelques factures avant qu'on me propose d'en trier. OK me dis-je. Et là, on m'apporte une quarantaine de centimètres dépaisseur de papiers à remettre par ordre alphabétique. Souvenirs de stupeur et tremblements. Si je mets toutes les SA à la suite, est-ce que ça va le faire? Je ne crois pas. Je trie donc consciencieusement jusqu'à midi. Là, collègue Cécile et collègue Sandrine m'emmènent à la cantine. Grand moment. En fait, c'est super simple. On m'a remis un badge à tout faire dont manger. Il suffit de mettre des sous dessus et on paieà la caisse avec. Et en plus, j'ai été invité avec le badge prévu à cet effet de la compta. Trop la classe. Et il y avaitplein de trucs bons. Que choisir? Je me suis rabattu sur une salade composée, un truc gratiné au jambon et un gros morceau d'ananas. On peut manger sain en plus et sans se ruiner. De l'avantage des grosses boîtes. Petite pause café ensuite et retour au classement. Ca m'a pris tout l'après-midi. Et le papier c'est lourd quand il y en a plein. Je suis tout moulu.
Retour, toujours par le bus. Là, pleine heure de pointe avec sorties de bahuts en tous genres avec leur cortège de gremlins hystériques beuglant dans leurs perdables. Une heure ça m'a pris le retour. Dans Maville, c'est beaucoup. Va falloir réparer Lupo de toute urgence.
Pas encore d'anecdotes de photocopieuse. Ca viendra je pense. Ah oui, on m'appelle le petit nouveau. Comme à l'école. J'ai trouvé ça mignon. Et non, je ne bloguerai pas du bureau. Pas le temps je pense.
Voilà. La suite demain. Ah oui, pas de photos non plus. Pas pour le moment. Je suis encore à l'essai et je crains que ce ne soit mal vu. Et il faudrai que je pense à prendre APN aussi. C'est pas gagné.
Hei hi, hei ho, nous allons au boulot
Ca y est, c'est l'heure. Je dois y aller.
A ce soir pour le compte rendu de mes aventures boulotesques.
Souhaitez moi bon courage les gens.
A ce soir pour le compte rendu de mes aventures boulotesques.
Souhaitez moi bon courage les gens.
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