Bringue

J'émerge juste ce matin. Ben oui, hier soir, c'était bringue. Anniversaire de mon frangin la suite. Oh, c'était intime. Pas plus d'une centaine de personne. Le thème en était les années 70 avec déguisements à la clé. Et, ce qui a été plutôt bien, c'est que tout le monde a joué le jeu, ce qui a donné l'occasion de pas mal de fous rires à voir laquelle ou lequel était le mieux(?) attifé. En plus, la musique était à l'avenant, un des participant ayant bien fait fonctionné la mule pour avoir tout plein de bonne musique. Parce que maintenant, c'est de la fête moderne avec PC connecté à une sono et plein de MP3 dedans. Je ne me rappelle plus vraiment des titres, tellement il y en avait, mais c'était super bien et ça a dansé comme des petits fous. La déco était à l'avenant avec une dominante bien psychédélique à base de couleurs à tomber par terre. On dit bravo à celles et ceux qui se sont démenés tout l'aprème pour ça. Et j'en étais. J'ai à moitié perdu un poumon à gonfler une multitude de ballons tous plus beaux les uns que les autres tandis que d'autres se livraient à des jeux de collages, ma foi bien réussis. Ceci bouclé, réunion collective pour l'habillage chez Jolie soeur de mon frère. Et première bosse de rire. Franchement, il y avait de quoi. Ensuite, retour sur les lieux de la fête et attente des premiers convives avec le stress du triage des morceaux. Ben oui, 40 Go de MP3, ça ne se trie pas comme des lentilles. Et il y avait à manger et à boire dans la sélection. Sans compter qu'il fallait organiser les plages en fonction du rythme de ma soirée. Plutôt tranquille au début, puis crescendo vers une disco endiablée. Ceci fait, nous avons pu souffler un peu. Mais pas trop longtemps car du monde arrivait et il fallait accueillir. Ce qui était marrant, c'était d'essayer de voir qui se cachait derrière le déguisement. Avec parfois de belles surprises.
Vers 21h30, à peu près tout le monde était en place et la fête commençait à battre son plein.Sans compter que, parmi les organisateurs, se cachait un pizzaïolo (je l'écris comme je veux, hein?) qui nous a bien régalé de ses excellentes productions, histoire de restaurer entre deux danses. Les APN crépitaient à qui mieux mieux sauf le mien que j'ai lamentablement oublié chez moi. Là, j'attends qu'on m'en envoie pour vous en faire profiter.
La soirée avançait, tout comme l'état de certains convives qui avaient décidé de ne pas rentrer en voiture et avaient prévu le duvet pour dormir sur place. Ce qui donnait une belle collection d'yeux bien rouges cachés sous d'improbables lunettes de soleil. Et à des chorégraphies plus ou moins Kamelwalesques, certains, dont mon frère, étant particulièrement déchaînés. Un peu de digression vers les années 80 plus tard et arriva le moment du gâteau, toujours réussi. En fait, vu le monde, il y en avait plutôt une certaine quantité, rapidement engloutie, et tout le monde reprit place sur la piste.
Fin de soirée un peu gâchée par l'inévitable techno un peu anachronique au vu de la thématique de la soirée et votre serviteur, un peu fatigué (ben oui, ça faisait vraiment trop longtemps que je ne m'étais pas couché aussi tard), décida de regagner ses pénates. L'heure de sommeil en plus dûe au changement d'heure allait être bien employée.
Bref, excellente soirée. Bientôt j'espère les photos. Je n'hésiterai d'ailleurs pas à me dévoiler à vos yeux sous mon meilleur jour.
Bon dimanche les gens.