mardi, octobre 02, 2007

Tranquille encore?

Deuxième journée de boulot, déjà.
Aujourd'hui, encore l'angoisse dans les transports en commun pour y aller. Mais pas le choix, il faut y aller quoi qu'il m'en coûte. Et puis, un peu de promiscuité n'a jamais fait de mal à personne. Je pense aux habitants de notre belle capitale qui doivent s'en fader de bien pires. Ne me plaignez donc pas les gens, ça n'en vaut pas la peine.
Arrivé tôt et rencontre d'une nouvelle collègue sympa, arrivée bien avant moi (la ruse sur place je crois c'est de faire plein d'heures pour avoir plein de RTT après), qui, après les salutations d'usage me dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi, que déjà elle devait rattraper son lundi de vacances et que je devais attendre les autres. Installage donc et attente. Et comme toujours pas de login sur l'ordi, même pas une partie de solitaire ou une consultation de blogs. La galère.
Arrivage du reste de mes collègues. Aujourd'hui, ce n'était pas parti pour rigoler vu que celle qui doit me former est toujours malade (gastro) et que donc nous sommes deux et demi (moi, le demi) pour faire le boulot de quatre. Mais déjà évolution. Je ne suis plus le petit nouveau mais bel et bien Faffwah. Exemple: "Non, on ne peut pas te dépanner pour tel truc aujourd'hui, il nous manque du monde et on doit former Faffwah". Et, de ce fait, mes activités étaient plutôt réduites, chacune vaquant à ses occupations, ne me laissant que quelques miettes à picorer. Dont le courrier. Méchant le courrier sur place. 15 cm au bas mot. Et qui s'est frappé de l'ouvrir, le classer et le dispatcher?Et toujours pas de ragots de boulot. L'ambiance était plutôt à la tête dans le guidon. Mais ça devrait venir j'espère. Et ce fut le cas à la cantine ( toujours très bonne, merci) où j'eus par le menu le dernier repas de collègues avec qui avait fait quoi, picolé quoi et le reste.
Début d'aprème plutôt tranquille, personne n'osant me confier quoi que ce soit à part quelques saisies. Où j'ai eu ma première erreur. Une ligne qui devait donner 150€ en moins s'est transformée sous mes yeux ébahis en 5000€ en plus. Pas de ma faute mais il a fallu abandonner le travail en cours pour modifier le truc. Pas de mon ressort. J'ai donc pris la feuille suivante et ai continué mes trucs. Ca vient assez vite à mon grand soulagement. A 16h, plus rien à faire. Ca tombe bien, je devais partir. Je préfère rentrer tôt sans RTT. Mais bon, s'il y a le coup de feu, je resterai. Mais là, collègue me dit:"Tu peux partir, il n'y aura rien de plus à faire aujourd'hui et ont'a déjà fait rentrer des trucs qui auraient pu être faits un autre jour. Remontage donc dans le bus, calme au début, et bientôt envahi de gremlins au passage devant un bahut de la périphérie. C'est marrant comme ils sont scotchés à leurs perdables et comment ils hurlent dedans. Mais c'est vite pénible.
Ah oui, il a fait chaud aujourd'hui. Grâce soit donc rendue à la clim du bureau. Mais au sortir du bus, j'étais à tordre. La douche fut donc salvatrice après un passage chez Sixtine pour papotage post boulot.
C'est tout pour aujourd'hui. Bonne soirée les gens.

6 commentaires:

Ashley a dit…

C'est pas beau ça monsieur Faffwah de faire du détournement de fonds dès le premier jour. FAut d'abord commencer par le premier stade de la délinquance au bureau: le lecturage de blougs. On fait les choses dans l'ordre s'il vous plaît

faffwah a dit…

@ Ashley: OK, je me calme et je fais les choses dans l'ordre. Mais pour le la lecture,il me faut un login. as avant la semaine prochaine hélas...

Anonyme a dit…

Tu t'entraines pour Koh Lanta ?

faffwah a dit…

@ Aphykit: juste pour les transports. Il n'y a pas de vers à la cantine et pour le boulot, ça reste encore tout à fait faisable.

Anonyme a dit…

Pas de vers à la cantine ? Alors là, proteste contre ce byzutage éhonté !

Je ris, je ris, mais je te souhaite bon courage quand même. Je sais que c'est difficile d'intégrer un nouveau poste...

faffwah a dit…

@ Aphykit: l'intégration se passe plutôt pas mal. Il paraît que mon service est plutôt cool pour ça.
Merci pour tes encouragements.