Pas beau

Aujourd'hui, pluie. Et comme pour le faire exprès, Juste au moment où j'attendais mon bus.Ce matin et tout à l'heure en rentrant. Parce qu'au milieu, grand beau temps. Je vais finir par croire qu'il existe un mauvais génie qui s'occupe de moi au niveau météo. Parce que, bien sûr, je n'avais pas de parapluie. Donc, arrivé mouillé au boulot (pas top quand même, ce n'était pas le déluge non plus) et obligé de me changer en arrivant. En fait, pas trop. Je me change systématiquement en rentrant. J'ai mon déguisement de travailleur (pantalon comme il faut, belle chemise) et ma tenue de tous les jours qui est plus un assortiment jean t-shirt. Que je préfère. Plus décontracté.
Au boulot, c'était plutôt désert, deux mères de famille prenant leur mercredi pour leurs chères têtes blondes. Ajoutez à ça que les deux autres sont parties manger ailleurs pour, je crois, faire des courses et vous obtenez que je me suis retrouvé tout seul à la cantine. Et ça n'a pas traîné. J'ai avalé ma pitance assez rapidement et suis remonté me prendre un petit café. Première fois que je le payais, mes collègues me l'offrant systématiquement depuis ma prise de poste. Mais toujours tout seul. après, j'ai profité du reste de ma pause et de ma nouvelle connexion internet que j'ai pour envoyer quelques mails perso. C'est permis du moment qu'il n'y a pas d'abus et que ça reste en dehors des heures de travail. Ensuite, aprème de saisies monstrueuses et truffées d'erreurs, nos chers clients s'accordant généreusement des acomptes qu'il faut régulariser. Et là, je suis toujours aux basques d'une de mes collègues dans la mesure où je n'ai pas assez de privilèges sur la base de données pour tout avoir. moi, je suis juste là pour saisir et pas pour modifier ou consulter d'autres trucs. C'est un peu frustrant et je culpabilise de déranger une personne pour ça. Pénible quoi. Alors, je fais ce que je peux, du moment que le boulot avance.
Sinon, pas de nouvelles de Monica. Il faut dire qu'elle est légèrement handicapée de la communication,c'est à dire qu'elle répugne un chouïa à décrocher l'un ou l'autre de ses téléphones. Quant à appeler, c'est encore une autre paire de manches. Nous passons donc des jours à ne pas nous parler. C'est comme ça...
Demain,pique-nique. Je vous raconterai si je n'ai pas succombé à la digestion entretemps.
Bonne soirée les gens.