dimanche, juillet 29, 2007

C'est la fin

C'est officiel, le festival d'Avignon a fermé ses portes hier. Juste à temps pour que Sixtine et moi allions voir enfin un spectacle. Aujourd'hui, la Ville est redevenue normale. C'est à dire déserte, vu que nous sommes dimanche, que c'est le début d'après-midi et qu'il fait super chaud. Seuls subsistent quelques affiches déjà fanées que la voirie locale enlèvera dès demain

ainsi qu'une poignée d'irréductibles touristes aux terrasses des cafés,

les locaux à cette heure faisant la sieste ou étant partis dans des contrées exotiques après avoir loué leurs appartements à des tarifs à faire frémir un gagnant de l'euromillions. Dès lundi, la ville reprendra son ronron habituel et la principale occupation de ses habitants sera la recherche des rares magasins ouverts à cette période de l'année.

Là, je viens de trouver la boulangerie de garde de mon quartier.
Ouf !!! C'est déjà ça (ça n'a pas l'air comme ça mais c'est vrai).
C'est un peu triste que ce soit déjà fini. Pour une fois, je regrette ce mois de juillet que je n'ai pas vraiment vu passer pour cause d'occupations diverses. Il a fait bon (moins de 35°C comme maintenant. Snif!) et l'ambiance du festival était bon enfant au niveau des parades et autres spectacles de rue. Du moins si l'on faisait abstraction de certains festivaliers flippés qui couraient comme des malades le nez collé à leurs programmes au mépris des règles les plus élémentaires de politesse. Et puis il y a eu cette belle rencontre de dernier moment que Sixtine relate si bien. Merci Chareloue.
Je retourne à ma torpeur estivale du moment. A bientôt cher lectorat.

samedi, juillet 28, 2007

Douces folies?

Vu à peu près partout sur la blogosphère, le truc où il faut avouer cinq folies douces qu'on a. Maintenant, c'est à mon tour de passer aux aveux.
1/ Je suis un maniaque du réglage en voiture. Dès que je dois conduire, je touche absolument à tout ce qui peut être réglé. Ca passe par la profondeur du siège, sa hauteur,les rétroviseurs (les trois) , le volant s'il se règle. et tout et tout. J'y passe un temps fou, vu que je ne suis jamais content tout de suite des réglages. Ca pourrait être bénin si je ne le faisais pas même quand c'est moi le dernier conducteur de la voiture. Il m'arrive de le faire aussi durant un trajet. Je m'arrête pour tout changer.
2/ Continuons dans la voiture. Je dois passer quelques tonneaux de liquide de lave-glaces par an. Je n'arrive pas à ne pas nettoyer le pare-brise au moins une fois par trajet. Sinon, ça m'angoisse. Pas de raisons particulières à ça.
3/ Comme Ashley, Big Ray et art.truk( voir les coms d'Ashley) , j'ai la manie de tout ouvrir. En toutes saisons et particulièrement quand il fait frais ou qu'il pleut. J'adore l'odeur de la pluie. Et pour reparler de la voiture (ça vous gonfle que je ne parle que de ça? Moi non) , je roule toujours fenêtre grande ouverte par tous les temps. Je ne supporte pas que ce soit fermé. La peur de ne pas pouvoir sortir en marche? Probablement...
4/ Je n'aime pas manger très chaud. Donc, quand un plat m'arrive, j'attends qu'il refroidisse au grand dam de mes convives qui finissent longtemps avant moi. Je pousse le vice jusqu'à rajouter de l'eau froide dans mes boissons chaudes pour pouvoir les boire plus rapidement sans attendre que la thermodynamique ne fasse son oeuvre.
5/ Enfin et toujours à table, je trie absolument tout. Servez moi une salade composé par exemple, et je vais tout grignoter ingrédient par ingrédient. Selon le plat, ça peut vite tourner au pensum. Pour les autres. Ca les gonfle prodigieusement les gens avec qui je mange, mais c'est plus fort que moi. Et ça rallonge d'autant le repas (cf 4/). Avis à ceux ou celles qui voudraient m'inviter au resto.
Alors, c'est grave? Dites moi siouplééééééé

jeudi, juillet 26, 2007

Mobilier et voyage

Lun des aspects les plus fourbes du canapé d'angle, hormis qu'une fois dedans on n'a plus du tout envie d'en sortir (d'où dillettantisme du blog), c'est que ceux qui n'en possèdent pas, une fois essayé ne jurent que par lui. C'est le cas de la pauvre Sixtine qui, suite à des avis mal intentionnés de ma part et de celle d'Ashley, est tombée sous le charme au point de ne plus en dormir tant elle est obsédée. D'où expédition d'exploration hier.
Tout a commencé par Paragraphe. Avant même d'entrer, Sixtine faisait une bonne affaire en dénichant un carton non déballé et qui contenait donc encore tous ses trésors. En l'occurrence, une très jolie table fleur, destinée maintenant à faire chevet sdans son futur chez elle. Arrivé au rayon canapé, essayages multiples de notre part. C'est le canapé choisi par Chérie qui emporta tous les suffrages. En attendant. Une table basse plus tard (pas encore achetée, nous le verrons plus tard) et une lampe à LED que moi perso j'adorais mais que j'étais le seul et que donc je n'ai pas achetée, et nous étions dehors en route vers Con Faux Rama, vu que Sixtine avait repéré des canapés sur leur site. Et c'est là que nous avons constaté que souvent les photos de catalogue n'étaient pas du tout réalistes. C'était assez horrible. Le temps de ce constat et nous voilà dehors. Et là, idée collégiale: et si nous allions voir Hic & Ha ? Loin mais pas trop et découverte pour Sixtine. En route donc. Arrivés sur place, nous testâmes tout ce qui pouvait l'être, genre comme à la maison, et nouveau coup de foudre de Sixtine. Hélas, les tracasseries suédoises au niveau de la livraison hypothétique ou pas en fonction des couleurs, la plongèrent dans un abîme de perplexité dont elle n'est toujour pas sortie. Nous ne partîmes pas toutefois les mains vide, Chérie ayant trouvé une table basse en bois (le verre c'est le mal absolu au niveau de l'entretien) ainsi que des poubelles de tri sélectif (Chérie est très à cheval là-dessus). Enfin, retour à la case départ pour récupérer la table basse presque achetée. La Touingo commençait à être un peu pleine malgré touts ses possibilités de rangement.
Bilan: grosses marrades, excursion avec repas pris sur place et menues emplettes. Sans oublier le choix cornélien auquel Sixtine est confrontée.Allez le voir chez elle, c'est merveilleusement décrit. La suite au prochain épisode.

mardi, juillet 24, 2007

Reprise

Désolés pour hier, cher lectorat, mais le canapé d'angle, fourbe comme la rivière et impitoyable comme le chêne vert est vraiment peu propice au blogage. Surtout quand la boîte à couenneries télévisuelles est allumée juste en face et que Chérie est langoureusement allongée dessus. De plus, la journée d'hier a été un peu chargée.
Ca a commencé dès le matin où j'ai rejoint mon poste de manutentionnaire rangeur-jeteur, travail qui a pris la matinée et a mordu sur la pause déjeuner. Pas grave, je n'avais pas trop faim. J'ai continué en endossant le costume de messager, travail qui consiste à se rendre à la Poste (oui, je les hais mais pas le choix) , vérifier le tarif de divers colis destinés à des contrées exotiques. Ibé quand tu nous tiens... Il y avait aussi une remise de paquet en mains propres, chose qui m'a fait poireauter des plombes, mon interlocutrice, pas sympa du tout lors de la remise, ayant décidé de lambiner. J'ai été heureusement sauvé par la présence d'une terrasse de bistro où j'ai pu siroter un café afin de calmer mes nerfs. Egalement, des remises de chèques à la banque. Ibé toujours. Là, j'ai eu un moment de répit que j'ai mis à contribution pour voir ce que la haine paie oeufs avait à me proposer. J'ai réussi à isoler deux offres pas trop pourries dont un poste d'accueilleur dans un cyber. Tiens, etpourquoi pas? En plus, c'est à deux pas de chez moi. Donc, vas-y que je bichonne CV et lettre de motivation, histoire d'apparaître sous mon meilleur jour. Il était temps de passer à l'impression. Et la, argh!!! Mon imprimante, sans m'avoir prévenu de quelque façon que ce soit, avait décidé que la cartouche d'encre noire était trépassée. Donc, recherche désespérée de sa succession dans mini apart de moi à grand renfort de jurons qui auraient fait passer le capitaine Haddock pour une rosière. Vous aurez sans doute remarqué, si vous êtes un tant soit peu pagailloux, qu'une fois rangés, certains objets deviennent introuvables, ce qui était présentement le cas. Mais la persévérance aidant, je finis par remettre la main dessus. Changement donc et lancement de l'impression. Pas mieux du tout et encore des feuilles foutues en l'air (au passage, un grand merci à Sixtine pour la ramette). Grand désespoir de ma part. Jusqu'à ce que je me dise in petto que si je lançais un nettoyage des têtes d'impressions ce ne serai pas du luxe Dont acte. Et là, youpi, tout s'était arrangé. Sauf que l'heure pour remettre ma candidature était passée et que je devais attendre le lendemain. A ce moment là, j'ai estimé que j'avais bien mérité de rejoindre Chérie. A chaque jour suffit sa peine.
Vous l'avez demandé, la voici, la photo de mon tout nouveau neveu. Après une bataille juridique intense avec les ayant droit, j'ai eu enfin l'autorisation de mettre en ligne les clichés. Voici donc Roman.
Lors de la prise de photos, ce charmant bambin n'avait qu'une vingtaine d'heure d'existence au compteur. L'est pas choubidou ce petit?
Juste une nouvelle photo pour montrer à Ashley (que dans pas longtemps elle nous annonce une grande nouvele) que ce petit a des yeux. Tout petits d'accord,mais il en a. Les parents ne se sont pas faits arnaquer.
Non mais.

dimanche, juillet 22, 2007

Comme un dimanche

Aujourd'hui, rien de bien spécial à raconter. Déjà, lever fort tard pour cause de sortie tardive hier. Ben oui, repas gastronomique à base de pizzas chez une amie en compagnie de Chérie et blablatage jusqu'à une heure avancée de la nuit. Avec comme excès juste une grosse coupe de glace à na noix de coco. Donc, grosse flemme d'un dimanche passé à larver sur le beau nouveau canapé (trop bien foutu pour ce genre d'activité au demeurant) et à zapper sur toutes les conneries télévisuelles que permet une Vie Boîte. Ca vide bien le cerveau ce programme mais ce n'est pas désagréable.
Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont apporté leur sympathie suite à mon post de samedi. Ca fait chaud au coeur d'être soutenu comme ça et d'avoir un lectorat fidèle et compatissant. Je tiens à vous rassurer, le moral reste bon.
Pas grand chose à ajouter à ça. Je serai plus bavard demain je pense. Et, promis, juré, je vous mettrai un cliché de mon neveu tout neuf.

samedi, juillet 21, 2007

Caramba

Désolé de vous avoir laissé en plan cher lectorat mais hier je n'avais pas trop le coeur à bloguer. La jpournée avait pourtant bien commencé. Jusqu'à 9h58. Là, coup de fil sur mon perdable. Les résultats pour le boulot? J'étais tout excité. Je décroche, tremblant de tous mes membres, et là, patatras. Juste ce que je ne voulais pas entendre :"Ca s'est joué à rien du tout mais c'est l'autre candidat qui a été retenu, nous sommes désolés et gardons votre candidature sous le coude au cas où, blah, blaf, blah". Grosse déception donc. Et puis, qu'est-ce que j'en ai à faire qu'il y ait eu presque rien ou tout un wagon? Ca ne change rien à l'histoire. Mais bon, il y aura d'autres occasions et la Terre continue de tourner quand même. Je reste optimiste quant à mon retour dans le monde des travailleurs. Et pour me consoler, je suis allé faire un tour chez C'est Lit? Oh! où qu'il y avait des soldes et me suis acheté un beau pantalon pour presque rien. Oui, je compense ma frustration par la surconsommation. Et de toute façon, c'est la faute à Chérie qui n'aurais jamais dû me lâcher dans un centre commercial dans cet état d'esprit. Non, même pas vrai. C'est entièrement de mon propre chef et j'avais réellement besion d'un nouveau pantalon, qu'avec tout ce que j'ai perdu en gras, quasiment tous les autres tombent au point que je suis contraint de serrer ma ceinture comme un malade pour éviter d'avoir le froc aux chevilles par la seule action de la gravité universelle. Donc, il me fallait réellement de quoi habiller décemment mes fesses, et ce de façon urgente.
Sinon, ce matin, livraison du tout nouveau canapé d'angle de Chérie qu'il est trop beau et confortable, mais trop lourd aussi et que, comme l'ascenseur est en panne, les livreurs se sont tapés 3 étages à pieds les pauvres. Ca m'a fait faire du bricolage avec moult trucs çà visser, ce dans quoi j'excelle, vous l'aurez compris. Voilà la bête.
Impressionnant non? Je n'ai pas réussi à avoir assez de recul pour le prendre en entier. C'est vous dire la taille. On va pouvoir se vautrer comme des malades sans aucun souci. Chic!!!

jeudi, juillet 19, 2007

Bricolage

Aujourd'hui a été marqué pour moi du sceau du travail manuel. Dès ce matin, passage chez Sixtine en compagnie de Chérie afin d'optimiser les préparatifs des mises en cartons et autres rangements. Il faut dire que Chérie possède un certain talent dans ces domaines que ne renierait pas Monica Geller. Du coup, j'ai été reclassé à la manutention des cartons et autes sacs poubelle. Pas très gratifiant mais il fallait bien que quelqu'un s'en charge. Et pourquoi pas le seul membre dans l'assistance du sexe prétendu fort? Mais la journée n'était pas terminée pour mes petits bras musclés. Chérie avait des projets d'amélioration du coin à ordi et c'est donc tout naturellement que nous nous sommes rendus chez Vol, enseigne bien connue pour tout ce qui concerne le mobilier. Etant bien renseignée sur ce qu'elle voulait (en fait ça faisait un mois qu'elle l'avait repéré le joli meuble), Chérie n'a fait ni ne ni deux et a pris l'objet de ses désirs. Et à votre avis qui s'est chargé de prendre les deux colis afin de les caser dans le coffre de la Touingo? Je vous le donne en mille. Et une fois rentré, la hâte nous a pris et... j'ai monté le meuble. Vous me direz sans doute, vous qui avez farfouillé dans mes archives, que ça courait à la catastrophe compte tenu de mes maigres talents en matière de bricolage. Et bien non. Assez étrangement, mes papattes si maladroites en d'autres circonstances, deviennet quasi expertes dès lors qu'il s'agit de meubles à monter avec touts sortes de vis et la petite clé qui le fait bien. Devraient me recruter chez Hic & Ha ou chez Paragraphe. Je leur monterais la baraque en deux temps trois mouvements.


Le résultat chez Chérie donne ça:
Joli non? Je vais avoir du mal à lâcher la place maintenant. Pauvre Chérie.

mercredi, juillet 18, 2007

Yipee!!!

Après une courte nuit de sommeil pour cause d'angoisse de l'entretien.
Lever ce matin vers 6h30 alors que le réveil était réglé pour une heure plus tard. Au moins, je ne risquais pas d'être en retard. J'en ai profité pour me pomponner quasi comme un rendez-vous galant. A commencer par un rasage de près avec mon nouveau rasoir à plein de lames qu'il est trop bien et que je l'ai eu gratos. J'en ai profité également pour passer un bon coup de tondeuse sur touts les poils et cheveux qui dépassaient. Pour la tête, j'ai eu droit aux mains expertes de Chérie. Puis, bonne douche pour être tout propre et beau et accessoirement pour enlever les rebuts des actions précédentes. Et comme j'ai été conseillé en cosmétique par l'experte Sixtine, je n'ai pas lésiné sur la crème hydratante qui le fait bien, le contour des yeux et le défatigant visage, que je voulais avoir trop l'air en forme. Un bon moment de passé qui m'a un peu déstressé. Puis, petit dèj' sur le pouce pour cause de boule au ventre. Il n'y a que le café qui a pu passer ainsi qu'une pauvre madeleine. Remarquez que je n'allais pas courir un marathon et que, pour le moment, je pouvais me passer de sucres lents.
8h20, départ. Pour être plus certain, j'avais imprimé le plan pour y aller. On n'est jamais assez prudent. O joie, pas de circulation. Les festivaliers devaient ancore cuver leur soirée de la veille. D'où, arrivée sur les lieux vers 8h35. 25 minutes à attendre donc. Je ne tardai pas à découvrir le mini bistro du coin où je me jetais un petit expresso en lisant la presse quotidienne régionale. Retour sur les lieux vers 8h50. Là, j'étais blindé bien qu'ayant le coeur battant un peu vite. Qui a dit que j'étais anxieux?
8h55. Très bon accueil de mes interlocutrices (sans petits gâteaux toutefois) qui en ont profité pour me féliciter du fait d'être arrivé tôt. J'ai pris ça pour un bon signe. Et là, nous sommes entrés dans le vif du sujet. 3/4h de mise sur le grill. Etonnament après deux minutes de flottement, je me suis senti à mon aise. Les conseils d'Ashley sans doute qui me promettais que j'allais tout déchirer. Nouveau bon point, mes recruteuses (oh que c'est vilain ce mot) m'ont fait participer à leur débriefing. Mis à part mon manque de confiance en soi (rien de nouveau là) et le souci que je suis trop diplômé pour ce poste, que du positif. Je sens que ma future carrière est sur de bons rails. Résultats définitifs dans deux ou trois jours. Mais enfin confiant Vivement le prochain appel.
Pour les photos, il va falloir attendre d'avoir les droits. Je ne veux pas le faire sans l'assentiment des parents qui sont, à juste titre, assez débordés en ce moment. Faudra donc patienter.

mardi, juillet 17, 2007

Croisons les doigts

Demain, c'est le grand jour. Avec peut-être un nouveau job à la clé. Va falloir que j'assure. Soutenez moi gentils lecteurs.
Sinon, retour de Montpellier où j'ai vu et mitraillé mon neveu tout neuf. Il est trop jouli. 51 cm pour 3.630kg, il est quasiment parfait. Non, je ne l'ai pas pris dans mes bras, j'avais trop peur de le laisser tomber. Et de toute façon, il y avait suffisamment de bras pour lui. Je me suis contenté du reportage photo pour le reste de la famille qui n'a pas pu faire le déplacement.
A part ça, c'est un peu jour off. D'où petit billet de ce jour pour vous faire patienter. J'aurai sans doute plus de choses à raconter demain.
Et un grand merci à tout le monde pour les félicitations. Je transmettrai aux heureux parents.
P.S. Pas de photos. Déjà il me faut l'assentiment des parents (signature de contrats de droits à l'image, avocats, etc...) . Et le câble de connexion de l'APN est chez Chérie alors que je suis chez moi.

lundi, juillet 16, 2007

Tonton?

Grande nouvelle ce midi. Jolie soeur (compagne de mon frère Yann) vient d'entrer à la maternité. Résultats pas avant 17h. Le petit Roman est en route. Juste avant les vacances de son père. S'il n'est pas complice ce petit. Lui permettre d'avoir 3 jours de rab. Je suis donc pendu au téléphone à attendre les dernières du front. Bien joué de la part de Sixtine qui m'a confié plein de joulies affaires moins d'une semaine avant l'évènement.
Sinon, hier, j'ai été super content de voir Chérie entre deux convoyages d'adolescentes. Il a même été décidé d'aller enrichir l'industrie cinématographique made in US. Faut dire qu'elle est un peu fan de Bruce Willis. Donc, visionnage de son dernier opus. Sans popcorn ni soda. Faut pas déconner non plus. Bilan? C'est distrayant malgré un scénario un peu mince. Pas de quoi se rouler par terre, mais on passe un bon moment entre deux poursuites, bagarres ou autres explosions du plus bel effet. J'y ai trouvé en outre quelques références assez marrantes au reste de la série ainsi qu'à d'autres films d'action. Et puis, passer un peu plus de deux heures dans le noir à tenir la mimine de Chérie, ça se savoure.
Ce matin, retour à la dure réalité de la collecte de cartons. Eh oui, ça continue.
J'ai constaté ces dreniers jours, lors de ma visite sur la blogosphère, la profusion de jeux concours. Celui du jour vous est présenté par Ashley. Participez nombreux, c'est trop bien. Je crois bien que je vais céder à cette mode et en proposer un de mon cru. Va falloir que je me creuse les méninges. A suivre donc...
P.S. Roman est né à 19h. C'est un beau bébé de 3.6 kg. Me voilà, donc tonton. Ca me fait tout drôle.

dimanche, juillet 15, 2007

Mon antre

Aujourd'hui c'est dimanche et j'ai trop la flemme de blablater après la montagne de cartons faits chez Sixtine.C'est pour quoi, j'ai emprunté à Shalima cette idée de reportage photo de chez moi pour que vous puissiez voir d'où je blogue. Et, comme j'ai un tout petit appartement, ça va être vite fait.
Commençons par le commencement, c'est à dire mon bureau/table à manger/bronx divers.
Oui, c'est de là que je surfe dans la blogosphère. Avec un ordinateur pas portable du tout assemblé de bris et de broc par mes soins.Vous constaterez que j'ai une vue imprenable sur rien du tout. Sauf, un peu sur la gauche, mon unique fenêtre avec vue imprenable sur le chantier d'à côté.

En même temps, j'embrasse quasiment toute le panorama de chez moi rien qu'en tournant la tête. Un quart de tour vers la droite et vous avez mon canapé/lit et ma PAL
(pile à lire)On remarquera sur l'image la profusion de télécommandes totalement impromptue dans un si petit espace. Et aussi que je ne fais pas mon lit si souvent que ça.
Un quart de tour vers la gauche et vous avez mon étagère universelle avec un peu de tout dessus

On notera l'emplacement un peu incongru de mon micro-ondes, mais je n'avais que là où le mettre. Le coin cuisine, vous l'avez déjà vu quand j'ai adopté ma cafetière.
Voilà, vous avez fait le tour du locataire. Vous aurez constaté que je n'ai aucun gène commun avec Bree Van de Kamp, Monica Geller Bing pour le rangement ni avec Valérie d'Amidot pour la déco.

samedi, juillet 14, 2007

Début de ouikande

Je vous l'ai déjà dit, ce ouikande est off en ce qui concerne Chérie. Et comme je ne suis pas encore millionnaire (ça viendra une fois que j'aurai ce foutu boulot après lequel je galope désèspérément) , il n'est pas trop question de me ruer dans plein de spectacle du festival (pas donnés au demeurant, mais faut bien qu'ils vivent), que j'ai plein de tracts, d'où, en plus, hésitation dans le choix. Si on écoute les gentils gens qui vendent leur spectacle au cours de parades et autres représentations sur les diverses places de la ville, tout est vachement bien. D'où dilemme. En plus, l'aprème il fait super chaud et je préfère rester chez moi tous volets fermés à essayer de siester en vain. Et le matin quand il fait encore bon, je suis employé en tant que manutentionnaire chez une personne qui a un déménagement imminent (bon, c'est à la fin du mois, mais elle anticipe grave) . Me reste donc le soir.
Hier, ça a été regardage de télévision et des trucs affligeants de l'été. Tout d'abord, le traditionnel Koh Lanta. Deux bandes soi-disant abandonnées sur une île paradisiaque. En fait, ils sont suivis par toute une équipe de télévision, que s'il leur arrive quelque chose, ils ont le rapatriement sanitaire quasi instantané. Admettons, ils n'ont pas grand chose à manger et la production leur impose plein d'épreuves tout aussi difficiles que stupides et pas inédites. Le mangeage de larves répugnantes est par exemple un grand classique. Et tout ça pour éliminer l'un d'entre eux à la fin, qu'il ne doit en rester qu'un au bout de l'aventure. Dans la foulée, nous arrivons à ce que je considère actuellement comme le degré zéro de la télé réalité, j'ai nommé secret story. Je dis bien actuellement, vu qu'il doit exister des têtes pensantes en train de nous concocter pire encore. Là, j'ai tenu 5 minutes montre en main. Je n'ai même pas attendu la fin où Benji tente d'entretenir un ersatz de suspense quant au nom de celui ou celle qui va sortir. De toute façon, 5 minutes ça suffit pour voir que rien ne se passe dans la maison, que la production essaie désespérément d'animer avec des soirées à thème. Hier soir, c'était le bal des pompiers. Et je crois que si ces derniers intentent un procès pour diffamation à téhèfouane, ça ne me surprendrait pas du tout. Vous me direz certainement qu'il existe toute un panel d'autres chaînes. Mais un bref moment de zapping démontre que ça ne vaut pas franchement mieux ailleurs.
Tout ça pour dire que je me suis vacciné pour un moment contre la télévision vespérale de l'été. Ce soir, c'est décidé, je sors, au minimum pour louer un DVD, voire pour une toile ou une pièce. A moins que je ne décide d'aller à l'encontre de ce qu'on m'a demandé et que je ramène toute une batterie d'instruments exotiques à percussion qui font beaucoup de bruit et encombrent un maximum à qui vous savez (ricanements sardoniques).

vendredi, juillet 13, 2007

Du bon et du mauvais

J'ai bien reçu la confirmation ce matin. L'entretien est bel et bien mercredi prochain. vivement que ça arrive, je ne tiens plus en place. Hélas, cette bonne nouvelle a été ternie par l'accident aussi stupide que tragique qui est arrivé à mon APN. Stupide car si je l'avais rangé correctement, il ne serait pas tombé de toute la hauteur de mon lit (35 cm environ) sur le sol. Tragique car depuis il ne s'allume plus. De plus, quand je le secoue, il fait un drôle de gling gling au niveau de l'emplacement des piles. J'ai quand même réussi à sauvegarder les photos qui s'y trouvaient sur mon disque dur. Maintenant, c'est à joli-papa qui s'y connait plutôt bien en la matière de prononcer un diagnostic que j'espère optimiste. Ou alors à mon cousin qui a une idée derrière la tête sur la nature des blessures. Si ça pouvait se faire ce ouikande, ce serait parfait. En attendant, je me caille le sang et je n'ose pas tout démonter avec mes petites papattes, mes talents de bricoleur étant, comme vous devez vous en douter, réduits à leur plus simple expression. On verra bien.
Sinon, ces prochains jours s'annoncent plutôt bien malgré la canicule naissante et l'absence de Chérie que je ne reverrai au plus tôt que lundi soir. Ben oui, on a eu 34°C hier. Pas mal non? Et vu que tout le monde doit avoir maintenant du soleil et de la chaleur, je n'admettrai aucune plainte de mon lectorat. Et en ce qui concerne Chérie, elle a à gérer un troupeau d'adolescentes tout ce ouikande avec amenage au macumba night local ainsi qu'en d'autres lieux de perdition. Sans compter le couchage et le nourrissage de ces charmantes têtes blondes. Souhaitez lui bon courage, ça ne va pas être de tout repos cette affaire là. Je la plains beaucoup, moi qui risque de passer le plus monumental ouikande de glandouille jamais atteint depuis environ trois siècles. Peut-être irai-je trainer du côté du marché aux artisans pas trop loin de chez moi, histoire de voir les derières nouveautés en matière de djembés et autres bâtons de pluie,sans compter les traditionnelles fringues made in exoticland.
J'espère vous donner de bonnes nouvelles d'ici à très bientôt, photos à l'appui (j'ai mis mon espoir dans le seigneur... Et non, je n'ai pas succombé à l'évangélisme galopant de Nathalie, ci-devant voisine de Sixtine).
P.S. 14h21 wéééééééééééééé!!!APN est tiré d'affaire! Tout ça grâce à joli-papa qui a su émettre un diagnostic rapide et qui a su inventer l'outil trop bien adapté:
C'est ça. Trop de la mécanique de précision. Joli-papa, trop c'est le prof de Mc Gyver. Encore merci à lui pour tout ce qu'il a fait. Comme quoi, plein d'années d'expérience feront toujours la différence (j'ai déjà entendu ça quelque part, pas vous?).

mercredi, juillet 11, 2007

Boulot?

Ca y est! après une longue attente, que je me demandais s'ils n'allaient jamais me contacter, j'ai enfin eu ma convocation pour l'entretien d'embauche final. C'est pour mercredi prochain. Croisez bien les doigts pour moi d'ici là. Le plus marrant a été que cet emploi est à la poste. Et devinez où j'étais quand mon perdable a sonné pour cette bonne nouvelle? Je vous le donne en mille. Depuis, c'est l'exaltation totale. Enfin du boulot après 30000 refus. Je peux vous dire que l'inactivité commençais à me porter sur les nerfs. Ce qui est un peu dommage, c'est que je risque de devoir déménager, le poste n'étant pas dans ma ville mais à une trentaine de kilomètres. Juste au moment où, grâce à tous vos bons conseils, je commençais à faire de mon clapier un véritable appartement. Mais bon, rien n'est fait pour le moment et ne nous emballons pas. Mais bon, j'ai quand même fêté ça en prenant un pot sur une jolie place pas loin de chez moi en compagnie de Sixtine qui en a profité pour prendre plein de joulies photos à voir chez elle. Et après, ramenage de cartons chez elle. Faut bien qu'elle mette tous ses trucs quelque part pour son déménagement. Mais le retour a été folklo. J'ai fait le trajet quasiment à l'aveuglette, vu la pile que je trimballais.
Sinon, ce matin, j'ai redécouvert quelque chose. L'arôme du café qui se fait. Ca fait trop de bien aux narines et au moral ce genre de truc. Et puis ça commence à faire vraiment installé maintenant. Je me mets même à avoir de menues idées d'améliorations pour le reste. Et comme je vais gagner plein de sous (on continue à croiser les doigts), je vais pouvoir investir. Note pour plus tard: dévaliser Paragraphe. Promis, il y aura des photos.

mardi, juillet 10, 2007

Du mouvement dans ma maison

Bon, j'ai une nouvelle chaise, découverte lors d'une visite on ne sais jamais dans les combles de l'immeuble où j'habite. Merci Mister proprio. L'autre est allée rejoindre le paradis du petit mobilier via un passage moins glorieux au conteneur à déchets du coin. Je ne résiste d'ailleurs pas au plaisir de vous la montrer avant son dernier passage pour vous prouver que non, décidément, plus rien n'était possible pour la sauver et qu'elle ne pouvait pas non plus être recyclée, même temporairement, en meuble à cafetière.La cafetière, venons y. Normalement, dès ce soir je devrais en adopter une gracieusement offerte par Rose et Jean (ma môman et mon joli-papa) qui viennent d'en changer pour cause de volume devenu insuffisant. Et comme j'ai fait un peu de rangement chez moi, notamment au niveau du coin cuisine, j'ai de quoi la poser sur mon mini plan de travail, du moins tant que je ne fais rien cuire. Mais généralement en été, je me nourris quasi exclusivement de crudités et de rôti de porc froid. Donc; pas de souci de ce côté là. Et si me venait l'envie de manger chaud, j'ai plein de place au dessus de ma hotte pour la ranger. J'en profite pour dire un grand merci à tous les gens qui prennent la peine de me lire pour leurs conseils éclairés. De toute manière, bientôt miss cafetière aura son petit meuble tout exprès pour elle à peu près à l'endroit où se trouve ma défunte chaise sur la photo ci-dessus. Il y aura d'autres clichés pour vous montrer l'adoption.
Sinon, journée agréable au niveau météo. Vers 10h30 ce matin il ne faisait que 19°C avec un petit mistral bien sympathique. La canicule n'est pas encore arrivée. Pourvu que ça dure. Ca permet au moins de participer aux tâches de rangement jetage chez Sixtine sans top mourir de déshydratation. Et dieu sait s'il y a du boulot.
P.S. de20h37 : ça y est, elle est arrivée.
Regardez comme elle est belle. A moi les joies du bon café maintenant et finies les vilaines bactéries. Pour le meuble à aller chercher chez Paragraphe, c'est à suivre.

lundi, juillet 09, 2007

Café et soldes

Trop je suis un pro du bricolage! La molette que j'ai bougée hier soir sur mon chauffe-eau était la bonne. J'ai donc à nouveau de l'eau bien chaude. Ce qui ne m'empêche pas d'envisager l'adoption très prochaine d'une vraie cafetière. Ce serait quand même mieux que de faire ce que je fais actuellement. Mais d'abord, je dois envisager l'emplette d'un petit meuble où la poser. C'est d'ailleurs ça qui m'a fait hésiter depuis tout ce temps. Mais comme je n'envisage pas l'arrivée d'un monstre de technologie ni un truc qui fait deux mètres cubes de café, ça devrait pouvoir se faire assez vite.Je vous tiens au courant.
Ce matin, lever tôt. Grâces en soient rendues aux ouvriers du chantier d'à côté qui font un boucan de tous les diables à grand renfort de perceuses et autres outils électriques. Pas grave. Je devais de toute manière être sur le pont pour aller faire un saut chez Paragraphe voir ce qu'ils soldaient. Mais comme ce n'est qu'à l'instant que je me rappelle la nécessité du petit meuble dont j'ai parlé plus haut, rien n'a avancé si ce n'est que je n'ai pas encore écorné (waw les anagrammes) mon petit budget. C'est bien la première fois que je suis aussi sage lors des soldes. Pourvu que ça dure. Mais le retour à Paragraphe est imminent et je vais claquer du blé vu que ma chaise pliante de devant l'ordi vient de s'affaisser de façon irrémédiable et que donc je suis obligé de terminer debout. Pas super pratique.

dimanche, juillet 08, 2007

Epilogue

Je pensais que les tribulations du chauffe-eau étaient terminées. Eh bien non. Figurez vous que ce brave appareil tourne à l'économie et que donc il me fait une sorte d'eau tiédasse. Pas l'eau brûlante que j'attendais (pas pour la douche en ce moment) et qui me sert à me faire mon café soluble du matin. Oui, je suis une grosse feignasse du petit dèj'. Mais bon. Vu que je n'ai pas de cafetière (je compte lancer un faffwahthon pour remédier à cet état de fait), je fais un peu ce que je peux. Et vous, chers lecteurs, savez vous comment on règle un chauffe-eau? Parce que moi non. Je suis l'antithèse du mâle bricoleur. Déjà, il m'a fallu déployer des trésors de patience pour retrouver l'unique tournevis que je possède. Ensuite, démontage d'un capot pour chercher un thermostat. Je n'ai rien trouvé de ressemblant si ce n'est une espèce de molette graduée de 1 à 4. J'ai donc mis le machin sur 4. Qui vivra verra. Déjà, je n'ai rien fait sauter, donc rien de grave. Pour les résultats, on se réfèrera à l'instantané de demain matin. Je vous tiens au courant.
Sinon, journée paisible en famille avec des températures clémentes. Que 27°C à 11h du matin et donc une petite trentaine au maximum. Faut pas que ça monte encore. Là, je suis à la limite. Pour celles et ceux qui vivent encore dans un froid polaire, je dirai qu'il est quand même plus facile de se protéger du froid que du chaud. Il n'y a qu'à se couvrir plus. Là, avec 28°C dans mon appart, je ne sais plus quoi faire, vu que je suis déjà à moitié à walpé et avec un pauvre ventilo qui fait ce qu'il peut avec ses petites pales. Je suis prêt à échanger avec un inuit.

samedi, juillet 07, 2007

Suite et fin

Hosanna, hosanna, ça y est, c'est fait!
Donc, ce matin, lever aux aurores vu que mister proprio avait dit qu'il passerait tôt. Erreur funeste. Le proprio est fourbe quand il s'agit d'horaires. Et muet quand essaie de le joindre sur son portable. A moins qu'il ne soit sourd et ne l'entende pas sonner. Quoi qu'il en soit, vers 10h45 (à peine un peu plus de deux heures de retard) , le voilà, accompagné d'un arpète de choc. Comme le proprio est fier, il ne s'abaisse pas à s'excuser. Et voilà que commencent les travaux.Tout d'abord, vider l'eau qui reste dans le chauffe-eau subitement décédé. Là, ça a été folklorique, vu que ni proprio ni arpète ne maîtrisaient l'art, ô combien délicat de la plomberie. Ca coulait au rythme d'un verre pas trop grand à l'heure. Nous n'étions pas rendus.Après moult tâtonnements, ils finirent par trouver le truc. Mais il subsistait un léger problème. Le plus grand récipient possible dans mon appartement ne dépasse pas le volume considérable de trois litres. Ca allait donc un poil plus vite mais ça ressemblait touours au remplissage du tonneau des Danaïdes avec un dé à coudre. Vers midi et quart, l'opération était terminée. Restait à installer le nouveau. Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est relativement malaisé à manipuler ce genre de truc. Et vu l'espace de travail et l'éclairage quasi absent de ce coin, je m'attendais au pire. Que nenni. En une petite vingtaine de minutes, tout était rentré dans l'ordre. Je pouvais enfin prétendre avoir de l'eau chaude dans un avenir pas trop lointain. Juste quand les premières grosses chaleurs de l'été arrivaient avec leur cortège de températures supérieures à 30°C, que là, de l'eau chaude je n'en veux plus, même pour me raser, que l'eau chaude c'est mieux paraît-il. L'évacuation de la victime se déroula sans trop de difficultés, malgré une cage d'escalier étroite et tortueuse. Pour fêter ça, je pris mon courage à deux mains pour affronter la canicule naissante (que ceux qui veulent de la chaleur, je peux leur en envoyer par paquets) , pour aller à K Roof faire quelques menues emplettes. Fallait pas déconner, il faisait faim à cette heure là. Une fois la panse remplie, rangeage des écuries d'Augias. Sacré boulot qui m'a permis de redécouvrir des fringues que je croyais à jamais disparues. Une bonne chose qui me permet à présent de résister aux sirènes des soldes. Vade retro!
Vous noterez là
et là
L'ordre apparent qui règne sur mes affaires. Ce n'est hélas que provisoire. J'ai encore tout plein de trucs à caser sur ces satanées étagères. Ca risque de se transformer en empilages façon Jenga. Mais pour le moment, je n'ai pas le courage de le faire. Arrêtons nous donc à cette délicieuse sensation du travail accompli


vendredi, juillet 06, 2007

Plomberie suite

Voilà, encore un après-midi un peu foutu en l'air vu que mon proprio a passablement oublié de m'appeler pour me dire quand il devait passer. Il semblerait qu'il ait perdu mon numéro de téléphone. Et pagesjaunes.fr, c'est pour les chiens? Finalement, il a opté pour la solution je ne fais pas appel à l'artisanat local, je le fais moi-même. Et il a apporté le nouveau chauffe-eau. Reste plus qu'à le monter. et ça, c'est demain matin aux aurores. Envolés les rêves de grasse matinée avec Chérie. Et pour couronner le tout, il a laissé le chauffe-eau sur le palier. Ca ne fait pas du tout Bronx ce truc là.
Ici, vous avez le coupable de toutes ces aventures.
Et là son successeur. Vous remarquerez comme il meuble bien le palier et la cage d'escalier.
Ca me promet un super ouikande ça. Va falloir négocier serré avec Chérie. Ou alors, je la laisserai dormir et partirai sur la pointe des pieds.

jeudi, juillet 05, 2007

Plomberie

Il y en a pour qui c'est la serrure qui pose problème. En ce qui me concerne, c'est plutôt la plomberie.Ben oui, mon chauffe-eau a rendu l'âme dimanche soir en faisant sauter les plombs alors que j'étais tranquille à lire des blogs. Après moult jurons et à l'aide d'un briquet, je me suis déplacé à tâtons vers le tableau électrique pour voir ce qui se passait. Là, il a fallu essayer tous les fusibles pour voir ce qui clochait. Et un briquet, ça crame un peu les doigts au bout d'un moment. Et, bien sûr, c'est le dernier qui a rendu son verdict. Le chauffe-eau déconnait. Il allait falloir se passer d'eau chaude au moins jusqu'au lendemain. Lundi matin donc, appelage du proprio qui ne répond jamais et qui se manifeste toujours des plombes plus tard. Patience mon amie... Au bout d'une journée, miracle, il a donné signe de vie. Bon, d'accord, il était en vacances et ne rentrait pas avant jeudi.Et il fallait trouver un plombier disponible pour changer le chauffe-eau. On n'y était pas encore. Ben si. Normalement, ça devrait se faire cet après-midi. Avec toutes formes de réserves, tant je l'ai senti impliqué lors de son appel. On verra. En attendant, j'ai préféré m'expatrier chez Chérie pour ne pas avoir à me doucher à l'eau glacée. J'entends déjà les réflexions : "oui, il a saboté lui-même son chauffe-eau pour aller squatter avec madame, c'est trop bien joué". J'aurais pu. Mais non. Parce que, vu qu'il est situé juste derrière les étagères et la penderie où j'ai mes fringues, il m'a fallu tout virer pour que ce soit accessible. Et mon appart est dans un désordre sans nom. Je n'ose même pas vous en faire profiter via photo tellement c'est horrible. Je peux juste m'assoir devant l'ordi. C'est tout. Tous mes espoirs reposent donc sur la célérité de l'artisanat local. Pitié, faites que ça aille vite.

P.S. Pas de photos du bowdel abiant d'ici pour cause d'APN chez Chérie. Demain peut-être. Mais une tête connue. Cherchez bien.
P.P.S A la demande générale, un petit cliché pour illustrer le boxon de chez moi en attendant l'intervention de l'artisanat local. Je vous raconterai

mardi, juillet 03, 2007

Plus de peur que de mal finalement. C'est donc rassuré que je vais vous conter mes dernières péripéties. Tout d'abord, ce fut un week-end chargé en festivités diverse puisqu'il n'y avait pas moins de deux anniversaires, un anniversaire de mariage et un départ à la retraite. Du lourd donc. Mais pas au niveau du buffet qui était fort bon ma foi et plein de bons légumes qui font du bien. A ma grande honte, j'avais oublié APN, ce qui vous privera du look de l'année qui consistait en un superbe pantalon à petits carreaux jaunes et blancs surmonté d'une chemise à fleurs de type hawaïen du plus bel effet. Dommage. Signalons au passage la fourberie de la sangria qui fit quelques victimes, la version familiale étant particulièrement réussie. Heureusement que du couchage sur place était prévu pour ces malheureux. Un bon moment de passé donc. Le lendemain fut consacré au finissage des restes, épreuve parfois difficile pour ceux qui, après une brève nuit de sommeil, se voyaient, quasiment au réveil, proposer un nouvel apéritif et des monceaux de victuailles. Tout cela se passa sous un ciel légèrement menaçant et nous eûmes même droit à une averses. Mais oui, il peut pleuvoir début juillet dans le sud de notre beau pays. Dire que la semaine prochaine nous remettons ça. L'été commence bien.

lundi, juillet 02, 2007

J'aurais bien voulu vous parler de mon week-end de fêtes d'anniversaires divers mais là, maintenant, je n'ai pas le coeur à le faire. Ma grand-mère vient d'être hospitalisée en urgence suite à un malaise et à une glycémie trop élevée. Donc, je flippe carrément.
Désolé de ne pas être drôle.
A bientôt.

dimanche, juillet 01, 2007

La photo pour Sixtine

Dans son commentaire du dernier post, Sixtine a fait remarquer l'absence de filles en bikini. J'avais prévu le coup et donc, je vais publier une photo de filles à moitié nues prise à la paparazzi sur la plage.
On remarquera le cadrage un peu foireux genre cliché pris un peu à la ramasse.
Désolé pour les filles mais je n'ai pas d'éphèbe en stock. S'il y a de la demande, je ferai un effort la prochaine fois.
Voilà. C'était le post racoleur du dimanche soir après un week-end de fêtes d'anniversaire. Je vous raconterai ça la prochaine fois. Maintenant, je ne peux pas, je digère.

samedi, juin 30, 2007

Les photos enfin

Vous les attendiez depuis fort longtemps? Et bien, les voilà.
J'espère qu'Ashley appréciera tout particulièrement celles avec du ciel gris dedans, vu que, la pauvre, elle vit dans une région où on ne voit jamais le soleil.
Sinon, toujours dans l'attente du fameux coup de fil. Bon, pour le week-end, pas la peine de camper. Je vais en profiter pour aller me balader.
Bon week-end à toutes et tous.


vendredi, juin 29, 2007

Je suis minable !!!

58%How Addicted to Blogging Are You?

Mingle2 - Online Dating



Que 58 % !!!. Remarquez, vu mon assiduité, je m'attendais même à moins.
C'était juste pour vous faire patienter encore un peu en attendant les photos. Normalement, c'est pour ce soir. Et il y aura des photos sous un ciel nuageux rien que pour faire plaisir à Ashley qui vit dans les frimas.

jeudi, juin 28, 2007

Expectative

Reçu ce matin de la part de mon interlocutrice du premier entretien: "c'est tout à fait normal de ne pas avoir encore de nouvelles". C'est comme ça. J'ai avalé la pilule avec difficulté. Mais au moins je ne me prends plus la tête avec ça. Stop au camping devant le téléphone. Ils ont aussi le numéro de mon perdable. A eux de jouer donc.
De plus, en ce moment, je joue les aide soignants auprès de Chérie qui, suite à une overdose de climatisation dans sa voiture, a chopé une crève monumentale. Elle va quand même bosser mais, à son retour, elle est tellement crevée qu'elle a besoin de soutien, tant sur le plan moral que pour les petites tâches ménagères, choses que je pratique bien volontiers même si je suis loin d'être au niveau en ce qui concerne la préparation de repas gastronomiques qui font du bien. Mais je m'efforce de faire dans l'équilibré ou plutôt dans le pas trop déséquilibré. A moi donc les joies des courses chez Ed l'épicier, à fureter dans les rayons à la recherche du bon et pas trop cher. Mais invariablement je reviens avec la boîte de Magnum qui, si elle n'est pas top au niveau diététique, fait toujours plaisir en cette période de début de chaleurs. Et désolé pour ceux qui se caillent les meules dans le reste de la France.
Toujours pas de photos me direz vous. Et vous avez raison. Là, je suis juste en train de les retoucher un peu avant publication. Rassurez-vous, ça devrait assez vite venir.

mercredi, juin 27, 2007

Ben ça marche pas

Ca fait deux longues journées que je campe à proximité de mon téléphone en attendant le coup de fil magique d'un deuxième entretien d'embauche. Attente de moins en moins optimiste au fur et à mesure du temps qui passe. Franchement, fonche ces gens qui n'ont même pas la décence de prévenir que votre candidature n'a finalement pas été retenue. Ou alors, c'est moi qui me suis bercé d'un optimisme béat. A moins que. Vu qu'il s'agit d'une entreprise qui ne fait pas toujours preuve de célérité dans ses services, on peut penser que là aussi ils prennent leur temps. A voir...
Cette attente, plus ou moins forcée, m'a permis de découvrir le chantier d'en face de ma fenêtre. Jusqu'à présent, je n'avais pu que constater l'avancement des travaux. De près vu que ça se passe à environ 2m50 de chez moi. Maintenant, j'ai tout en direct. Les perceuses, marteaux et autres outils bruyants qui font comme une douce musique à mes oreilles. Au point que je suis obligé de vivre les fenêtres fermées en permanence pour pouvoir simplement lire tranquille. Et le bruit passe quand même. Pas cool...
Pour les photos, je n'ai toujours pas remis la main sur le câble de l'APN. Mais ça devrait pouvoir se résoudre demain. Donc, un peu de patience amis lecteurs.

lundi, juin 25, 2007

Quand ça veut bien marcher...

Ca y est. Depuis hier soir me voilà de retour dans notre beau pays. Enfin, retrouver le plaisir de mettre des accents, des cédilles et tout le tremblement. Promis, j'essaierai de tout retrouver sur les claviers étrangers la prochaine foi. Ca doit pouvoir se faire. Et si quelqu'un sait comment faire, qu'elle ou il me le dise.
Et ce retour se présente sous de très bons auspices. Ben oui. A peine avais-je franchi la frontière que mon mobile s'est affolé. J'avais tout plein de nouveaux messages. D'amis pour la plupart mais pas que. Il y en avait un concernant un entretien d'embauche. Elle est pas belle la vie? Me voilà donc ce matin à user du rasoir, de la tondeuse et de tous les produits d'entretien du corps et de la peau qui le font bien. Ben oui, je suis légèrement métrosexuel. Grâce à Sixitine et tous ses bons conseils. Une fois bien pimpant et tout propre, j'ai décroché le combiné pour rappeler qui de droit. Et hop, entretien dans l'après-midi. Un peu de stress là, mais pas trop. Merci à mes cours de yoga. 14h arrivent et me voilà dans l'antre. Et là, discussion constructive dune demi heure à peu près. Maintenant, je dois juste camper auprès de mon téléphone pour attendre l'entretien final, celui qui va tout décider pour ce job. Là, j'y suis. Toujours optimiste.
En ce qui concerne mes vacances, j'ai pris plein de photos que je ne manquerai pas de vous montrer dès que j'aurai remis la main sur ce b....l de m...e de f...u câble de liaison avec l'ordi.
Promis, je vous raconte la suite.

mercredi, juin 20, 2007

Glandouille

Ca y est, j'ai fini les menus travaux de bricolage. Il n'y a plus qu'a regarder la peinture secher. A moi le lezardage a la playa.

Le rythme de vie ici est assez simple. Lever tôt pour profiter du frais avec petit dej sur la terrasse. Et la narguerie ne fait que commencer. Jusqu'a maintenant, c'etait bricolage le matin. A partir de desormais, ce sera plage. Apres le repas de midi, il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit. Donc, bouquinage a l'ombre. Je suis incapable de faire la sieste pour mon plus grand malheur. Je vous avais prevenu pour la narguerie. Vers 16h, retour a la plage. l'eau est super bonne bien qu'un peu agitee. Mais moi j'aime. Le soir, comme il n'y a pa beaucoup d'animation, c'est rebouquinage. Et encore un peu de narguerie. Vous pouvez me detester, j'assume. J'aurais bien pu prendre quelques copies a Sixtine mais ca aurait ete un peu rock and roll. Et je ne sais pas si l'educnat aurait aprecie d'avoir du sable sur les kopibaks.Je prends egalement bien note du haut niveau hispanisant d'Ashley dans l'hypothese d'un autre sejour ici. Avec l'autorisation expresse de V.N bien sûr.
Bon, c'est mon dernier post de l'etranger vu qu'il y a moult travaux dans la rue qui vont bloquer l'qcces du cyber a partir de cet apreme. Il vous faudra donc patienter un petit peu jusqu'a dimanche soir, date de mon retour.
A bientôt

mardi, juin 19, 2007

J suis

Avez vous vu commje maîtrise le langage seumeusseu? Pas mal non?
Ce poste sera bref vu que je ne rame comme un fou sur ce f...ing clavier espagnol avec plein de lettres qui se baladent et les accents que je ne trouve absolument pas.
Le voyage s'est bien deroule (je ne sais pas ou sont les accents, alors je fais ce que je peux) apres une nuit fort breve genre: "Pitin, je vais pas entendre le reveil, je flippe et toussa". Mais, grace a des bassines de cafe, j'ai pu garder un maximum d'eveil pour la route. Bonne surprise, la maison est a deux pas de la plage. Trop bien. Maintenant, les mauvaises surprises. Je suis a des kilometres du centre ville, ce qui m'oblige a randonner sous un soleil de plomb pour la moindre sortie. Donc, faut tout grouper et prendre le mega sac a dos pour pouvoir tout prendre. Il y a aussi la barriere de la langue. Je ne parle pas un mot d'espagnol et eux pas francais. Je ne vous raconte pas les gestes et autres mimiques pour se comprendre. Mais bon, l'un dans l'autre, on finit par se comprendre. J'aurais dû reviser avant de partir et de tout facon, j'ai fait allemand et anglais au bahut.
Pour ceux qui s'attendaient a des reportages torrides sur des nuits sauvages vont en ètre pour leurs frais. C'est bien une station balneaire mais le public n'est pas franchement jeune. Ca releve même plutôt du troisieme age. Donc, pour les parties, faudra remettre a une autre fois. N'oublions pas que je suis venu aussi pour bricoler. La, ca va. La peinture de la clôture avance bien. le seul truc, c'est que je dois me lever tôt pour eviter la chaleur. Mais comme je ne sors pas, c'est bon.
J'arrive au terme de mon credit et de ce billet. Encore une fois, pardon pour laurtograf approximative. La prochaine fois, j'amene un azerty sous le bras.
La suite bientôt.

samedi, juin 16, 2007

faux départ

Je sais, vous allez être surpris de me lire ce week-end alors que je vous avais annoncé mon départ vers des contrées riantes avec plage intégrée. C'est que j'avais oublié deux choses qui se passent ce dimanche.
Tout d'abord, il y a la fête des pères. Personnellement, j'avais complètement oublié. Il a fallu que mon frère m'appelle pour une concertation de dernière minute à propos du cadeau pour me le rappeler. De plus, le paternel ,pas disponible demain, a avancé la date des retrouvailles à aujourd'hui. On n'est pas charrette là.
Et puis, n'oublions pas que demain on vote. Sauf quelques privilégiés qui ont vu l'élection de leur député, choisi ou non, au premier tour. Ceux là peuvent aller balader tranquille. Pour chez moi, le coup n'est pas passé loin et je ne me fais guère d'illusions quant aux résultats de ce soir. Néanmoins, j'irai voter, histoire de me dire que j'ai accompli mon devoir de citoyen responsable.
J'allais oublier.Chérie est absolument fan de D&Co et ne louperait Valérie Damidot pour rien au monde. Et ça lui donne des idées. Là, elle s'est mise en tête de repeindre la chambre avec moult effets de peinture. Pour se faire, il faut au préalable faire les tracés des bandes. Et, vu le matos dont elle dispose, ça va être sportif. Faire tout le tour d'une pièce de 3.50 m sur 3 bien horizontalement avec un niveau qui ne dépasse pas les 40 cm ça promet d'être chouette. J'ai beau être doté de deux mains droites (je suis gaucher), je suis mis à contribution dès cet après-midi. On fera ce qu'on pourra en essayant de ne pas briser le ménage pour un trait un peu trop oblique.
Donc, vous le voyez, j'ai un week-end assez occupé finalement. J'ai donc différé mon départ qui n'aura lieu finalement que lundi matin assez tôt vu que c'est plutôt loin là où je vais.
Sinon, chez Sixtine (lisez bien les commentaires) j'ai créé la polémique quant au fait qu'un chat dans un tout petit appartement c'est possible. Je suis tout à fait d'accord. Mais il se trouve que je ne suis pas chez moi en permanence vu que Chérie m'accueille assez régulièrement en ce moment. La pauvre bête serait donc toute seule à ces moment là et ça, je ne le veux pas. Et comme je suis le père adoptif du gentil Zéphyr
ci-devant chat de Chérie, je n'ai pas à me plaindre d'un manque de félinitude. Voilà, c'est dit.
Si j'ai un peu de temps demain, promis je poste. Et je suis toujours sous réserve de trouver un cyber sympa en bordure de plage pour la semaine prochaine.
Bon ouikande à tous.

vendredi, juin 15, 2007

tag et vacances

Bon, ben voilà. Je me suis fait taguer par Sanjuro. Alors, voilà l'idée. Il faut écrire 7 chose sur soi. Ceci fait, il faut refiler le bébé à 7 autres personnes. Et c'est là que ça coince. J'ai l'impression d'arriver en bout de ligne et ceux à qui je pensais sont déjà tagués. Va falloir chercher grave.
Bon, faut s'y mettre.
1/ Moi aussi j'ai été louveteau puis éclaireur. C'est scout en non catho. Mais les conneries genre uniforme et tout et tout c'est pareil. Ca n'a pas duré longtemps vu que j'ai fait des pieds et des mains pour me barrer de ce piège le plus vite possible malgré l'insistance de mes parents qui voulaient me socialiser.
2/ J'ai fait du piano quand j'étais ado. Mais j'avais une prof pas possible avec laquelle je passais plus de temps à m'engueuler qu'à jouer vraiment. J'ai été jusqu'à lui dire que j'inventerais une méthode avec des placements de doigts bien à moi. Le monde de la musique l'attend toujours.
3/ J'ai failli devenir professeur des écoles. Instit quoi. Mais ça ne s'est pas bien passé et j'ai préféré abandonner plutôt que de devenir complètement dingue.
4/ J'ai une sorte de super pouvoir avec les chats. Ces charmantes bestioles m'adorent. Demander à Chareloue.
5/ Je suis complètement accro au ski. Faut dire que je suis un peu tombé dedans quand j'étais petit. Ceux qui auront vu mon ADN s'en seront rendus compte par eux même. C'est aussi pour ça que je préfère de loin l'hiver à l'été.
6/ Je suis relativement bordélique chez moi mais pas chez les autres. Quand je suis chez Chérie, je suis même limite maniaque alors que chez moi c'est la zone.
7/ Je suis un dingue du téléphone. Contrairement à Sixtine, dès que j'entends un téléphone sonner, j'ai une envie folle de décrocher. Chez moi, ça passe. Mais chez les autres...
Voilà, j'ai accompli ma mission. Je taguerai bien quelqu'un mais je n'ai absolument aucune idée. Je laisse donc l'initiative de ce choix à mes charmants lecteurs.

Vous avez sans doute remarqué qu'il y avait le mot vacances dans le titre. J'y viens. Je vais abandonner ce blog pendant une semaine, vu que je pars ce week-end en Espagne. Oui, je sais, après avoir déclaré que je détestais l'été, partir dans une contrée encore plus méridionale que la mienne relève du pur masochisme. Mais là-bas au moins je serai au bord de la mer. Et quoi de mieux que de tremper un peu (beaucoup) pour faire baisser la température. Donc, si vous ne lisez rien de neuf, pas d'affolement. Il se pourrait même que si je trouve un cybercafé sympathique, je vous donne mes impressions en direct. A suivre donc...

P.S. de 21h58. Allez toutes et tous jouer chez Ashley. C'est trop bien.

mercredi, juin 13, 2007

Voilà l'été

Tout d'abord, je tiens à m'excuser de ces deux jours d'absence auprès de mes gentil(le)s lectrices(lecteurs). Bon, si vous avez un peu suivi ce blog, vous vous êtes rendu compte que j'étais plutôt coutumier du fait. Mais là, ce n'était pas de la flemme mais plutôt une carence en présence sur le ouaibe. Ben oui, j'étais chez Chérie ces deux jours et quand je suis en sa compagnie, j'ai un peu l'esprit ailleurs. Parce que, maintenant, je n'ai que cette excuse pour ne pas poster quand j'y suis vu que maintenant elle est online. C'est enfin arrivé grâce à l'opérateur historique après de nombreuses péripéties avec le premier FAI de son choix. Un de ceux avec tout compris pour pas cher. Je ne le citerai pas mais je vous donne un indice : c'est un drôle de numéro. Mais je m'égare.
Donc, comme annoncé dans le titre, c'est déjà l'été. Il commence à faire bien chaud ici et ça me gonfle grave. L'hiver, il fait froid (chic!!!). On peut donc empiler les couches tel un oignon bien élevé. mais l'été, c'est la galère. On ne peut décemment pas tout enlever sous peine de se faire embarquer manu militari. Donc on crève de chaud, on transpire (beuark !!!) et on se traine de clim en clim. Quand on le peut. Et on bave d'envie devant les privilégiés qui l'ont chez eux ou qui possèdent une des armes absolues de l'été : la piscine. La piscine, parlons en. Il y a quelques années avec Sixtine (qui attend désespérément les résultats de sa mut, allez tous la plaindre et l'encourager), nous avions été tentés de passer la petite annonce suivante :
jeune homme (femme) bien sous tout rapport cherche compagne (compagnon) avec piscine. Age, sexe, situation, physique indifférent. Photo de la piscine exigée.
Nous avions alors manqué de courage pour la concrétiser (en fait de courage, c'était plutôt par flemme). Mais de temps en temps nous y repensons. Surtout quand le thermomètre commence à flirter avec les 30/35°C comme c'est la cas en ce moment.
Je suis donc ouvert à toute suggestion pouvant faire baisser de façon significative la sensation de sauna permanent que je rencontre actuellement. Le verre frais à une terrasse ombragée et sympathique a déjà été envisagé.

dimanche, juin 10, 2007

C'est l'heure des bilans

Ne vous méprenez pas sur l'intitulé du titre. Je ne vais pas vous faire le coup de la soirée électorale bloguesque. Il y a des gens qui le font très bien et je ne veux pas faire fuir mes gentils lecteurs avec un truc aussi pénible bien qu'il soit probable qu'il y ait des passionnés de ce genre d'exercice. Non, je vais plutôt vous faire des révélations sur mon ouikande.
Vous avez sans doute lu mon dernier post dans lequel j'étais plongé dans un abîme de perplexité quant à ce que j'allais en faire. Eh bien, rien de ce que j'avais envisagé ne s'est fait.
Tout d'abord, j'ai commencé par faire coursier pour une gentille personne bien balade que vous avez sans doute reconnue. ceci fait, j'ai joué les escorteurs vers le cabinet de son médecin. Là, première surprise. Une copine quasiment perdue de vue et retrouvée par hasard à Carrouf deux semaines auparavant fait tinter mon perdable. Une petite discussion s'engage qui m'amène à accepter une invitation au repas de midi. Comme ça faisait pas loin d'un an que je ne l'avais pas vue, nous avons longuement papoté jusqu'à une heure avancée de l'aprème à laquelle j'ai pris congé vu que j'avais repas de famille le soir même et que j'allais être à la bourre. Fin du repas un peu tard. Trop pour le cinoche. J'ai donc regagné mes pénates, mis de la musique (US3 et Saint Germain pour ceux que ça intéresse) et pris un bouquin que je n'ai lâché que fort tard. Voilà pour le samedi.
Dimanche, levé tôt. A ce que j'ai cru comprendre, je n'ai pas été le seul. Je suis allé accomplir mon devoir de citoyen dans un bureau désert. Donc, pas trop perdu de temps. Là, petit café en terrasse en bas de chez moi. Pour ça, j'ai l'embarras du choix vu le nombre de débits de boissons situés sur la place. Promis, je vous fais des photos. Là, nouveau coup de fil. Et nouvelle invitation. là, par couple d'amis pas vus depuis un sacré bail. J'avais vu Mademoiselle enceinte et la, pouf, c'est un garçon qui marche et commence à parler. Ca, c'était pour vous donner une idée du temps passé. Et là, rebelote. Papotage intense jusqu'à une heure avancée.
Week-end très en société donc. Hélas, APN est resté at home ces deux jours. Râpé pour le photoreportage. J'espère que je ferai mieux la prochaine fois. C'est décidé, je le laisse à demeure dans mon sac.

vendredi, juin 08, 2007

Ouikande

Ca y est, c'est le week-end. Rien à faire pendant deux jours. Vraiment rien, vu que Chérie n'est pas disponible. Tant pis. Au comble du désespoir, je n'aurai plus qu'à regarder bovinement des gens en short ou en jupette (au choix) taper dans une petite balle jaune à grand renfort de ahans de bûcherons, voire de parturiente. C'est un vrai cauchemar d'envisager ça. A quoi j'en suis rendu...
Suis je bête, je n'ai qu'à aller balader. Sauf que. Déjà ma ville est du genre qu'on en a vite fait le tour. Et des tours, j'en ai fait, croyez moi. En plus, faire les boutiques (oui, je suis un grand malade du shopping. Et alors?) un samedi après-midi relève d'une grande inconscience. A moins de pratiquer le bain de foule comme un politicien blanchi sous le harnais, ce qui n'est pas mon cas. Reste le cinoche. On m'a dit beaucoup de bien de Zodiac. Mais, s'enfermer alors qu'il fait si beau dehors, ce serait un peu dommage. Quoi que. Avec la chaleur qui est revenue, passer un peu plus de deux heures dans une salle climatisée ne serait pas pour me déplaire. A méditer.
Aller à la campagne? En voilà une idée qu'elle serait bonne. Hélas, Tuture est en vrac en ce moment. Je pourrais demander la célébrissime Touingo de Sixtine et sa radio magique qui met bien la patate. Pas mal ça.
Finalement, j'ai quelques idée. Reste à choisir. J'ai le temps d'y réfléchir d'ici demain. Et la nuit porte conseil. Sinon, je peux toujours mettre ma décision au vote de mes gentils lecteurs. Et en faire un compte-rendu avec photos.
C'est à vous donc.

samedi, juin 02, 2007

Comme on est

Vu chez Sixtine et aussitôt fait, ce petit jeu afin de découvrir son ADN visuel.




Voilà, c'est moi. Ca me va bien je trouve.

mercredi, mai 30, 2007

Fiche de lectures

Reçu de la part de Sixtine ce petit jeu sur la lecture. Un grand merci à elle, ça me sort de mon désert bloguesque. Commençons donc.

Quatre livre de mon enfance.
/Tout d'abord, toute l'encyclopédie Cousteau. Je sais, ça fait plein de livres (6 au total) mais je le considère comme une simple oeuvre.
/Ensuite, Michel Strogoff de Jules Verne. Je sais, ce n'est pas un livre forcément pour les enfants mais je l'ai lu à 8 ans. Donc, ça compte.
/J'aurais bien mis Bennett et la roue folle mais c'est déjà pris. Restons dans la bibliothèque verte et disons le clan des sept. Un peu pompé sur le club des cinq d'Enid Blyton mais bien aussi.
/Pour finir, les monstres de la préhistoire. Un bouquin sur les dinosaures. Ça me passionnait à l'époque.

Quatre écrivains ou oeuvres que je lirai encore
/Tout Bukowski, même la poésie. J'ai découvert quand j'étais étudiant et j'ai été frappé par le style brut de décoffrage et le désespoir qui en transpire.
/Tout Sade. Quand on le relit, on se rend compte que tout ce qui se passe actuellement existait déjà il y a deux siècles. Ça fout la trouille mais c'est bien d'y revenir.
/Tout Asimov. Du grand art dans le domaine de la science fiction. Ah, le cycle de fondation.
/Le guide du routard galactique. Les cinq volumes Toujours de la science fiction mais Douglas Adams en a fait quelque chose de branquissime et très rigolo.

Quatre auteurs ou oeuvres que je ne lirai plus
/La princesse de Clèves. Horrible bouquin pour moi qui ai été contraint de le lire en seconde et d'en faire une fiche de lecture. Presque à passer dans la rubrique suivante mais je l'ai fini. Hélas.
/L'alchimiste de Paulo Coelho. On m'en a tellement rebattu les oreilles que je l'ai lu. Pas un bon souvenir. On ne m'y reprendra plus.
/Histoire de l'œil de Georges Bataille. Lu sur les conseils d'un ami. Franchement glauque. Je déconseille aux âmes sensibles. C'est limite gerbatoire.
/Boule de suif de Maupassant. Je l'ai eu au bac français alors que nous avions survolé le bouquin en catastrophe au dernier moment. J'ai dû analyser un passage non étudié. Je vous laisse imaginer la galère. En sortant, je me suis juré de ne jamais plus y toucher. Dont acte.

Quatre oeuvres ou auteurs que je n'ai jamais réussi à lire en entier
/Ulysse de Joyce. Malgré moultes tentatives.Je sais, c'est comme Sixtine. Y a-t-il quelqu'un qui l'a lu en entier?
/Le cycle de Dune de Frank Herbert. Ça avait plutôt bien commencé mais les derniers volumes sont tellement pénibles que je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout. J'en connais qui l'ont fait et je les admire.
/Guerre et paix de Tolstoi. Trop long, trop de personnages. Il faut presque prendre des notes pour s'en sortir. J'ai échoué. Honte à moi.
/L'idiot de Dostoïevski. Je sais on reste dans les auteurs russes. J'ai réussi à en lire d'autres pourtant, mais celui là m'est rapidement tombé des mains. Dommage.

Quatre bouquins que j'emporterai sur une île déserte
Impossible de faire aussi marrant que Sixtine. Voyons voir.
/Vendredi ou les Limbes du Pacifique de Michel Tournier. C'est un peu évident mais c'est ma liste. Je fais ce que je veux.
/100 façon de cuisiner de la noix de coco au poisson, oeuvre collective des survivants de Koh Lanta.
/Solitude de Maupassant (encore lui). Là non plus, je ne me suis pas foulé.
/L'art du monologue. Je pense que ça pourrait être utile.

Quatre premiers livres de ma PAL (pile à lire)
/Au pays des vivants de Nicci French. Faut que je m'y mette.
/Les charmes discrets de la vie conjugale de Douglas Kennedy.
Ça s'arrête là. Ben oui, je n'en ai que deux. Vu la place chez moi, je ne peux pas trop empiler. Si vous avez des conseils (ou des livres à me prêter), n'hésitez pas.

Et on va tous mourire passke je ne sais absolument pas à qui je pourrais refiler ce questionnaire. Si vous êtes volontaires, contactez moi, ce sera avec plaisir.

mardi, mai 29, 2007

Asian Dub Foundation - Riddim I Like

Un petit clip qui fait du bien aux oreilles. En ce moment, c'est ce que j'écoute en boucle. Ca me rappelle leur passage dans ma ville il y a 3 ans. Profitez en bien

mercredi, mai 23, 2007

Retour à la civilisation

Mes charmants lecteurs auront sans doute remarqué que j'avais une fois de plus disparu de la blogosphère. Pas de souci cependant. J'étais juste parti aider mon frère à aménager la chambre du bébé à venir. Donc, entre les différentes couches de peinture, le montage des meubles et surtout leur agencement (copine du frangin remettant sans cesse la disposition de l'ameublement de la pièce).
De plus, frangin habitant un charmant village de l'Hérault où internet n'a pas encore mis les pieds et où il faut aller sur la place principale pour pouvoir espérer quelques miettes de réseau pour les mobiles, je dois avouer que la communication avec le vrai monde de la ville que j'aime n'était pas très aisé. Mais bon, ce furent de bons moments et me voilà de retour.
Promis, je fais quelque chose de bien pour mon prochain post et je n'attends pas des jours comme j'ai tellement tendance à le faire.

vendredi, avril 27, 2007

Pour Sixtine

Petit écho au dernier post de Sixtine que, je crois vous connaissez Toutes et tous. Moi aussi, j'avais complètement craqué sur ces albums. Et là, ce soir, après avoir regardé la vidéo, je me suis mis à les rechercher partout tant ça m'a rappelé de choses. Voilà, écoutez et régalez vous

vendredi, avril 20, 2007

Portrait chinois

Si j’étais…

Si j’étais un oiseau, je serais un corbeau
Pour le plumage noir que je trouve très beau
Et si on m’attribue plein de mauvais présages
Je les ferai mentir avec tout mon ramage.

Si j’étais une fleur, je serais un œillet
Et à la boutonnière je serais porté
Même si pour certains je suis signe de deuil
Je vous rendrai la joie, oui, d’un simple clin d’œil.

Si j’étais une ville, je serais Montluçon
Au milieu de la France, sans chichis ni façons,
Je suis un peu perdu, bien à l’écart des routes
Mais je vous conviendrai, ça ne fait aucun doute.

Et si j’étais un arbre, je ne serais qu’un hêtre
Poussant dans la forêt sans vis-à-vis peut-être
Des défauts j’ai bien peur de ne pas en trouver
Et c’est à l’identique pour les qualités.

A être une couleur, je serais gris souris
Pourquoi me direz-vous ? Parce que j’en ai envie
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas
Et je ne voulais pas paraître magenta.

Pour finir, la montagne, je serais le Jura
Au nord-est de la France, un lieu où il fait froid
Ma petite altitude attire les fondeurs
Et de tout randonneur je ferai le bonheur.

Voilà. Un petit texte tout frais d'aujourd'hui. Waaah, 2 posts en 3 jours, je redeviens prolifique.

La suite bientôt.

mercredi, avril 18, 2007

De retour. Mais pour combien de temps?

Mes lecteurs, s'ils existent encore, auront remarqué que ce blog était carrément à l'abandon. Et, hélas, je ne pense pas que la tendance actuelle soit vers une amélioration. Quelques problèmes personnels ne me donnent pas la fibre rédactrice et je ne trouve pas ce que je veux pour l'alimenter en vidéos.
S'il reste quelqu'un pour lire ce message, ne désespère pas gentil lecteur. Ca devrait passer.
A bientôt. Peut-être

mercredi, mars 07, 2007

Thievery corporation - Shadows of ourselves

Toujours sur les conseils de Yoyo, voilà un morceau que je trouve vraiment très sympa. Encore merci pour la découverte

A bas bill

Tout d'abord, un grand bonjour à tout ceux qui, comme moi, utilisent ce merveilleux et si difficile à éviter système d'exploitation qu'est Windows XP.
Ce matin, mon centre d'alerte m'annonce que j'ai de nouvelles mises à jour à télécharger et à installer. Jusque là, tout allait bien. Sauf que, une fois tout bien fait, Krosoft m'annonce qu'il ne sait pas si ma version de XP est légale ou pas. Faudrait savoir. C'est bon ou ça ne l'est pas. Mais bon. Je bidouille, reboote mon PC une dizaine de fois et, finalement, miracle! Je suis devenu un honnête utilisateur. Pas trop tôt. Notons quand même que pour tout faire, il a fallu que je désactive mon firewall. Ils ont peur que leurs mises à jour soient considérées comme des spywares ou quoi? Et quand je pense que Vista, hormis le fait qu'il est hors de prix et gourmand comme pas possible en ressources si on veut avoir toutes les belles options qu'ils montrent à la TV est truffé de mouchards, ce n'est pas demain la veille que je vais y passer. Je pense plutôt rejoindre la communauté linux. C'est un peu plus compliqué à utiliser mais au moins ça marche bien et personne ne vient te gonfler pour te dire que tu es un méchant utilisateur.
Voilà, c'était mon billet d'humeur du jour. Si un gentil lecteur a des idées là dessus, qu'il se manifeste. C'est toujours bon d'en parler.
A bientôt

mardi, mars 06, 2007

biographie

Je viens de trouver ce petit jeu intéressant chez Sixtine. Le principe en est le suivant : il faut faire sa biographie mais uniquement les années en 2 et en 7. Commençons donc.

Tout débute donc en 1972. Avant, c'était un peu trop tôt, vu que suis né en 1968. Mais passons. En 1972 donc, ce fut mon premier déménagement. Jusqu'à présent, j'avais vécu en appartement en ville. Et là, toute la petite famille partait pour une ravissante villa à la campagne avec pépé et mémé dans les bagages. Je me rappelle bien que, alors que l'escalier qui menait à l'étage n'était pas terminé (pas encore les marches), je m'amusais à monter et descendre le plan incliné. En plus, il y avait un grand terrain avec un bosquet. Très excitant pour un gamin de 4 ans. Bon souvenir donc. Et puis la rentrée en section moyens de la maternelle, moins bon. En effet, je ne mangeais de rien à l'époque et j'étais obligé de prendre mes repas de midi à la cantine. Beurk la nourriture de collectivité avec plein de légumes que je n'aimais pas. Mais sinon, pas de problème majeur.

Passons à 1977. Je suis en CM1. Mon instit pète un câble. Nous avons un remplaçant con comme un balai qui avait la fâcheuse manie de tirer les oreilles pour un oui ou un non. Mais je me suis vengé de lui lors d'un stage de ski quelques années plus tard. La vengeance est un plat qui se mange froid. Mais je m'égare. ceci mis à part, l'année se passe plutôt bien avec les copains à la récré. En plus, j'étais super fort aux billes.

1982. J'ai 14 ans et c'est ma première mobylette. Un sentiment de liberté m'envahit vu que je peux me déplacer comme je veux. Enfin, avec l'aval des parents qui, pour l'occasion, sont plutôt tranquilles étant donné que je suis un préado relativement calme. 3 mois plus tard, premier accident, toujours avec la mobylette. Un moment de distraction fatal au véhicule mais sans séquelles physiques. Premières tentatives de flirt aussi, mais en vain, vu qu'à l'époque j'étais tout petit et pas mal enveloppé. J'en garde d'ailleurs un certain complexe corporel. Les filles, ce sera pour plus tard.

1987. Je suis en terminale. Mais je pense plutôt à courir la gueuse et à me pinter lors des boum organisées par mes copains. D'où, des résultats scolaires assez catastrophiques. C'est à ce moment que je change de look. Auparavant, fan de heavy métal, c'était jeans serrés et T-shirts horrible. Là, la fréquentation de la classe aisée du lycée me porte à arborer un look BCBG du meilleur aloi. Mais je persiste dans l'écoute de musique de sauvage dont motorhead. Arrive le bac où j'arrive par miracle au rattrapage. Que je sabote consciencieusement vu que je préfère redoubler pour avoir mieux l'année prochaine. En guise de punition, mes parents m'enrôlent de force dans une colonie de vacances où j'ai le poste mirobolant d'agent d'entretien. Passer la serpillière trois heures d'affilée sur du vieux plancher ou faire la plonge à la main pour 90 personnes, je ne souhaite ça à personne. Pour couronner le tout, je chope une varicelle carabinée qui me laisse sur le flanc pendant une semaine malgré les quantités industrielles d'aspirine que je m'envoie pour tenir le coup. Toujours célibataire sinon. Les filles, ce n'est toujours pas mon truc.

1992. Je suis raide amoureux d'une charmante personne qui malheureusement n'est pas libre et qui, bien que dotée d'un abruti complet en guise de compagnon, ne veut pas en changer. Je suis alors malheureux comme les pierres. Un peu plus tard, une conquête par défaut avec laquelle je me conduis comme le dernier des goujats. Avec le recul, j'en suis complètement désolé pour elle. Je ne recommencerai d'ailleurs pas. Toujours la même année, rencontre d'une gentille fille bretonne avec laquelle j'entretiens une relation épistolaire avant d'aller la voir dans la région de Pontivy. 14h de trajet dans une voiture dépourvue de poste, ça vous fait trouver des ressources insoupçonnées en matière de souvenirs de chansons beuglées à tue tête. Mais là, catastrophe. Elle me jette le lendemain, prétextant que je ne l'avais vue que pour coucher avec elle. C'est évident. Tout le monde se tape 14h de trajet juste pour tirer un coup. c'est bien connu. Puis, c'est le départ au service militaire. Comme quoi, 1992 n'était pas vraiment une bonne année.

Nous voilà en 1997. Je fais la rencontre d'une jeune femme lors du mariage d'amis. Coup de foudre. Ca durera 2 ans et se terminera en drame, cette personne ayant montré des signes de déséquilibre en matière de jalousie. C'est à ce moment que j'envisage de rentrer dans l'éduc nat. Mais sans réelle préparation, j'échoue lamentablement. Ce sera pour plus tard.

La fin approche. Nous sommes déjà en 2002. Je suis professeur des écoles stagiaire à l'IUFM d'Avignon. En fait, je n'ai jamais vraiment bougé de la région. Les gens sont antipathiques au possible et, vu que je suis plus âgé que la plupart de mes colègues, le courant ne passe pas très bien, tous ces braves gens étant persuadés qu'ils ont la science infuse, qu'ils sont chargés d'une mission divine et que le monde entier les attend. L'année ne se finira d'ailleurs pas très bien. Mais bon, c'est du passé.

Pour finir, attaquons 2007. Je sais, c'est à peine commencé mais je suis plutôt confiant en l'avenir. Pour le moment, ça va plutôt bien, même si, pour le moment, il ne se passe pas grand chose. Je suis avec une personne très agréable depuis un peu plus de trois ans et j'espère que ça va continuer. Croisons donc les doigts pour la suite.

Là, je me suis vraiment arraché. Je crois que c'est mon plus long post J'essaierai à l'avenir d'être plus assidu.

A bientôt.

lundi, mars 05, 2007

Cantaloop{US3}

Sur les conseils de Yoyo, cette vidéo. Ca fait partie aussi de ce que j'écoute en boucle actuellement. Régalez vous.

samedi, mars 03, 2007

So FLute

En ce moment, je suis dans ma période acid jazz. Et donc, je me remets à écouter de bons vieux disques de Saint Germain, corduroy et consorts. Voilà, j'espère que ça vous plaira. A bientôt peut-être