Ca y est, et je le craignais, la canicule a fini par arriver. Aujourd'hui, pas moins de 37°C cet aprème. C'est pas humain. Alors, oui, il y a ceux et celles qui n'ont pas vu le soleil de tout l'été et qui vont être contents, notamment Ashley qui a trouvé le bon moment pour prendre ses congés. Ceux du nord de la France. Et eux, je les comprends. Mais ici, c'est un peu excessif. J'ai trop peur d'un été indien irrespirable avec un foutu mois de septembre à se taper du 40°C à l'ombre tous les jours. Quand je pense qu'il y en a qui vont pouvoir amortir leur toute nouvelle climatisation de leur nouvel appart, ça me fait trop envie... Je vais aller squatter là bas je crois. Je pourrai toujours échanger clim contre connexion internet. Bien que ça ne risque pas de durer cette histoire. Fri va bien finir par l'envoyer cette foutue boîte. je le lui souhaite.
Trop chaud pour continuer. Je vous laisse. A bientôt.
dimanche, août 26, 2007
samedi, août 25, 2007
Anniversary night
Avec un peu de retard certes, je m'en vais vous relater la fameuse soirée pour laquelle je flippais tant, je pense que vous vous en êtes rendus compte.
Tout d'abord, vu que j'étais prêt une heure à l'avance, par conséquence directe j'étais une demi-heure en avance au rendez-vous. Et là, pas question de poireauter au resto. Ca ne se fait pas. J'ai donc tourné comme une âme en peine dans les rues de notre bonne ville à l'heure ou les magasins fermaient. Chemin faisant, je me disais que, si elle ne m'avait pas appelé, c'était que son cadeau n'était pas arrivé, chose qui m'attristais plutôt pas mal. Arriva l'heure fatidique. Je me pointais au resto, charmant lieu au demeurant avec une déco très sympa. Ben oui, jusqu'à présent, je n'en connaissais que l'extérieur. Et Monica n'était pas arrivée. Je m'installai donc à notre table afin de patienter plus confortablement tout en jouant avec mon perdable au cas où elle aurait appelé pour cause d'incapacité à venir. Ce ne fut pas le cas et je la vis bientôt arriver. Et, oh surprise, elle arborait à son cou un magnifique pendentif que vous avez tous déjà vu et qui, ma foi, lui allait à merveille. Quelques effusions, raisonnables quand même, nous étions en public, et nous voilà à table. Monica commanda le cocktail maison (de la balle paraît-il), à base de vin blanc, de rose et de litchi. On peut tout se permettre pour son anniversaire, pas vrai? Quant à moi, je me contentai d'un jus de mangue. Fallait bien que quelqu'un conduise pour rentrer. Puis arrivèrent les plats. Un pur délice que nous dégustames les yeux dans les yeux. Enfin, pas tout le temps quand même mais assez lontemps. Et en échangeant, entre deux bouchées, quelques mots tendres. Tout se oassait absolument sans accroc. Encore merci à Sixtine pour ses bons tuyaux. Tout n'était que luxe, calme et volupté dans cet endroit (déco, je me répète, petite musique d'ambiance et éclairages tamisés) et nous passions vraiment un très agréable repas. Hélas, il fallut bien finir et regagner les pénates de Monica. Nous partimes donc à regret de ce lieu enchanteur pour retrouver Dame Touingo et renter retrouver chat et canapé d'angle. La suite? Elle reste du domaine du privé.
Au final, donc, j'ai encore une fois flippé pour rien. Comme d'habitude.
Tout d'abord, vu que j'étais prêt une heure à l'avance, par conséquence directe j'étais une demi-heure en avance au rendez-vous. Et là, pas question de poireauter au resto. Ca ne se fait pas. J'ai donc tourné comme une âme en peine dans les rues de notre bonne ville à l'heure ou les magasins fermaient. Chemin faisant, je me disais que, si elle ne m'avait pas appelé, c'était que son cadeau n'était pas arrivé, chose qui m'attristais plutôt pas mal. Arriva l'heure fatidique. Je me pointais au resto, charmant lieu au demeurant avec une déco très sympa. Ben oui, jusqu'à présent, je n'en connaissais que l'extérieur. Et Monica n'était pas arrivée. Je m'installai donc à notre table afin de patienter plus confortablement tout en jouant avec mon perdable au cas où elle aurait appelé pour cause d'incapacité à venir. Ce ne fut pas le cas et je la vis bientôt arriver. Et, oh surprise, elle arborait à son cou un magnifique pendentif que vous avez tous déjà vu et qui, ma foi, lui allait à merveille. Quelques effusions, raisonnables quand même, nous étions en public, et nous voilà à table. Monica commanda le cocktail maison (de la balle paraît-il), à base de vin blanc, de rose et de litchi. On peut tout se permettre pour son anniversaire, pas vrai? Quant à moi, je me contentai d'un jus de mangue. Fallait bien que quelqu'un conduise pour rentrer. Puis arrivèrent les plats. Un pur délice que nous dégustames les yeux dans les yeux. Enfin, pas tout le temps quand même mais assez lontemps. Et en échangeant, entre deux bouchées, quelques mots tendres. Tout se oassait absolument sans accroc. Encore merci à Sixtine pour ses bons tuyaux. Tout n'était que luxe, calme et volupté dans cet endroit (déco, je me répète, petite musique d'ambiance et éclairages tamisés) et nous passions vraiment un très agréable repas. Hélas, il fallut bien finir et regagner les pénates de Monica. Nous partimes donc à regret de ce lieu enchanteur pour retrouver Dame Touingo et renter retrouver chat et canapé d'angle. La suite? Elle reste du domaine du privé.
Au final, donc, j'ai encore une fois flippé pour rien. Comme d'habitude.
mercredi, août 22, 2007
H-1
Rendez-vous dans une heure environ. Là, je suis déjà prêt, rasé, douché, hydraté, etc, etc... Enfin toute la panoplie des produits de beauté qui le font bien. Je suis aussi sapé trop classe, entre les conseils de F.Riad et ceux de Sixtine. Mais je flippe comme un damné. Il y en a que c'est le métro ou le feu, moi, c'est les rencarts. Depuis toujours. J'ai l'angoisse que ça se passe mal, même si Monica et moi sommes ensemble depuis un moment et que je la connais bien. Pensez à nous, les gens.
Je vous raconterai. Avec photos. Si j'y pense et que Monica est d'accord.
Je vous raconterai. Avec photos. Si j'y pense et que Monica est d'accord.
mardi, août 21, 2007
Birthday day
Ca y est, c'est aujourd'hui que Monica passe une année de plus. Pour arriver à combien? Ca ne se fait pas de demander les gens.
Tout ça pour dire que dès ce matin lever tôt, envoi du petit SMS qui le fait bien, et zou, dans la salle de bain. Pas de rasage pour commencer pour cause de manque de gel à raser (résolu dans la matinée même, mais je suis toujours hirsute, vous comprendrez plus tard), mais un petit coup de tondeuse sur le crâne pour commencer. Faut faire propre quand même. Puis, sur le bouc. Mêmes raisons. Ensuite, longue douche avec le gel qui sent trop bon et qui hydrate la peau en plus. Faut ce qu'il faut. Là, appel de Monica: pas disponible pour ce soir pour cause de fêtage d'anniversaire en famille. Festivités privées remises donc à demain soir. Là, je garde toujours mon poil de face mais ne néglige pas pour autant le reste en mettant une petite crème, histoire de bien préparer la peau pour le grand jour. Va falloir que je pense à renouveler le stock, mes réserves arrivant à un niveau inquiétant.
Après, départ chez Sixtine pour qui le ciel commence à s'éclaircir au niveau de la connexion, laquelle n'a jamais été aussi proche. Manque juste la nouvelle Fribosque qui devrait arriver sous peu. Puis courses pour le bon miam et aussi être tout beau avec donc achat du fameux gel à raser peaux sensibles et hydratant avec plein de principes actifs et tout et tout. Pas de cosmétiques supplémentaires. Malgré la disette qui me guette, je préfère aller chez Yvan le Caillou pour ça.
Retour à la maison, rangeage des courses et petite séance de manucure. Je commençais à avoir la papatte griffue et ça ne se fait pas. Usage donc du ciseau et de la lime pour faire mieux. Là, je ne suis pas loin d'être au top. Enfin, lecture de bons conseils en ce qui concerne le look. Désolé F.Riad mais je sacrifie la poil comme le conseille quant à elle Ashley. Par contre, le coup de la chemise top classe option noire, ça je retiens.
Les pièces du puzzle sont quasiment finies d'être emboîtées. Ca va ressembler à quelque chose ce demain. Merci les gens pour tout votre soutien.
Tout ça pour dire que dès ce matin lever tôt, envoi du petit SMS qui le fait bien, et zou, dans la salle de bain. Pas de rasage pour commencer pour cause de manque de gel à raser (résolu dans la matinée même, mais je suis toujours hirsute, vous comprendrez plus tard), mais un petit coup de tondeuse sur le crâne pour commencer. Faut faire propre quand même. Puis, sur le bouc. Mêmes raisons. Ensuite, longue douche avec le gel qui sent trop bon et qui hydrate la peau en plus. Faut ce qu'il faut. Là, appel de Monica: pas disponible pour ce soir pour cause de fêtage d'anniversaire en famille. Festivités privées remises donc à demain soir. Là, je garde toujours mon poil de face mais ne néglige pas pour autant le reste en mettant une petite crème, histoire de bien préparer la peau pour le grand jour. Va falloir que je pense à renouveler le stock, mes réserves arrivant à un niveau inquiétant.
Après, départ chez Sixtine pour qui le ciel commence à s'éclaircir au niveau de la connexion, laquelle n'a jamais été aussi proche. Manque juste la nouvelle Fribosque qui devrait arriver sous peu. Puis courses pour le bon miam et aussi être tout beau avec donc achat du fameux gel à raser peaux sensibles et hydratant avec plein de principes actifs et tout et tout. Pas de cosmétiques supplémentaires. Malgré la disette qui me guette, je préfère aller chez Yvan le Caillou pour ça.
Retour à la maison, rangeage des courses et petite séance de manucure. Je commençais à avoir la papatte griffue et ça ne se fait pas. Usage donc du ciseau et de la lime pour faire mieux. Là, je ne suis pas loin d'être au top. Enfin, lecture de bons conseils en ce qui concerne le look. Désolé F.Riad mais je sacrifie la poil comme le conseille quant à elle Ashley. Par contre, le coup de la chemise top classe option noire, ça je retiens.
Les pièces du puzzle sont quasiment finies d'être emboîtées. Ca va ressembler à quelque chose ce demain. Merci les gens pour tout votre soutien.
lundi, août 20, 2007
Pas grand chose...
Bon, ben aujourd'hui, c'est un post de feignasse. J'ai juste acheté le cadeau pour Monica en croisant les doigts pour que ça arrive le plus vite possible. J'en ai aussi profité pour me faire à moi aussi un cadeau en la forme d'une petite bague en acier bien sympathique, marque de mon attachement indéfectible à ma Chérie, etc, etc.. Là voilà.
C'est la version aspect acier. Pfiouuu, je viens de me rendre compte que je faisais de la pub à la vendeuse. Je vais lui demander une petite réduction.
Sinon, les préparatifs pour demain sont en route. Finalement, je préfère l'option resto à une suggestion qu'on m'a faite. Lisez les commentaires du post précédent. Trop dur pour moi avec mes deux mains gauches et surtout trop aléatoire compte tenu du fait que je ne sais pas à quelle heure je pourrai passer chez elle. Mais c'était fort bien joué ma foi. A réfléchir pour une prochaine occasion. Merci F.Riad. Et merci à tous les autres pour leurs conseils. Notamment les derniers en date d'Ashley.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Demain, c'est le grand jour. Croisons les doigts pour que tout se passe pour le mieux. Et surtout,penser à me raser, histoire de ne pas arriver trop velu, ça ne le ferait pas.
Sinon, les préparatifs pour demain sont en route. Finalement, je préfère l'option resto à une suggestion qu'on m'a faite. Lisez les commentaires du post précédent. Trop dur pour moi avec mes deux mains gauches et surtout trop aléatoire compte tenu du fait que je ne sais pas à quelle heure je pourrai passer chez elle. Mais c'était fort bien joué ma foi. A réfléchir pour une prochaine occasion. Merci F.Riad. Et merci à tous les autres pour leurs conseils. Notamment les derniers en date d'Ashley.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Demain, c'est le grand jour. Croisons les doigts pour que tout se passe pour le mieux. Et surtout,penser à me raser, histoire de ne pas arriver trop velu, ça ne le ferait pas.
dimanche, août 19, 2007
Dimanche...
Pas grand chose à raconter en fait depuis mes dernières aventures déménagesques. Si, en fait, je m'active en vue de l'anniversaire prochain de Monica. Après-demain pour être plus précis. Donc, déployage de trésors d'imagination pour:
1/ trouver un cadal qui le fasse bien. Après avoir fait des boutiques hier, j'explore les sites marchands aujourd'hui à la recherche de ce qui pourrait bien lui faire plaisir. Bijoux? parfums? cosmétiques? Fringues? Je me perds un peu. Pas de cadeau Moulinex par contre. Ca, j'y suis farouchement opposé. Il faut du joli. Pour le moment, je penche un peu pour ça.
Trouvé sur Ibé. Vous en pensez quoi? Moi, j'aime bien. Mais ça n'arrivera pas le jour même quoi que je puisse faire. Faudra toujours le petit quelque chose pour le jour même. Pas de fleurs, Zéphyr les bouffe. Et puis, il faut que ce soit une surprise. Aidez moi les gens.
2/trouver un bel endroit pour aller manger. Ben oui, un jour pareil, on ne reste pas à la maison. Ou alors juste pour le petit grignotis apéritif. Faut sortir, non? Les endroits ne manquent pas mais il faut choisir en fonction des goûts de la belle en matière de décor, ambiance, nature de la nourriture, etc... J'ai une idée en tête, soufflée par Sixtine qui y a emmené Mr Darcy et qui présente le triple avantage d'être abordable, original et pas trop loin. A voir et surtout ne pas oublier de réserver. On ne sait jamais.
3/trouver comment m'habiller pour l'occasion. Vu que, contrairement à certaines, ici il ne fera pas un froid polaire mais plutôt chaud (regardez bien, là où il reste du soleil sur les cartes météo et où il règne encore des températures bien estivales, c'est là), il va falloir mettre du pantalon à manches longues, de la chaussure fermée (oui, de ce côté là, plus de problèmes que pour vous les filles) et, éventuellement de la vraie chemise. Je n'ose pas la chemisette à fleurs que j'aime tant pourtant.
Voilà où j'en suis alors que l'heure tourne, à me ronger les sangs pour que tout soit une réussite.
Vous pensez à moi?
1/ trouver un cadal qui le fasse bien. Après avoir fait des boutiques hier, j'explore les sites marchands aujourd'hui à la recherche de ce qui pourrait bien lui faire plaisir. Bijoux? parfums? cosmétiques? Fringues? Je me perds un peu. Pas de cadeau Moulinex par contre. Ca, j'y suis farouchement opposé. Il faut du joli. Pour le moment, je penche un peu pour ça.
2/trouver un bel endroit pour aller manger. Ben oui, un jour pareil, on ne reste pas à la maison. Ou alors juste pour le petit grignotis apéritif. Faut sortir, non? Les endroits ne manquent pas mais il faut choisir en fonction des goûts de la belle en matière de décor, ambiance, nature de la nourriture, etc... J'ai une idée en tête, soufflée par Sixtine qui y a emmené Mr Darcy et qui présente le triple avantage d'être abordable, original et pas trop loin. A voir et surtout ne pas oublier de réserver. On ne sait jamais.
3/trouver comment m'habiller pour l'occasion. Vu que, contrairement à certaines, ici il ne fera pas un froid polaire mais plutôt chaud (regardez bien, là où il reste du soleil sur les cartes météo et où il règne encore des températures bien estivales, c'est là), il va falloir mettre du pantalon à manches longues, de la chaussure fermée (oui, de ce côté là, plus de problèmes que pour vous les filles) et, éventuellement de la vraie chemise. Je n'ose pas la chemisette à fleurs que j'aime tant pourtant.
Voilà où j'en suis alors que l'heure tourne, à me ronger les sangs pour que tout soit une réussite.
Vous pensez à moi?
vendredi, août 17, 2007
Déménagement, suite et fin (j'espère)
Aujourd'hui, dernier déménagement de la saison. Ouf!!! Comme certains le disaient, je commençais à me demander si je n'allais pas me reconvertir là dedans. Là, c'était le tour de Mémé qui va vivre avec Mamère et Joli-Papa pour cause de grand âge. Lever tôt ce matin pour cause de grandes distances à parcourir en plus pour moi en train. Ben oui. Pas de voiture pour le moment et ma loueuse de Touingo préférée Sixtine est en train de s'en servir pour cause de Mr Darcy. Mais là, je m'égare. Retournons donc à nos moutons. Arrivé à destination (1/4h de marche depuis la gare, histoire de se mettre en train), et cherchage du camion pour 9h. Après, chargement pour le prelmier voyage avec tout plein de beaux meubles en bois massif très lourds avec, pour les caler, quelques cartons de bouquins. Ca, j'en avais un peu l'habitude depuis ces derniers temps. 1/2h de trajet (là, c'est beaucoup plus long qu'avant), et déchargeage. Et là, tout rentrait plutôt au chausse-pied pour cause de meubles déjà présents. En fait, aujourd'hui, ce n'était pas un vrai déménagement mais plutôt une tentative de faire rentrer un appartement dans une villa déjà garnie. Un peu galère quoi. mais bon, il y avait du monde et tout s'est passé dans la bonne humeur. Retour à la case départ, rechargeage et départ pour une bonne bouffe. Fait bien se faire plaisir de temps en temps. Après-midi plutôt tranquille avec un dernier voyage en direction de la déchèterie, vu qu'il y avait un peu de bourdel dont il fallait se débarrasser. Puis, bisous à tout le monde et rentrage à la maison via la superette du coin. Faut bien que je me remette du glucose dans la machine ce soir, non?
Maintenant, c'est fini. A moins que Frangin et Jolie-Soeur ne décident que, maintenant qu'ils sont trois, leur maison est devenue trop petite et qu'ils ne veuillent en changer. Croisons les doigts, je dis.
Maintenant, c'est fini. A moins que Frangin et Jolie-Soeur ne décident que, maintenant qu'ils sont trois, leur maison est devenue trop petite et qu'ils ne veuillent en changer. Croisons les doigts, je dis.
jeudi, août 16, 2007
Back home
Bon ben voilà, je suis de retour. Malheureusement, vous n'aurez pas de photos pour vous repaître de mes vacances pour cause d'APN mystérieusement disparu juste avant le départ (qui a dit que c'était la zone chez moi?). Alors, ça va être tout verbal.
Donc, départ vendredi après-midi en compagnie de Monica (j'espère que vous avez suivi pour savoir qui c'est, je ne reviendrai pas dessus) dans sa Touingo équipée de clim est radio CD. Trop la classe, non? Vous verrez que ces détails prendront beaucoup d'importance par la suite. Au début, du monde sur l'autopista mais pas trop. Bombance nous disions-nous. Il n'y aura personne à la playa. Et puis, arrivés à Montpellier, patatras, le bouchon. Remarquez que pour le week-end précédant le 15 août, il fallait peut-être s'y attendre. Bon. Prenant notre mal en patience grâce aux accessoires sus cités, nous avancions tant bien que mal, ce qui nous a permis de constater que même les gros bourges aux puissantes berlines allemandes étaient logés à la même enseigne, voire pire. Petit plaisir (mais bon, on fait ce qu'on peut dans de tels cas) de voir que ces véhicules, habitués à la voie de gauche, ne résistaient pas à la puissance de la Touingo et se retrouvaient dans nos rétroviseurs. Une demi-heure plus tard, sortie du bouchon et là à nous la liberté. Encore une heure et demie de trajet et nous voilà arrivés. Juste le temps de déposer nos affaires et nous voici partis en direction de la grande surface la plus proche en vue de faire quelques provisions car nous étions passablement affamés. Ceci fait, et nos estomacs calés, nous pûmes parfaire notre installation. Manquait tout de même un canapé d'angle mais il y avait quand même de quoi se vautrer moyennant quelques contorsions. Un brin de télé, quelques pages d'un bon bouquin et dodo.
Le lendemain, lever tôt (environ 10h30), petit dèj rapide, équipement minimum et vamos à la playa. Après avoir un peu ramé pour nous garer, nous voilà sur les lieux. Etablissement du camp de base et plouf dans l'eau. Il n'y a pas à dire, 30°C c'est tout de suite plus facile à supporter quand on a de quoi s'immerger de temps en temps. Une fois vautrés sur les serviettes, Monica ne fut pas longue à me faire remarquer un drôle de manège à proximité. La plupart des représentants mâles des lieux marquaient un arrêt notable en passant devant un parasol richement équipé de toute sorte de matériel de confort. Bizarre nous disions nous. Jusqu'à ce que nous contations que sous le parasol il y avait une jeune femme totalement dépourvue de maillot de bain et donc vêtue en tout et pour tout de son bronzage ce que me fit remarquer Monica qui, pour l'occasion, était nettement mieux placée que moi pour tout voir. Pourtant, nous n'étions pas sur une plage poiliste. Menfin, les gens font un peu ce qu'ils veulent et, visiblement, ça ne déclenchait pas de tollé genre jetage de cailloux. Laissez la vivre donc.
Le lendemain, temps pourri avec de la pluie. Donc, restage à la maison, télé et bouquinage. Pas mieux.
Dimanche, retour du beau temps et donc, retour de nous à la plage. Rien de notable cette fois ci si on fait abstraction des habituels nichons à l'air. Un peu de vent nous fit assister au ballet des véliplanchistes et autres kite surfers. Très joli. Et, cette année, nous n'avons pas échappé de justesse à l'assomage par une voile mal guidée.
Lundi, virée en Espagne. Pour commencer, une vingtaine de kilomètres de bouchons pour arriver à la frontière où les gens font provisions pour les périodes de disette en clopes et autres alcools qu'ils achètent en masse. D'où, changement d'itinéraire, plus long en distance mais oh combien plus agréable en longeant la côte, musardant jusqu'à trouver la plage idéale. Un peu de rissolage, quelques victuailles avalées et nous voilà rendus au Marie Ono (sans doute la soeur de l'autre) géant du coin pour que Monica puisse faire ses provisions de cosmétiques à vil prix. Frontière toujours bouchées (les bouchonnant du matin retournant sur leurs pas une fois leurs coffres pleins), retour par le même itinéraire avec tentative d'arrêt à Collioure. En vain, la place de parking étant aussi rare que convoitée. Tant pis, nous irons en décembre.
Mardi, toujours beau temps et toujours plage. La tramontane commençant à se lever, nous avons pu assister aux tentatives désespérées d'un véliplanchiste de retourner à son point de départ, chaque essai l'en éloignant inexorablement. Gageons qu'il a dû marcher un bon bout de temps pour regagner sa serviette.
Mercredi et donc hier, dernier jour de plage. Nous en avons donc grandement profité malgré, pour moi, une pénurie de bouquin. Ben oui, c'est dur de ne faire que du rissolage entrecoupé de trempette. Une fois ces activités oh combien saines accomplies, refaisage de sacs, un brin de ménage et nous voilà repartis. Cette fois, personne sur l'autopista. Pas même des camions. Juste une bande d'originaux en voiture bleu marine en train d'observer le trafic à l'aide de drôles de jumelles. Bizarres ces gens là.
Et nous voilà de retour. Monica a repris le boulot ce matin. Quant à moi, j'ai repris mes recherches avec acte de candidature pas plus tard que ce matin. On verra bien ce que ça donnera. Rebonjour le quotidien.
Donc, départ vendredi après-midi en compagnie de Monica (j'espère que vous avez suivi pour savoir qui c'est, je ne reviendrai pas dessus) dans sa Touingo équipée de clim est radio CD. Trop la classe, non? Vous verrez que ces détails prendront beaucoup d'importance par la suite. Au début, du monde sur l'autopista mais pas trop. Bombance nous disions-nous. Il n'y aura personne à la playa. Et puis, arrivés à Montpellier, patatras, le bouchon. Remarquez que pour le week-end précédant le 15 août, il fallait peut-être s'y attendre. Bon. Prenant notre mal en patience grâce aux accessoires sus cités, nous avancions tant bien que mal, ce qui nous a permis de constater que même les gros bourges aux puissantes berlines allemandes étaient logés à la même enseigne, voire pire. Petit plaisir (mais bon, on fait ce qu'on peut dans de tels cas) de voir que ces véhicules, habitués à la voie de gauche, ne résistaient pas à la puissance de la Touingo et se retrouvaient dans nos rétroviseurs. Une demi-heure plus tard, sortie du bouchon et là à nous la liberté. Encore une heure et demie de trajet et nous voilà arrivés. Juste le temps de déposer nos affaires et nous voici partis en direction de la grande surface la plus proche en vue de faire quelques provisions car nous étions passablement affamés. Ceci fait, et nos estomacs calés, nous pûmes parfaire notre installation. Manquait tout de même un canapé d'angle mais il y avait quand même de quoi se vautrer moyennant quelques contorsions. Un brin de télé, quelques pages d'un bon bouquin et dodo.
Le lendemain, lever tôt (environ 10h30), petit dèj rapide, équipement minimum et vamos à la playa. Après avoir un peu ramé pour nous garer, nous voilà sur les lieux. Etablissement du camp de base et plouf dans l'eau. Il n'y a pas à dire, 30°C c'est tout de suite plus facile à supporter quand on a de quoi s'immerger de temps en temps. Une fois vautrés sur les serviettes, Monica ne fut pas longue à me faire remarquer un drôle de manège à proximité. La plupart des représentants mâles des lieux marquaient un arrêt notable en passant devant un parasol richement équipé de toute sorte de matériel de confort. Bizarre nous disions nous. Jusqu'à ce que nous contations que sous le parasol il y avait une jeune femme totalement dépourvue de maillot de bain et donc vêtue en tout et pour tout de son bronzage ce que me fit remarquer Monica qui, pour l'occasion, était nettement mieux placée que moi pour tout voir. Pourtant, nous n'étions pas sur une plage poiliste. Menfin, les gens font un peu ce qu'ils veulent et, visiblement, ça ne déclenchait pas de tollé genre jetage de cailloux. Laissez la vivre donc.
Le lendemain, temps pourri avec de la pluie. Donc, restage à la maison, télé et bouquinage. Pas mieux.
Dimanche, retour du beau temps et donc, retour de nous à la plage. Rien de notable cette fois ci si on fait abstraction des habituels nichons à l'air. Un peu de vent nous fit assister au ballet des véliplanchistes et autres kite surfers. Très joli. Et, cette année, nous n'avons pas échappé de justesse à l'assomage par une voile mal guidée.
Lundi, virée en Espagne. Pour commencer, une vingtaine de kilomètres de bouchons pour arriver à la frontière où les gens font provisions pour les périodes de disette en clopes et autres alcools qu'ils achètent en masse. D'où, changement d'itinéraire, plus long en distance mais oh combien plus agréable en longeant la côte, musardant jusqu'à trouver la plage idéale. Un peu de rissolage, quelques victuailles avalées et nous voilà rendus au Marie Ono (sans doute la soeur de l'autre) géant du coin pour que Monica puisse faire ses provisions de cosmétiques à vil prix. Frontière toujours bouchées (les bouchonnant du matin retournant sur leurs pas une fois leurs coffres pleins), retour par le même itinéraire avec tentative d'arrêt à Collioure. En vain, la place de parking étant aussi rare que convoitée. Tant pis, nous irons en décembre.
Mardi, toujours beau temps et toujours plage. La tramontane commençant à se lever, nous avons pu assister aux tentatives désespérées d'un véliplanchiste de retourner à son point de départ, chaque essai l'en éloignant inexorablement. Gageons qu'il a dû marcher un bon bout de temps pour regagner sa serviette.
Mercredi et donc hier, dernier jour de plage. Nous en avons donc grandement profité malgré, pour moi, une pénurie de bouquin. Ben oui, c'est dur de ne faire que du rissolage entrecoupé de trempette. Une fois ces activités oh combien saines accomplies, refaisage de sacs, un brin de ménage et nous voilà repartis. Cette fois, personne sur l'autopista. Pas même des camions. Juste une bande d'originaux en voiture bleu marine en train d'observer le trafic à l'aide de drôles de jumelles. Bizarres ces gens là.
Et nous voilà de retour. Monica a repris le boulot ce matin. Quant à moi, j'ai repris mes recherches avec acte de candidature pas plus tard que ce matin. On verra bien ce que ça donnera. Rebonjour le quotidien.
vendredi, août 10, 2007
Départ imminent
Pas le temps de bloguer ce matin, je suis sur le point de partir avec Chérie (qui a décidé de se faire appeler Monica lors de mes posts : dont acte) et ne reviendrai que jeudi.
Je vous dis donc à bientôt. Prenez patience.
Je vous dis donc à bientôt. Prenez patience.
mercredi, août 08, 2007
Sous le soleil. Toujours...
Malgré ce que nous annonce la météo (et je sais qu'il y en a qui y sont sensibles), quasiment pas le moindre nuage dans notre ciel d'un bleu éclatant. Et il fait toujours chaud. Remarquez que cet après-midi, ça m'arrange plutôt. J'ai en effet rendez-vous avec Philippe, un ami de la Capitale et son amie sur une des nombreuse terrasses qui entourent mon chez moi. Ca doit les changer des frimas qu'ils ont connus depuis un mois là. Donc, et c'est de nature exceptionnelle, je suis content de ce beau temps chaud. Dès demain, je change d'avis. Encore que. Vu qu'après-demain je pars avec Chérie au bord de la mer, il y a intérêt à ce que ça continue. Pas pour moi mais pour elle. Ben oui. Je sais me contenter d'un maigre 18°C dans l'eau mais pas elle. Elle préfère de beaucoup des températures proches de 25°C pour se baigner. Et comme ce sont ses premières vraies vacances de l'année (je me répète, c'est vrai), autant qu'elle en soit contente.
Sinon, aujourd'hui, fin du déménagement de Mamère et Joli-Papa. Tout s'est passé dans le calme malgré un retard aussi long qu'inexpliqué de la nacelle monte-charges. J'en ai profité pour porter quelques affaires à eux qui ne voyagent pas dans les camions, histoire de garder la forme. Après, montage de meuble chez moi. En effet, après le rapatriement de toutes mes fringues dans le baby appart, il falait bien les mettre quelque part. Heureusementque j'avais dans la cave de Chérie un beau meuble métallique avec housse, achat Paragraphe d'il y a quelques année qui finalement a trouvé son utilité. Sauf que ce matin, une fois arrivé chez moi, je me suis rendu compte qu'il manquait une étagère. Mais comme je suis quelqu'un de décidé que l'adversité n'abat pas, je n'en ai eu cure et ai monté l'objet quand même. Et ça marchait très bien. Et là, à l'aide d'un chausse-pieds, j'ai finalement intégré le module manquant, non sans avoir perdu la fameuse clé allen, compagne indispensable de ce genre de meuble, sous le lit, ce qui m'a amené à jurer quelque peu. Ben oui, ce genre de trucs n'emploie pas moins de 24 vis pour tenir en place correctement. Maintenant, tout est pour le mieux, rangé et en ordre. Pas mécontent moi.
Je vous laisse là, j'ai un pot à boire. A bientôt.
Sinon, aujourd'hui, fin du déménagement de Mamère et Joli-Papa. Tout s'est passé dans le calme malgré un retard aussi long qu'inexpliqué de la nacelle monte-charges. J'en ai profité pour porter quelques affaires à eux qui ne voyagent pas dans les camions, histoire de garder la forme. Après, montage de meuble chez moi. En effet, après le rapatriement de toutes mes fringues dans le baby appart, il falait bien les mettre quelque part. Heureusementque j'avais dans la cave de Chérie un beau meuble métallique avec housse, achat Paragraphe d'il y a quelques année qui finalement a trouvé son utilité. Sauf que ce matin, une fois arrivé chez moi, je me suis rendu compte qu'il manquait une étagère. Mais comme je suis quelqu'un de décidé que l'adversité n'abat pas, je n'en ai eu cure et ai monté l'objet quand même. Et ça marchait très bien. Et là, à l'aide d'un chausse-pieds, j'ai finalement intégré le module manquant, non sans avoir perdu la fameuse clé allen, compagne indispensable de ce genre de meuble, sous le lit, ce qui m'a amené à jurer quelque peu. Ben oui, ce genre de trucs n'emploie pas moins de 24 vis pour tenir en place correctement. Maintenant, tout est pour le mieux, rangé et en ordre. Pas mécontent moi.
Je vous laisse là, j'ai un pot à boire. A bientôt.
mardi, août 07, 2007
Pas de boulot? Déco!
Aujourd'hui, alors qu'il règne une chaleur lourde et que le ciel plombé tarde à crever et à nous lâcher l'ondée salvatrice que nous promet Météo France depuis deux jours, ça a été un peu spécial. Déjà, lever super tôt pour cause de boulot de Chérie. J'en ai profité pour aller rendre une petite visite à Mamère et à Joli-Papa bien stressés pour leur déménagement qui ne s'annonce pas comme une sinécure. Bon, si tout va bien, ils dormiront dans leur nouveau chez eux ce soir. Croisons donc les doigts. Au milieu de tout ça (cartons en pagaille, meubles poussés un peu partout pour laisser de la place aux déménageurs), je me sentais un petit peu perdu. Je me suis donc éclipsé lors de l'arrivée des déménageurs vu que là, il n'y avait carrément plus de place pour circuler à six dans l'appartement. En plus, je devais bien garer (cela entend pas loin de chez elle et surtout gratos) la Touingo de Sixtine qu'elle avait eu l'obligeance de bien vouloir me prêter hier. Ceci fait (à 8h30 du matin au mois d'août ce n'est pas bien difficile), je suis allé la mettre en bas du lit, vu qu'il y avait du boulot. Troisième café de la matinée (je sais, j'en bois trop mais j'aime tellement ça), et hop, nous voilà partis en quête d'artifices décoratifs pour son chez elle que ça devient déjà cosy comme tout. Plein de magasins plus tard et tout était déjà trouvé. Ou presque. Retour donc, et là, galère monstre pour se garer. A midi, hélas, les gens sont levés et se sont ingéniés à garer leurs véhicules le plus mal possible, genre en occupant le maximum de place. Mais la Touingo est magique dans ces cas là. Une fois Sixtine dans ses pénates, passage chez moi, histoire de relever les messages sur mon répondeur (quels messages?). Puis je me suis préoccupé d'une histoire de boulot que j'avais repéré et qu'on devait me rappeler pour un entretien. Ben là, queud!!! Zavaient juste oublié de me dire que oui, mon CV était bon mais que eux ils cherchaient plutôt un djeunz rompu aux quêtes de WOW ou tireur d'élite impitoyable à CS (c'était dans un cyber le boulot). De guerre lasse, retour à ma maison et vas-y que je reprends mes recherches. Pas drôle en cette période. Et toujours pas de pluie. Marre!!!
P.S. Le cauchemar propriesque de Sixtine est terminé. L'état des lieux s'est résumé à :" je rends les clés, je prends le chèque et je me barre tout de suite à la banque.". Toute la caution a été rendue. Yippeeee !!! Je pense qu'elle se fendra d'un billet à ce sujet très bientôt avec l'une de ses connexions de secours.
P.S. Le cauchemar propriesque de Sixtine est terminé. L'état des lieux s'est résumé à :" je rends les clés, je prends le chèque et je me barre tout de suite à la banque.". Toute la caution a été rendue. Yippeeee !!! Je pense qu'elle se fendra d'un billet à ce sujet très bientôt avec l'une de ses connexions de secours.
lundi, août 06, 2007
Déménagement again
C'est à croire qu'ils se sont passés le mot. Demain et après-demain, c'est le tour de ma mère et de Joli-Papa de déménager. Pas le choix. Il faut bien que quelqu'un s'occupe de Mère-grand qui commence à accuser le poids des ans et ne peut plus être réellement autonome. Donc, vente de l'appart avignonais avec vue sur le Palais des Papes et achat d'une villa avec plus de chambre un peu plus au nord. Transactions réussies et donc mouvage ces deux jours qui viennnent. Mais cette fois ci, ils ont fait appel à des professionnels. Vue la configuratuion des lieux avignonnais, c'est un peu nécessaire. Mais les cartons, ils se les sont tapés tout seuls. A ma grande honte. J'étais occupé par les affres d'un autre déménagement que, je suppose, vous avez suivi. Et en fin de semaine prochaine, vidage de l'appartement de mère-grand. Et là, tout entre nous. rebelote pour le faisage de cartons et la manutention. Et tout doit être fait avant le 25 août. Proprio d'elle dixit. C'es que l'a hâte de remetter quelqu'un dedans.J'y suis allé cet aprème pour commencer un peu et vider les quelques affaires que j'y avais. Ca n'a pas été du luxe. Que de la vieillerie vestimentaire qui a fini ses jours tragiquement et des piles de bouquins sauvegardés eux. Avec tout ça, ça risque de devenir sportif l'habitation de mon baby appart. Déjà, la récupération de toutes mes fringues, hiver compris, je dois rajouter un meuble, mais avec les bouquins on atteint le maximum. Heureusement, j'ai les clés du grenier au-dessus de chez moi. Merci proprio!!! Comme quoi, il y en a des gentils et qui ne font même pas d'histoire, même pas pour changer un chauffe-eau et tout et tout.
Bon, entre les deux déménagements qui arrivent, je pars quelques jours avec Chérie. Ca lui fera des vacances vu qu'elle n'a pas pu faire quoi que ce soit cet été pour cause de soucis familiaux. La pauvre.
Bon, entre les deux déménagements qui arrivent, je pars quelques jours avec Chérie. Ca lui fera des vacances vu qu'elle n'a pas pu faire quoi que ce soit cet été pour cause de soucis familiaux. La pauvre.
dimanche, août 05, 2007
Farniente
Aujourd'hui dimanche, tout est dédié au farniente.
Hier il a fallu retourner à l'ex appart de Sixtine remettre un coup pour faire plaisir à son psychorigide de proprio. Heureusement que nouis étions quatre. Maintenant, tout est bouclé à ce sujet là et tant pis s'il râle. Puis, aprème déballage de cartons et installation de meubles divers avec tout le bougeage qui va avec. Et là, encore une déconvenue pour Sixtine. Sa jolie table basse présente un vice de fabrication. Donc, retour à Paragraphe demain pour la ramener et en avoir une normale. Pauvre Sixtine. Entre son canapé et da trable basse, elle n'est vraiment pas vernie avec Paragraphe.
Je vous laisse là, le canapé et Chérie m'attendent devant une série télé sur TMC. C'est dire le niveau du vidage de cerveau.
A bientôt.
Hier il a fallu retourner à l'ex appart de Sixtine remettre un coup pour faire plaisir à son psychorigide de proprio. Heureusement que nouis étions quatre. Maintenant, tout est bouclé à ce sujet là et tant pis s'il râle. Puis, aprème déballage de cartons et installation de meubles divers avec tout le bougeage qui va avec. Et là, encore une déconvenue pour Sixtine. Sa jolie table basse présente un vice de fabrication. Donc, retour à Paragraphe demain pour la ramener et en avoir une normale. Pauvre Sixtine. Entre son canapé et da trable basse, elle n'est vraiment pas vernie avec Paragraphe.
Je vous laisse là, le canapé et Chérie m'attendent devant une série télé sur TMC. C'est dire le niveau du vidage de cerveau.
A bientôt.
vendredi, août 03, 2007
Le jour d'après
Bon, j'ai fini par me remettre de toutes les émotions et autres efforts du déménagement de Sixtine. Je vais donc pouvoir taper sur le clavier avec mes petits doigts endoloris pour vous narrer l'histoire.
Tout a commencé donc le premier août vers 9h. Sixtine et Lulu, conducteur émérite, sont partis chercher le camion. Parce que oui, avec tout ce qu'il y avait à trimballer, il aurait fallu trop de voyages en Touingo. Et pour le camion, il fallait quelqu'un d'expérimenté vu l'étroitesse de la rue.Ensuite sont arrivés Ben, mari de collègue de Sixtine et homme fort, Soleildocobre, femme extrèmement polyvalente pour ce qu'il y avait à faire, ainsi que votre serviteur. L'équipe était donc formée. Deux filles et quatre garçons. Ben oui. Un mâle dans un déménagement c'est utile, surtout quand il y a plein de trucs lourds à transporter. Notamment un gros frigo, un lave-vaisselle, un lave-linge et tout plein d'étagères. Mais vu la qualité de l'équipe, tout fut rondement mené, transport y compris. Le fait que l'ex maison de Sixtine soit de plein pied et la nouvelle ait un ascenseur n'y fut pas étranger. L'ascenseur, parlons en. La méthode était de le remplir ras la goule, à ne plus pouvoir y rentrer et de placer une personne à l'étage désiré qui l'appelait. Là, vidage en prenant bien soin de bloquer la porte. Les voisins ont dû nous bénir. Bref, à ce rythme là, le premier voyage fut expédié en à peine deux heures tout compris. Là, l'hypoglycémie commençait à nous guetter ainsi que la déshydratation. C'est là que sont rentrées en piste les fameuses pizzas de Soleildoctobre et les tout plein de bouteille d'eau qui pique que Sixtine s'étair empressés d'acheter à l'épicerie du coin.Vraiment du coin, il n'y avait q'une vingtaine de mètres à faire. Pause roborative donc. Et arrivée de Chérie, reine du nettoyage en tout genre qui allait composer le binôme ménage avec Soleildoctobre décidément très active. Par contre, nous avons perdu Ben pour cause d'épouse en vrac. Fin de la pause et début du deuxième chargement, beaucoup moins volumineux que le premier. Et donc plus rapide. Nos gardoises de choc allaient pouvoir entrer en piste,ce qui n'était pas du luxe au vu des troupeaux de moutons déccouverts. Pour notre part, une fois le camion vidé et tout entassé dans le nouvel appartement, goto Paragraphe dans le but d'acquérir le fameux canapé d'angle tant désiré. Quelques soucis de carte bleue et un changement d'avis quant au côté de l'angle plus tard et il était accueilli dans sa nouvelle maisonnée. Et là, hic! Pas moyen de fixer correctement l'accoudoir pour cause de trous mal situés. A l'heure où je vous parle, le SAV est sur le sentier de la guerre pour y remédier. J'allais oublier la Reloue, carrément flippée au milieu de tous ces cartons. C'est là que nous l'avons laissée avec sa maman.
Hier, déballage et installation des appareils de base, c'est à dire télé et frigo. Encore une visite dans un magasin pour cause d'incompatibilité de câble. Sixtine et la Reloue sont en chambre de décompensation pour cause de stress intense. Faut les plaindre les pauvres. Mais la clim de l'appartement leur apporte un réconfort bien réel.
Je pense qu'avec Chérie nous allons y faire un saut ce week-end afin de prêter main forte pour la continuation du déballage.
C'est tout pour aujourd'hui. Prenez votre mal en patience. La suite bientôt.
P.S. 20h14 : j'ai oublié de mettre en avant le formidable travail de nos deux gardoises de choc qui ont fait des miracles lors du ménage. Même si cet abruti de proprio a trouvé quelque chose à redire. Ca a d'ailleurs été assez sportif cet après-midi. Mais je crois que Sixtine vous en a touché un mot lors d'un passage express sur le ternet tout à l'heure.
P.P.S. 20h20 : ben non, elle ne l'a pas fait. Pas eu le temps probablement. Juste pour dire que son ex-proprio est un psychorigide de première doublé d'un arnaqueur. Quand on exige le remplacement d'une amppoule lors d'un état des lieux, c'est plutôt grave je pense. Et ça, c'était le moins extravagant. Il a fallu négocier serré. Mais bon. Demain, retour là-bas et nettoyage again. Faiche.
Tout a commencé donc le premier août vers 9h. Sixtine et Lulu, conducteur émérite, sont partis chercher le camion. Parce que oui, avec tout ce qu'il y avait à trimballer, il aurait fallu trop de voyages en Touingo. Et pour le camion, il fallait quelqu'un d'expérimenté vu l'étroitesse de la rue.Ensuite sont arrivés Ben, mari de collègue de Sixtine et homme fort, Soleildocobre, femme extrèmement polyvalente pour ce qu'il y avait à faire, ainsi que votre serviteur. L'équipe était donc formée. Deux filles et quatre garçons. Ben oui. Un mâle dans un déménagement c'est utile, surtout quand il y a plein de trucs lourds à transporter. Notamment un gros frigo, un lave-vaisselle, un lave-linge et tout plein d'étagères. Mais vu la qualité de l'équipe, tout fut rondement mené, transport y compris. Le fait que l'ex maison de Sixtine soit de plein pied et la nouvelle ait un ascenseur n'y fut pas étranger. L'ascenseur, parlons en. La méthode était de le remplir ras la goule, à ne plus pouvoir y rentrer et de placer une personne à l'étage désiré qui l'appelait. Là, vidage en prenant bien soin de bloquer la porte. Les voisins ont dû nous bénir. Bref, à ce rythme là, le premier voyage fut expédié en à peine deux heures tout compris. Là, l'hypoglycémie commençait à nous guetter ainsi que la déshydratation. C'est là que sont rentrées en piste les fameuses pizzas de Soleildoctobre et les tout plein de bouteille d'eau qui pique que Sixtine s'étair empressés d'acheter à l'épicerie du coin.Vraiment du coin, il n'y avait q'une vingtaine de mètres à faire. Pause roborative donc. Et arrivée de Chérie, reine du nettoyage en tout genre qui allait composer le binôme ménage avec Soleildoctobre décidément très active. Par contre, nous avons perdu Ben pour cause d'épouse en vrac. Fin de la pause et début du deuxième chargement, beaucoup moins volumineux que le premier. Et donc plus rapide. Nos gardoises de choc allaient pouvoir entrer en piste,ce qui n'était pas du luxe au vu des troupeaux de moutons déccouverts. Pour notre part, une fois le camion vidé et tout entassé dans le nouvel appartement, goto Paragraphe dans le but d'acquérir le fameux canapé d'angle tant désiré. Quelques soucis de carte bleue et un changement d'avis quant au côté de l'angle plus tard et il était accueilli dans sa nouvelle maisonnée. Et là, hic! Pas moyen de fixer correctement l'accoudoir pour cause de trous mal situés. A l'heure où je vous parle, le SAV est sur le sentier de la guerre pour y remédier. J'allais oublier la Reloue, carrément flippée au milieu de tous ces cartons. C'est là que nous l'avons laissée avec sa maman.
Hier, déballage et installation des appareils de base, c'est à dire télé et frigo. Encore une visite dans un magasin pour cause d'incompatibilité de câble. Sixtine et la Reloue sont en chambre de décompensation pour cause de stress intense. Faut les plaindre les pauvres. Mais la clim de l'appartement leur apporte un réconfort bien réel.
Je pense qu'avec Chérie nous allons y faire un saut ce week-end afin de prêter main forte pour la continuation du déballage.
C'est tout pour aujourd'hui. Prenez votre mal en patience. La suite bientôt.
P.S. 20h14 : j'ai oublié de mettre en avant le formidable travail de nos deux gardoises de choc qui ont fait des miracles lors du ménage. Même si cet abruti de proprio a trouvé quelque chose à redire. Ca a d'ailleurs été assez sportif cet après-midi. Mais je crois que Sixtine vous en a touché un mot lors d'un passage express sur le ternet tout à l'heure.
P.P.S. 20h20 : ben non, elle ne l'a pas fait. Pas eu le temps probablement. Juste pour dire que son ex-proprio est un psychorigide de première doublé d'un arnaqueur. Quand on exige le remplacement d'une amppoule lors d'un état des lieux, c'est plutôt grave je pense. Et ça, c'était le moins extravagant. Il a fallu négocier serré. Mais bon. Demain, retour là-bas et nettoyage again. Faiche.
jeudi, août 02, 2007
D D Day
Pas de post hier pour cause de déménagement de Sixtine qui se retrouve pour le compte SCF dans ses nouveaux murs. Tout s'est passé dans une ambiance plutôt bon enfant. Soleildoctobre avait amené des pizzas faites maison fort bonnes qui furent dégustées carrément dans la rue de l'ex maison de Sixtine sous l'oeil mi-affamé, mi-inquiet de la Reloue et, malgré quelques défections de dernière minute, il y avait assez de monde pour que tout se passe pour le mieux, tous ces gens ayant mis la main à la pâte. Tout s'est passé relativement vite et il n'a pas fallu courir dans tous les sens pour rendre le camion ou bien faire une rotation à Paragraphe pour aller chercher l'objet ultime, c'est à dire le canapé d'angle auquel Sixtine a succombé. Là, elle doit réouvrir ses cartons afin de mettre tout en place. Si elle doit faire elle aussi le devoir de vacances qu'elle a proposé, elle ne retiendra pas celui-là de déménagement.
Trop mal partout maintenant. Je me remets et j'écris, promis
Trop mal partout maintenant. Je me remets et j'écris, promis
mardi, juillet 31, 2007
Devoirs de vacances
Comme demandé par Sixtine qui, la pauvre , va devoir subir les affres de la non connexion internet, je m'en vais vous narrer mon pire déménagement.
L'histoire se passe à la fin du mois de juin 2003. Je devais quitter mon super T2 pris tout neuf en plein rez de chaussée pour cause de revenus qui allaient dans un avenir proche devenir ridiculement insuffisants pour tout gérer. Comme à l'époque j'étais, disons, pas trop en forme, ledit appartement était dans un état proche du Connecticut. Pour tout dire, il était en partie devenu l'antre du bronx et de la salitude incarnés.et pour toute aide, je n'avais quasiment personne, juste quelques membres de la famille. Pardon d'avance si j'oublie quelqu'un. Et tout devait se dérouler le plus rapidement possible. Camion loué donc (pas trop gros pour cause de budget serré) et en avant!
Comme au cours des trois années où j'y avais vécu, j'avais entassé de bric et de broc un maximum de meubles de récup et autres couenneries, que le ménage avait été plutôt aléatoire et que rien n'avait été préparé à l'avance, je ne vous raconte pas la zone. Mais bon, ça se déroulait plutôt pas mal au début. Sauf que certains chargements partaient directement de l'appartement à la déchèterie pour cause de décrépitude avancée. Il fallaitt ce qu'il fallait. Arriva le morceau de bravoure : le frigo. Débranché depuis quelques jours (ne me demandez pas combien, je n'en ai aucun souvenir) et apparemment vidé, nous pensions que ce ne serait pas trop la galère. Sauf que j'avais oublié (je vous rappelle qu'à l'époque je n'étais pas au mieux de moi même) de vider le congélo. Lors de la prise de l'appareil, un jus infâme en sortit, du genre très sale et très malodorant. Une barquette de colin de l'Alaska y était restée, qui avait pris tout son temps pour se décongeler et commencer à se décomopser du fait de la chaleur qui régnait à cette époque là. Nous avons à ce moment là tous pris conscience que les effluves de poisson pourri sont vraiment atroces. Il a fallu passer carrément par le stade du bas de visage couvert et nez bouché pour éviter de dégobiller partout. Et le frigo est passé lui aussi directement de l'appartement la déchèterie tant il était irrémédiablement corrompu.
Le ménage a, lui aussi, été franchement rock'n roll mais ça sort de l'épisode déménagement.
Voilà le pire moment de mon pire déménagement. Si avec ça je ne remporte pas la palme des palmes, c'est à n'y rien comprendre.
Rassurez vous cher lectorat, depuis, tout s'est réellement amélioré pour moi et je suis devenu beaucoup plus pointilleux sur ce qui rentre et sort de mon frigo. Chérie y est pour beaucoup. Et de toute façon, je n'ai qu'un baby réfrigérateur avec juste un minuscule freezer où rien n'a encore mis le pied sauf un peu de givre. Tiens, va falloir que j'y fasse quelque chose là.
L'histoire se passe à la fin du mois de juin 2003. Je devais quitter mon super T2 pris tout neuf en plein rez de chaussée pour cause de revenus qui allaient dans un avenir proche devenir ridiculement insuffisants pour tout gérer. Comme à l'époque j'étais, disons, pas trop en forme, ledit appartement était dans un état proche du Connecticut. Pour tout dire, il était en partie devenu l'antre du bronx et de la salitude incarnés.et pour toute aide, je n'avais quasiment personne, juste quelques membres de la famille. Pardon d'avance si j'oublie quelqu'un. Et tout devait se dérouler le plus rapidement possible. Camion loué donc (pas trop gros pour cause de budget serré) et en avant!
Comme au cours des trois années où j'y avais vécu, j'avais entassé de bric et de broc un maximum de meubles de récup et autres couenneries, que le ménage avait été plutôt aléatoire et que rien n'avait été préparé à l'avance, je ne vous raconte pas la zone. Mais bon, ça se déroulait plutôt pas mal au début. Sauf que certains chargements partaient directement de l'appartement à la déchèterie pour cause de décrépitude avancée. Il fallaitt ce qu'il fallait. Arriva le morceau de bravoure : le frigo. Débranché depuis quelques jours (ne me demandez pas combien, je n'en ai aucun souvenir) et apparemment vidé, nous pensions que ce ne serait pas trop la galère. Sauf que j'avais oublié (je vous rappelle qu'à l'époque je n'étais pas au mieux de moi même) de vider le congélo. Lors de la prise de l'appareil, un jus infâme en sortit, du genre très sale et très malodorant. Une barquette de colin de l'Alaska y était restée, qui avait pris tout son temps pour se décongeler et commencer à se décomopser du fait de la chaleur qui régnait à cette époque là. Nous avons à ce moment là tous pris conscience que les effluves de poisson pourri sont vraiment atroces. Il a fallu passer carrément par le stade du bas de visage couvert et nez bouché pour éviter de dégobiller partout. Et le frigo est passé lui aussi directement de l'appartement la déchèterie tant il était irrémédiablement corrompu.
Le ménage a, lui aussi, été franchement rock'n roll mais ça sort de l'épisode déménagement.
Voilà le pire moment de mon pire déménagement. Si avec ça je ne remporte pas la palme des palmes, c'est à n'y rien comprendre.
Rassurez vous cher lectorat, depuis, tout s'est réellement amélioré pour moi et je suis devenu beaucoup plus pointilleux sur ce qui rentre et sort de mon frigo. Chérie y est pour beaucoup. Et de toute façon, je n'ai qu'un baby réfrigérateur avec juste un minuscule freezer où rien n'a encore mis le pied sauf un peu de givre. Tiens, va falloir que j'y fasse quelque chose là.
lundi, juillet 30, 2007
Rangements contagieux
Sixtine dans sa grande bonté (et sa volonté d'optimiser son déménagement) m'a donné tout plein de jolis mugs

pour boire mon café (ou d'autres boissons chaudes mais là ce n'est pas la saison) dont j'ai fait tout de suite usage. Le seul problème c'est que, la flemme aidant du genre : "il me reste des mugs, donc je ne lave pas systématiquement", c'est vite devenu un grand n'importe quoi dans mon évier. Et comme j'ai passé la semaine précédente chez Chérie et que donc je ne faisais que passer chez moi pour y déposer un peu n'importe quoi, tout a pris des proportion considérables. Bref, c'est la grande zone chez moi. Donc, quand je suis passé chez Ashley et que j'ai lu la description de son grand nettoyage-briquage de cuisine, j'ai senti poindre chez moi un grand assaut de culpabilité. Et j'ai pensé à la tête que ferait Chérie, chez qui tout est tellement rutilant et rangé, si elle décidait de me rendre une petite visite. Hypothèse assez improbable mais on ne sait jamais. Sans compter qu'au cours du mois d'août, je risque de devenir point internet pour une pauvre SCF (sans connexion fixe). Je me suis donc attaqué au grand nettoyage d'été. Voilà déjà mon bureau table à manger redevenue propre (le blanc ça se salit à la vitesse de la lumière, snif!) et débarrassée de tous le bronx qui s'y trouvait (entre autres, vieux CD inutilisables dont je me servais comme sous-verres)

et l'imprimante sans sa pile de papiers en tous genres.

Oui, je ne mets pas du papier que DANS son chargeur, j'ai l'habitude de m'en servir comme étagère à documents tous aussi divers que parfois inutiles.
Puis, attaquage en règle de la vaisselle. Pas du luxe. mais avec un peu d'huile de coude, tout est redevenu à peu près normal.
Vous ne voyez ici qu'une partie infinitésimale de tout ce qui y est passé faute de place. Il a donc fallu aussi jouer du torchon, étape de la vaisselle que je hais tout particulièrement. Mais au moins vous avez une idée des dons Sixtiniens et vous constaterez le status quo de la localisation de la cafetière, n'ayant jamais réussi à penser assez longtemps pour prendre l'initiative de descendre le meuble dont Chérie m'a fait cadeau.
Bilan : j'évolue dans un appartement propre et rangé. Et ça fait plaisir. Merci qui? Merci Ashley!!
pour boire mon café (ou d'autres boissons chaudes mais là ce n'est pas la saison) dont j'ai fait tout de suite usage. Le seul problème c'est que, la flemme aidant du genre : "il me reste des mugs, donc je ne lave pas systématiquement", c'est vite devenu un grand n'importe quoi dans mon évier. Et comme j'ai passé la semaine précédente chez Chérie et que donc je ne faisais que passer chez moi pour y déposer un peu n'importe quoi, tout a pris des proportion considérables. Bref, c'est la grande zone chez moi. Donc, quand je suis passé chez Ashley et que j'ai lu la description de son grand nettoyage-briquage de cuisine, j'ai senti poindre chez moi un grand assaut de culpabilité. Et j'ai pensé à la tête que ferait Chérie, chez qui tout est tellement rutilant et rangé, si elle décidait de me rendre une petite visite. Hypothèse assez improbable mais on ne sait jamais. Sans compter qu'au cours du mois d'août, je risque de devenir point internet pour une pauvre SCF (sans connexion fixe). Je me suis donc attaqué au grand nettoyage d'été. Voilà déjà mon bureau table à manger redevenue propre (le blanc ça se salit à la vitesse de la lumière, snif!) et débarrassée de tous le bronx qui s'y trouvait (entre autres, vieux CD inutilisables dont je me servais comme sous-verres)
et l'imprimante sans sa pile de papiers en tous genres.
Oui, je ne mets pas du papier que DANS son chargeur, j'ai l'habitude de m'en servir comme étagère à documents tous aussi divers que parfois inutiles.
Puis, attaquage en règle de la vaisselle. Pas du luxe. mais avec un peu d'huile de coude, tout est redevenu à peu près normal.
Vous ne voyez ici qu'une partie infinitésimale de tout ce qui y est passé faute de place. Il a donc fallu aussi jouer du torchon, étape de la vaisselle que je hais tout particulièrement. Mais au moins vous avez une idée des dons Sixtiniens et vous constaterez le status quo de la localisation de la cafetière, n'ayant jamais réussi à penser assez longtemps pour prendre l'initiative de descendre le meuble dont Chérie m'a fait cadeau.
Bilan : j'évolue dans un appartement propre et rangé. Et ça fait plaisir. Merci qui? Merci Ashley!!
dimanche, juillet 29, 2007
C'est la fin
C'est officiel, le festival d'Avignon a fermé ses portes hier. Juste à temps pour que Sixtine et moi allions voir enfin un spectacle. Aujourd'hui, la Ville est redevenue normale. C'est à dire déserte, vu que nous sommes dimanche, que c'est le début d'après-midi et qu'il fait super chaud. Seuls subsistent quelques affiches déjà fanées que la voirie locale enlèvera dès demain


ainsi qu'une poignée d'irréductibles touristes aux terrasses des cafés,


les locaux à cette heure faisant la sieste ou étant partis dans des contrées exotiques après avoir loué leurs appartements à des tarifs à faire frémir un gagnant de l'euromillions. Dès lundi, la ville reprendra son ronron habituel et la principale occupation de ses habitants sera la recherche des rares magasins ouverts à cette période de l'année.

Là, je viens de trouver la boulangerie de garde de mon quartier.
Ouf !!! C'est déjà ça (ça n'a pas l'air comme ça mais c'est vrai).
C'est un peu triste que ce soit déjà fini. Pour une fois, je regrette ce mois de juillet que je n'ai pas vraiment vu passer pour cause d'occupations diverses. Il a fait bon (moins de 35°C comme maintenant. Snif!) et l'ambiance du festival était bon enfant au niveau des parades et autres spectacles de rue. Du moins si l'on faisait abstraction de certains festivaliers flippés qui couraient comme des malades le nez collé à leurs programmes au mépris des règles les plus élémentaires de politesse. Et puis il y a eu cette belle rencontre de dernier moment que Sixtine relate si bien. Merci Chareloue.
Je retourne à ma torpeur estivale du moment. A bientôt cher lectorat.
ainsi qu'une poignée d'irréductibles touristes aux terrasses des cafés,
les locaux à cette heure faisant la sieste ou étant partis dans des contrées exotiques après avoir loué leurs appartements à des tarifs à faire frémir un gagnant de l'euromillions. Dès lundi, la ville reprendra son ronron habituel et la principale occupation de ses habitants sera la recherche des rares magasins ouverts à cette période de l'année.
Là, je viens de trouver la boulangerie de garde de mon quartier.
C'est un peu triste que ce soit déjà fini. Pour une fois, je regrette ce mois de juillet que je n'ai pas vraiment vu passer pour cause d'occupations diverses. Il a fait bon (moins de 35°C comme maintenant. Snif!) et l'ambiance du festival était bon enfant au niveau des parades et autres spectacles de rue. Du moins si l'on faisait abstraction de certains festivaliers flippés qui couraient comme des malades le nez collé à leurs programmes au mépris des règles les plus élémentaires de politesse. Et puis il y a eu cette belle rencontre de dernier moment que Sixtine relate si bien. Merci Chareloue.
Je retourne à ma torpeur estivale du moment. A bientôt cher lectorat.
samedi, juillet 28, 2007
Douces folies?
Vu à peu près partout sur la blogosphère, le truc où il faut avouer cinq folies douces qu'on a. Maintenant, c'est à mon tour de passer aux aveux.
1/ Je suis un maniaque du réglage en voiture. Dès que je dois conduire, je touche absolument à tout ce qui peut être réglé. Ca passe par la profondeur du siège, sa hauteur,les rétroviseurs (les trois) , le volant s'il se règle. et tout et tout. J'y passe un temps fou, vu que je ne suis jamais content tout de suite des réglages. Ca pourrait être bénin si je ne le faisais pas même quand c'est moi le dernier conducteur de la voiture. Il m'arrive de le faire aussi durant un trajet. Je m'arrête pour tout changer.
2/ Continuons dans la voiture. Je dois passer quelques tonneaux de liquide de lave-glaces par an. Je n'arrive pas à ne pas nettoyer le pare-brise au moins une fois par trajet. Sinon, ça m'angoisse. Pas de raisons particulières à ça.
3/ Comme Ashley, Big Ray et art.truk( voir les coms d'Ashley) , j'ai la manie de tout ouvrir. En toutes saisons et particulièrement quand il fait frais ou qu'il pleut. J'adore l'odeur de la pluie. Et pour reparler de la voiture (ça vous gonfle que je ne parle que de ça? Moi non) , je roule toujours fenêtre grande ouverte par tous les temps. Je ne supporte pas que ce soit fermé. La peur de ne pas pouvoir sortir en marche? Probablement...
4/ Je n'aime pas manger très chaud. Donc, quand un plat m'arrive, j'attends qu'il refroidisse au grand dam de mes convives qui finissent longtemps avant moi. Je pousse le vice jusqu'à rajouter de l'eau froide dans mes boissons chaudes pour pouvoir les boire plus rapidement sans attendre que la thermodynamique ne fasse son oeuvre.
5/ Enfin et toujours à table, je trie absolument tout. Servez moi une salade composé par exemple, et je vais tout grignoter ingrédient par ingrédient. Selon le plat, ça peut vite tourner au pensum. Pour les autres. Ca les gonfle prodigieusement les gens avec qui je mange, mais c'est plus fort que moi. Et ça rallonge d'autant le repas (cf 4/). Avis à ceux ou celles qui voudraient m'inviter au resto.
Alors, c'est grave? Dites moi siouplééééééé
1/ Je suis un maniaque du réglage en voiture. Dès que je dois conduire, je touche absolument à tout ce qui peut être réglé. Ca passe par la profondeur du siège, sa hauteur,les rétroviseurs (les trois) , le volant s'il se règle. et tout et tout. J'y passe un temps fou, vu que je ne suis jamais content tout de suite des réglages. Ca pourrait être bénin si je ne le faisais pas même quand c'est moi le dernier conducteur de la voiture. Il m'arrive de le faire aussi durant un trajet. Je m'arrête pour tout changer.
2/ Continuons dans la voiture. Je dois passer quelques tonneaux de liquide de lave-glaces par an. Je n'arrive pas à ne pas nettoyer le pare-brise au moins une fois par trajet. Sinon, ça m'angoisse. Pas de raisons particulières à ça.
3/ Comme Ashley, Big Ray et art.truk( voir les coms d'Ashley) , j'ai la manie de tout ouvrir. En toutes saisons et particulièrement quand il fait frais ou qu'il pleut. J'adore l'odeur de la pluie. Et pour reparler de la voiture (ça vous gonfle que je ne parle que de ça? Moi non) , je roule toujours fenêtre grande ouverte par tous les temps. Je ne supporte pas que ce soit fermé. La peur de ne pas pouvoir sortir en marche? Probablement...
4/ Je n'aime pas manger très chaud. Donc, quand un plat m'arrive, j'attends qu'il refroidisse au grand dam de mes convives qui finissent longtemps avant moi. Je pousse le vice jusqu'à rajouter de l'eau froide dans mes boissons chaudes pour pouvoir les boire plus rapidement sans attendre que la thermodynamique ne fasse son oeuvre.
5/ Enfin et toujours à table, je trie absolument tout. Servez moi une salade composé par exemple, et je vais tout grignoter ingrédient par ingrédient. Selon le plat, ça peut vite tourner au pensum. Pour les autres. Ca les gonfle prodigieusement les gens avec qui je mange, mais c'est plus fort que moi. Et ça rallonge d'autant le repas (cf 4/). Avis à ceux ou celles qui voudraient m'inviter au resto.
Alors, c'est grave? Dites moi siouplééééééé
jeudi, juillet 26, 2007
Mobilier et voyage
Lun des aspects les plus fourbes du canapé d'angle, hormis qu'une fois dedans on n'a plus du tout envie d'en sortir (d'où dillettantisme du blog), c'est que ceux qui n'en possèdent pas, une fois essayé ne jurent que par lui. C'est le cas de la pauvre Sixtine qui, suite à des avis mal intentionnés de ma part et de celle d'Ashley, est tombée sous le charme au point de ne plus en dormir tant elle est obsédée. D'où expédition d'exploration hier.
Tout a commencé par Paragraphe. Avant même d'entrer, Sixtine faisait une bonne affaire en dénichant un carton non déballé et qui contenait donc encore tous ses trésors. En l'occurrence, une très jolie table fleur, destinée maintenant à faire chevet sdans son futur chez elle. Arrivé au rayon canapé, essayages multiples de notre part. C'est le canapé choisi par Chérie qui emporta tous les suffrages. En attendant. Une table basse plus tard (pas encore achetée, nous le verrons plus tard) et une lampe à LED que moi perso j'adorais mais que j'étais le seul et que donc je n'ai pas achetée, et nous étions dehors en route vers Con Faux Rama, vu que Sixtine avait repéré des canapés sur leur site. Et c'est là que nous avons constaté que souvent les photos de catalogue n'étaient pas du tout réalistes. C'était assez horrible. Le temps de ce constat et nous voilà dehors. Et là, idée collégiale: et si nous allions voir Hic & Ha ? Loin mais pas trop et découverte pour Sixtine. En route donc. Arrivés sur place, nous testâmes tout ce qui pouvait l'être, genre comme à la maison, et nouveau coup de foudre de Sixtine. Hélas, les tracasseries suédoises au niveau de la livraison hypothétique ou pas en fonction des couleurs, la plongèrent dans un abîme de perplexité dont elle n'est toujour pas sortie. Nous ne partîmes pas toutefois les mains vide, Chérie ayant trouvé une table basse en bois (le verre c'est le mal absolu au niveau de l'entretien) ainsi que des poubelles de tri sélectif (Chérie est très à cheval là-dessus). Enfin, retour à la case départ pour récupérer la table basse presque achetée. La Touingo commençait à être un peu pleine malgré touts ses possibilités de rangement.
Bilan: grosses marrades, excursion avec repas pris sur place et menues emplettes. Sans oublier le choix cornélien auquel Sixtine est confrontée.Allez le voir chez elle, c'est merveilleusement décrit. La suite au prochain épisode.
Tout a commencé par Paragraphe. Avant même d'entrer, Sixtine faisait une bonne affaire en dénichant un carton non déballé et qui contenait donc encore tous ses trésors. En l'occurrence, une très jolie table fleur, destinée maintenant à faire chevet sdans son futur chez elle. Arrivé au rayon canapé, essayages multiples de notre part. C'est le canapé choisi par Chérie qui emporta tous les suffrages. En attendant. Une table basse plus tard (pas encore achetée, nous le verrons plus tard) et une lampe à LED que moi perso j'adorais mais que j'étais le seul et que donc je n'ai pas achetée, et nous étions dehors en route vers Con Faux Rama, vu que Sixtine avait repéré des canapés sur leur site. Et c'est là que nous avons constaté que souvent les photos de catalogue n'étaient pas du tout réalistes. C'était assez horrible. Le temps de ce constat et nous voilà dehors. Et là, idée collégiale: et si nous allions voir Hic & Ha ? Loin mais pas trop et découverte pour Sixtine. En route donc. Arrivés sur place, nous testâmes tout ce qui pouvait l'être, genre comme à la maison, et nouveau coup de foudre de Sixtine. Hélas, les tracasseries suédoises au niveau de la livraison hypothétique ou pas en fonction des couleurs, la plongèrent dans un abîme de perplexité dont elle n'est toujour pas sortie. Nous ne partîmes pas toutefois les mains vide, Chérie ayant trouvé une table basse en bois (le verre c'est le mal absolu au niveau de l'entretien) ainsi que des poubelles de tri sélectif (Chérie est très à cheval là-dessus). Enfin, retour à la case départ pour récupérer la table basse presque achetée. La Touingo commençait à être un peu pleine malgré touts ses possibilités de rangement.
Bilan: grosses marrades, excursion avec repas pris sur place et menues emplettes. Sans oublier le choix cornélien auquel Sixtine est confrontée.Allez le voir chez elle, c'est merveilleusement décrit. La suite au prochain épisode.
mardi, juillet 24, 2007
Reprise
Désolés pour hier, cher lectorat, mais le canapé d'angle, fourbe comme la rivière et impitoyable comme le chêne vert est vraiment peu propice au blogage. Surtout quand la boîte à couenneries télévisuelles est allumée juste en face et que Chérie est langoureusement allongée dessus. De plus, la journée d'hier a été un peu chargée.
Ca a commencé dès le matin où j'ai rejoint mon poste de manutentionnaire rangeur-jeteur, travail qui a pris la matinée et a mordu sur la pause déjeuner. Pas grave, je n'avais pas trop faim. J'ai continué en endossant le costume de messager, travail qui consiste à se rendre à la Poste (oui, je les hais mais pas le choix) , vérifier le tarif de divers colis destinés à des contrées exotiques. Ibé quand tu nous tiens... Il y avait aussi une remise de paquet en mains propres, chose qui m'a fait poireauter des plombes, mon interlocutrice, pas sympa du tout lors de la remise, ayant décidé de lambiner. J'ai été heureusement sauvé par la présence d'une terrasse de bistro où j'ai pu siroter un café afin de calmer mes nerfs. Egalement, des remises de chèques à la banque. Ibé toujours. Là, j'ai eu un moment de répit que j'ai mis à contribution pour voir ce que la haine paie oeufs avait à me proposer. J'ai réussi à isoler deux offres pas trop pourries dont un poste d'accueilleur dans un cyber. Tiens, etpourquoi pas? En plus, c'est à deux pas de chez moi. Donc, vas-y que je bichonne CV et lettre de motivation, histoire d'apparaître sous mon meilleur jour. Il était temps de passer à l'impression. Et la, argh!!! Mon imprimante, sans m'avoir prévenu de quelque façon que ce soit, avait décidé que la cartouche d'encre noire était trépassée. Donc, recherche désespérée de sa succession dans mini apart de moi à grand renfort de jurons qui auraient fait passer le capitaine Haddock pour une rosière. Vous aurez sans doute remarqué, si vous êtes un tant soit peu pagailloux, qu'une fois rangés, certains objets deviennent introuvables, ce qui était présentement le cas. Mais la persévérance aidant, je finis par remettre la main dessus. Changement donc et lancement de l'impression. Pas mieux du tout et encore des feuilles foutues en l'air (au passage, un grand merci à Sixtine pour la ramette). Grand désespoir de ma part. Jusqu'à ce que je me dise in petto que si je lançais un nettoyage des têtes d'impressions ce ne serai pas du luxe Dont acte. Et là, youpi, tout s'était arrangé. Sauf que l'heure pour remettre ma candidature était passée et que je devais attendre le lendemain. A ce moment là, j'ai estimé que j'avais bien mérité de rejoindre Chérie. A chaque jour suffit sa peine.
Vous l'avez demandé, la voici, la photo de mon tout nouveau neveu. Après une bataille juridique intense avec les ayant droit, j'ai eu enfin l'autorisation de mettre en ligne les clichés. Voici donc Roman.

Lors de la prise de photos, ce charmant bambin n'avait qu'une vingtaine d'heure d'existence au compteur. L'est pas choubidou ce petit?
Juste une nouvelle photo pour montrer à Ashley (que dans pas longtemps elle nous annonce une grande nouvele) que ce petit a des yeux. Tout petits d'accord,mais il en a. Les parents ne se sont pas faits arnaquer.
Non mais.
Ca a commencé dès le matin où j'ai rejoint mon poste de manutentionnaire rangeur-jeteur, travail qui a pris la matinée et a mordu sur la pause déjeuner. Pas grave, je n'avais pas trop faim. J'ai continué en endossant le costume de messager, travail qui consiste à se rendre à la Poste (oui, je les hais mais pas le choix) , vérifier le tarif de divers colis destinés à des contrées exotiques. Ibé quand tu nous tiens... Il y avait aussi une remise de paquet en mains propres, chose qui m'a fait poireauter des plombes, mon interlocutrice, pas sympa du tout lors de la remise, ayant décidé de lambiner. J'ai été heureusement sauvé par la présence d'une terrasse de bistro où j'ai pu siroter un café afin de calmer mes nerfs. Egalement, des remises de chèques à la banque. Ibé toujours. Là, j'ai eu un moment de répit que j'ai mis à contribution pour voir ce que la haine paie oeufs avait à me proposer. J'ai réussi à isoler deux offres pas trop pourries dont un poste d'accueilleur dans un cyber. Tiens, etpourquoi pas? En plus, c'est à deux pas de chez moi. Donc, vas-y que je bichonne CV et lettre de motivation, histoire d'apparaître sous mon meilleur jour. Il était temps de passer à l'impression. Et la, argh!!! Mon imprimante, sans m'avoir prévenu de quelque façon que ce soit, avait décidé que la cartouche d'encre noire était trépassée. Donc, recherche désespérée de sa succession dans mini apart de moi à grand renfort de jurons qui auraient fait passer le capitaine Haddock pour une rosière. Vous aurez sans doute remarqué, si vous êtes un tant soit peu pagailloux, qu'une fois rangés, certains objets deviennent introuvables, ce qui était présentement le cas. Mais la persévérance aidant, je finis par remettre la main dessus. Changement donc et lancement de l'impression. Pas mieux du tout et encore des feuilles foutues en l'air (au passage, un grand merci à Sixtine pour la ramette). Grand désespoir de ma part. Jusqu'à ce que je me dise in petto que si je lançais un nettoyage des têtes d'impressions ce ne serai pas du luxe Dont acte. Et là, youpi, tout s'était arrangé. Sauf que l'heure pour remettre ma candidature était passée et que je devais attendre le lendemain. A ce moment là, j'ai estimé que j'avais bien mérité de rejoindre Chérie. A chaque jour suffit sa peine.
Vous l'avez demandé, la voici, la photo de mon tout nouveau neveu. Après une bataille juridique intense avec les ayant droit, j'ai eu enfin l'autorisation de mettre en ligne les clichés. Voici donc Roman.
Juste une nouvelle photo pour montrer à Ashley (que dans pas longtemps elle nous annonce une grande nouvele) que ce petit a des yeux. Tout petits d'accord,mais il en a. Les parents ne se sont pas faits arnaquer.
dimanche, juillet 22, 2007
Comme un dimanche
Aujourd'hui, rien de bien spécial à raconter. Déjà, lever fort tard pour cause de sortie tardive hier. Ben oui, repas gastronomique à base de pizzas chez une amie en compagnie de Chérie et blablatage jusqu'à une heure avancée de la nuit. Avec comme excès juste une grosse coupe de glace à na noix de coco. Donc, grosse flemme d'un dimanche passé à larver sur le beau nouveau canapé (trop bien foutu pour ce genre d'activité au demeurant) et à zapper sur toutes les conneries télévisuelles que permet une Vie Boîte. Ca vide bien le cerveau ce programme mais ce n'est pas désagréable.
Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont apporté leur sympathie suite à mon post de samedi. Ca fait chaud au coeur d'être soutenu comme ça et d'avoir un lectorat fidèle et compatissant. Je tiens à vous rassurer, le moral reste bon.
Pas grand chose à ajouter à ça. Je serai plus bavard demain je pense. Et, promis, juré, je vous mettrai un cliché de mon neveu tout neuf.
Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont apporté leur sympathie suite à mon post de samedi. Ca fait chaud au coeur d'être soutenu comme ça et d'avoir un lectorat fidèle et compatissant. Je tiens à vous rassurer, le moral reste bon.
Pas grand chose à ajouter à ça. Je serai plus bavard demain je pense. Et, promis, juré, je vous mettrai un cliché de mon neveu tout neuf.
samedi, juillet 21, 2007
Caramba
Désolé de vous avoir laissé en plan cher lectorat mais hier je n'avais pas trop le coeur à bloguer. La jpournée avait pourtant bien commencé. Jusqu'à 9h58. Là, coup de fil sur mon perdable. Les résultats pour le boulot? J'étais tout excité. Je décroche, tremblant de tous mes membres, et là, patatras. Juste ce que je ne voulais pas entendre :"Ca s'est joué à rien du tout mais c'est l'autre candidat qui a été retenu, nous sommes désolés et gardons votre candidature sous le coude au cas où, blah, blaf, blah". Grosse déception donc. Et puis, qu'est-ce que j'en ai à faire qu'il y ait eu presque rien ou tout un wagon? Ca ne change rien à l'histoire. Mais bon, il y aura d'autres occasions et la Terre continue de tourner quand même. Je reste optimiste quant à mon retour dans le monde des travailleurs. Et pour me consoler, je suis allé faire un tour chez C'est Lit? Oh! où qu'il y avait des soldes et me suis acheté un beau pantalon pour presque rien. Oui, je compense ma frustration par la surconsommation. Et de toute façon, c'est la faute à Chérie qui n'aurais jamais dû me lâcher dans un centre commercial dans cet état d'esprit. Non, même pas vrai. C'est entièrement de mon propre chef et j'avais réellement besion d'un nouveau pantalon, qu'avec tout ce que j'ai perdu en gras, quasiment tous les autres tombent au point que je suis contraint de serrer ma ceinture comme un malade pour éviter d'avoir le froc aux chevilles par la seule action de la gravité universelle. Donc, il me fallait réellement de quoi habiller décemment mes fesses, et ce de façon urgente.
Sinon, ce matin, livraison du tout nouveau canapé d'angle de Chérie qu'il est trop beau et confortable, mais trop lourd aussi et que, comme l'ascenseur est en panne, les livreurs se sont tapés 3 étages à pieds les pauvres. Ca m'a fait faire du bricolage avec moult trucs çà visser, ce dans quoi j'excelle, vous l'aurez compris. Voilà la bête.
Sinon, ce matin, livraison du tout nouveau canapé d'angle de Chérie qu'il est trop beau et confortable, mais trop lourd aussi et que, comme l'ascenseur est en panne, les livreurs se sont tapés 3 étages à pieds les pauvres. Ca m'a fait faire du bricolage avec moult trucs çà visser, ce dans quoi j'excelle, vous l'aurez compris. Voilà la bête.
Impressionnant non? Je n'ai pas réussi à avoir assez de recul pour le prendre en entier. C'est vous dire la taille. On va pouvoir se vautrer comme des malades sans aucun souci. Chic!!!
jeudi, juillet 19, 2007
Bricolage
Aujourd'hui a été marqué pour moi du sceau du travail manuel. Dès ce matin, passage chez Sixtine en compagnie de Chérie afin d'optimiser les préparatifs des mises en cartons et autres rangements. Il faut dire que Chérie possède un certain talent dans ces domaines que ne renierait pas Monica Geller. Du coup, j'ai été reclassé à la manutention des cartons et autes sacs poubelle. Pas très gratifiant mais il fallait bien que quelqu'un s'en charge. Et pourquoi pas le seul membre dans l'assistance du sexe prétendu fort? Mais la journée n'était pas terminée pour mes petits bras musclés. Chérie avait des projets d'amélioration du coin à ordi et c'est donc tout naturellement que nous nous sommes rendus chez Vol, enseigne bien connue pour tout ce qui concerne le mobilier. Etant bien renseignée sur ce qu'elle voulait (en fait ça faisait un mois qu'elle l'avait repéré le joli meuble), Chérie n'a fait ni ne ni deux et a pris l'objet de ses désirs. Et à votre avis qui s'est chargé de prendre les deux colis afin de les caser dans le coffre de la Touingo? Je vous le donne en mille. Et une fois rentré, la hâte nous a pris et... j'ai monté le meuble. Vous me direz sans doute, vous qui avez farfouillé dans mes archives, que ça courait à la catastrophe compte tenu de mes maigres talents en matière de bricolage. Et bien non. Assez étrangement, mes papattes si maladroites en d'autres circonstances, deviennet quasi expertes dès lors qu'il s'agit de meubles à monter avec touts sortes de vis et la petite clé qui le fait bien. Devraient me recruter chez Hic & Ha ou chez Paragraphe. Je leur monterais la baraque en deux temps trois mouvements.
Joli non? Je vais avoir du mal à lâcher la place maintenant. Pauvre Chérie.
Le résultat chez Chérie donne ça:
mercredi, juillet 18, 2007
Yipee!!!
Après une courte nuit de sommeil pour cause d'angoisse de l'entretien.
Lever ce matin vers 6h30 alors que le réveil était réglé pour une heure plus tard. Au moins, je ne risquais pas d'être en retard. J'en ai profité pour me pomponner quasi comme un rendez-vous galant. A commencer par un rasage de près avec mon nouveau rasoir à plein de lames qu'il est trop bien et que je l'ai eu gratos. J'en ai profité également pour passer un bon coup de tondeuse sur touts les poils et cheveux qui dépassaient. Pour la tête, j'ai eu droit aux mains expertes de Chérie. Puis, bonne douche pour être tout propre et beau et accessoirement pour enlever les rebuts des actions précédentes. Et comme j'ai été conseillé en cosmétique par l'experte Sixtine, je n'ai pas lésiné sur la crème hydratante qui le fait bien, le contour des yeux et le défatigant visage, que je voulais avoir trop l'air en forme. Un bon moment de passé qui m'a un peu déstressé. Puis, petit dèj' sur le pouce pour cause de boule au ventre. Il n'y a que le café qui a pu passer ainsi qu'une pauvre madeleine. Remarquez que je n'allais pas courir un marathon et que, pour le moment, je pouvais me passer de sucres lents.
8h20, départ. Pour être plus certain, j'avais imprimé le plan pour y aller. On n'est jamais assez prudent. O joie, pas de circulation. Les festivaliers devaient ancore cuver leur soirée de la veille. D'où, arrivée sur les lieux vers 8h35. 25 minutes à attendre donc. Je ne tardai pas à découvrir le mini bistro du coin où je me jetais un petit expresso en lisant la presse quotidienne régionale. Retour sur les lieux vers 8h50. Là, j'étais blindé bien qu'ayant le coeur battant un peu vite. Qui a dit que j'étais anxieux?
8h55. Très bon accueil de mes interlocutrices (sans petits gâteaux toutefois) qui en ont profité pour me féliciter du fait d'être arrivé tôt. J'ai pris ça pour un bon signe. Et là, nous sommes entrés dans le vif du sujet. 3/4h de mise sur le grill. Etonnament après deux minutes de flottement, je me suis senti à mon aise. Les conseils d'Ashley sans doute qui me promettais que j'allais tout déchirer. Nouveau bon point, mes recruteuses (oh que c'est vilain ce mot) m'ont fait participer à leur débriefing. Mis à part mon manque de confiance en soi (rien de nouveau là) et le souci que je suis trop diplômé pour ce poste, que du positif. Je sens que ma future carrière est sur de bons rails. Résultats définitifs dans deux ou trois jours. Mais enfin confiant Vivement le prochain appel.
Pour les photos, il va falloir attendre d'avoir les droits. Je ne veux pas le faire sans l'assentiment des parents qui sont, à juste titre, assez débordés en ce moment. Faudra donc patienter.
Lever ce matin vers 6h30 alors que le réveil était réglé pour une heure plus tard. Au moins, je ne risquais pas d'être en retard. J'en ai profité pour me pomponner quasi comme un rendez-vous galant. A commencer par un rasage de près avec mon nouveau rasoir à plein de lames qu'il est trop bien et que je l'ai eu gratos. J'en ai profité également pour passer un bon coup de tondeuse sur touts les poils et cheveux qui dépassaient. Pour la tête, j'ai eu droit aux mains expertes de Chérie. Puis, bonne douche pour être tout propre et beau et accessoirement pour enlever les rebuts des actions précédentes. Et comme j'ai été conseillé en cosmétique par l'experte Sixtine, je n'ai pas lésiné sur la crème hydratante qui le fait bien, le contour des yeux et le défatigant visage, que je voulais avoir trop l'air en forme. Un bon moment de passé qui m'a un peu déstressé. Puis, petit dèj' sur le pouce pour cause de boule au ventre. Il n'y a que le café qui a pu passer ainsi qu'une pauvre madeleine. Remarquez que je n'allais pas courir un marathon et que, pour le moment, je pouvais me passer de sucres lents.
8h20, départ. Pour être plus certain, j'avais imprimé le plan pour y aller. On n'est jamais assez prudent. O joie, pas de circulation. Les festivaliers devaient ancore cuver leur soirée de la veille. D'où, arrivée sur les lieux vers 8h35. 25 minutes à attendre donc. Je ne tardai pas à découvrir le mini bistro du coin où je me jetais un petit expresso en lisant la presse quotidienne régionale. Retour sur les lieux vers 8h50. Là, j'étais blindé bien qu'ayant le coeur battant un peu vite. Qui a dit que j'étais anxieux?
8h55. Très bon accueil de mes interlocutrices (sans petits gâteaux toutefois) qui en ont profité pour me féliciter du fait d'être arrivé tôt. J'ai pris ça pour un bon signe. Et là, nous sommes entrés dans le vif du sujet. 3/4h de mise sur le grill. Etonnament après deux minutes de flottement, je me suis senti à mon aise. Les conseils d'Ashley sans doute qui me promettais que j'allais tout déchirer. Nouveau bon point, mes recruteuses (oh que c'est vilain ce mot) m'ont fait participer à leur débriefing. Mis à part mon manque de confiance en soi (rien de nouveau là) et le souci que je suis trop diplômé pour ce poste, que du positif. Je sens que ma future carrière est sur de bons rails. Résultats définitifs dans deux ou trois jours. Mais enfin confiant Vivement le prochain appel.
Pour les photos, il va falloir attendre d'avoir les droits. Je ne veux pas le faire sans l'assentiment des parents qui sont, à juste titre, assez débordés en ce moment. Faudra donc patienter.
mardi, juillet 17, 2007
Croisons les doigts
Demain, c'est le grand jour. Avec peut-être un nouveau job à la clé. Va falloir que j'assure. Soutenez moi gentils lecteurs.
Sinon, retour de Montpellier où j'ai vu et mitraillé mon neveu tout neuf. Il est trop jouli. 51 cm pour 3.630kg, il est quasiment parfait. Non, je ne l'ai pas pris dans mes bras, j'avais trop peur de le laisser tomber. Et de toute façon, il y avait suffisamment de bras pour lui. Je me suis contenté du reportage photo pour le reste de la famille qui n'a pas pu faire le déplacement.
A part ça, c'est un peu jour off. D'où petit billet de ce jour pour vous faire patienter. J'aurai sans doute plus de choses à raconter demain.
Et un grand merci à tout le monde pour les félicitations. Je transmettrai aux heureux parents.
P.S. Pas de photos. Déjà il me faut l'assentiment des parents (signature de contrats de droits à l'image, avocats, etc...) . Et le câble de connexion de l'APN est chez Chérie alors que je suis chez moi.
Sinon, retour de Montpellier où j'ai vu et mitraillé mon neveu tout neuf. Il est trop jouli. 51 cm pour 3.630kg, il est quasiment parfait. Non, je ne l'ai pas pris dans mes bras, j'avais trop peur de le laisser tomber. Et de toute façon, il y avait suffisamment de bras pour lui. Je me suis contenté du reportage photo pour le reste de la famille qui n'a pas pu faire le déplacement.
A part ça, c'est un peu jour off. D'où petit billet de ce jour pour vous faire patienter. J'aurai sans doute plus de choses à raconter demain.
Et un grand merci à tout le monde pour les félicitations. Je transmettrai aux heureux parents.
P.S. Pas de photos. Déjà il me faut l'assentiment des parents (signature de contrats de droits à l'image, avocats, etc...) . Et le câble de connexion de l'APN est chez Chérie alors que je suis chez moi.
lundi, juillet 16, 2007
Tonton?
Grande nouvelle ce midi. Jolie soeur (compagne de mon frère Yann) vient d'entrer à la maternité. Résultats pas avant 17h. Le petit Roman est en route. Juste avant les vacances de son père. S'il n'est pas complice ce petit. Lui permettre d'avoir 3 jours de rab. Je suis donc pendu au téléphone à attendre les dernières du front. Bien joué de la part de Sixtine qui m'a confié plein de joulies affaires moins d'une semaine avant l'évènement.
Sinon, hier, j'ai été super content de voir Chérie entre deux convoyages d'adolescentes. Il a même été décidé d'aller enrichir l'industrie cinématographique made in US. Faut dire qu'elle est un peu fan de Bruce Willis. Donc, visionnage de son dernier opus. Sans popcorn ni soda. Faut pas déconner non plus. Bilan? C'est distrayant malgré un scénario un peu mince. Pas de quoi se rouler par terre, mais on passe un bon moment entre deux poursuites, bagarres ou autres explosions du plus bel effet. J'y ai trouvé en outre quelques références assez marrantes au reste de la série ainsi qu'à d'autres films d'action. Et puis, passer un peu plus de deux heures dans le noir à tenir la mimine de Chérie, ça se savoure.
Ce matin, retour à la dure réalité de la collecte de cartons. Eh oui, ça continue.
J'ai constaté ces dreniers jours, lors de ma visite sur la blogosphère, la profusion de jeux concours. Celui du jour vous est présenté par Ashley. Participez nombreux, c'est trop bien. Je crois bien que je vais céder à cette mode et en proposer un de mon cru. Va falloir que je me creuse les méninges. A suivre donc...
P.S. Roman est né à 19h. C'est un beau bébé de 3.6 kg. Me voilà, donc tonton. Ca me fait tout drôle.
Sinon, hier, j'ai été super content de voir Chérie entre deux convoyages d'adolescentes. Il a même été décidé d'aller enrichir l'industrie cinématographique made in US. Faut dire qu'elle est un peu fan de Bruce Willis. Donc, visionnage de son dernier opus. Sans popcorn ni soda. Faut pas déconner non plus. Bilan? C'est distrayant malgré un scénario un peu mince. Pas de quoi se rouler par terre, mais on passe un bon moment entre deux poursuites, bagarres ou autres explosions du plus bel effet. J'y ai trouvé en outre quelques références assez marrantes au reste de la série ainsi qu'à d'autres films d'action. Et puis, passer un peu plus de deux heures dans le noir à tenir la mimine de Chérie, ça se savoure.
Ce matin, retour à la dure réalité de la collecte de cartons. Eh oui, ça continue.
J'ai constaté ces dreniers jours, lors de ma visite sur la blogosphère, la profusion de jeux concours. Celui du jour vous est présenté par Ashley. Participez nombreux, c'est trop bien. Je crois bien que je vais céder à cette mode et en proposer un de mon cru. Va falloir que je me creuse les méninges. A suivre donc...
P.S. Roman est né à 19h. C'est un beau bébé de 3.6 kg. Me voilà, donc tonton. Ca me fait tout drôle.
dimanche, juillet 15, 2007
Mon antre
Aujourd'hui c'est dimanche et j'ai trop la flemme de blablater après la montagne de cartons faits chez Sixtine.C'est pour quoi, j'ai emprunté à Shalima cette idée de reportage photo de chez moi pour que vous puissiez voir d'où je blogue. Et, comme j'ai un tout petit appartement, ça va être vite fait.
Commençons par le commencement, c'est à dire mon bureau/table à manger/bronx divers.
Oui, c'est de là que je surfe dans la blogosphère. Avec un ordinateur pas portable du tout assemblé de bris et de broc par mes soins.Vous constaterez que j'ai une vue imprenable sur rien du tout. Sauf, un peu sur la gauche, mon unique fenêtre avec vue imprenable sur le chantier d'à côté.

En même temps, j'embrasse quasiment toute le panorama de chez moi rien qu'en tournant la tête. Un quart de tour vers la droite et vous avez mon canapé/lit et ma PAL
(pile à lire)
On remarquera sur l'image la profusion de télécommandes totalement impromptue dans un si petit espace. Et aussi que je ne fais pas mon lit si souvent que ça.
Un quart de tour vers la gauche et vous avez mon étagère universelle avec un peu de tout dessus
On notera l'emplacement un peu incongru de mon micro-ondes, mais je n'avais que là où le mettre. Le coin cuisine, vous l'avez déjà vu quand j'ai adopté ma cafetière.
Voilà, vous avez fait le tour du locataire. Vous aurez constaté que je n'ai aucun gène commun avec Bree Van de Kamp, Monica Geller Bing pour le rangement ni avec Valérie d'Amidot pour la déco.
Commençons par le commencement, c'est à dire mon bureau/table à manger/bronx divers.
En même temps, j'embrasse quasiment toute le panorama de chez moi rien qu'en tournant la tête. Un quart de tour vers la droite et vous avez mon canapé/lit et ma PAL
(pile à lire)
Un quart de tour vers la gauche et vous avez mon étagère universelle avec un peu de tout dessus
Voilà, vous avez fait le tour du locataire. Vous aurez constaté que je n'ai aucun gène commun avec Bree Van de Kamp, Monica Geller Bing pour le rangement ni avec Valérie d'Amidot pour la déco.
samedi, juillet 14, 2007
Début de ouikande
Je vous l'ai déjà dit, ce ouikande est off en ce qui concerne Chérie. Et comme je ne suis pas encore millionnaire (ça viendra une fois que j'aurai ce foutu boulot après lequel je galope désèspérément) , il n'est pas trop question de me ruer dans plein de spectacle du festival (pas donnés au demeurant, mais faut bien qu'ils vivent), que j'ai plein de tracts, d'où, en plus, hésitation dans le choix. Si on écoute les gentils gens qui vendent leur spectacle au cours de parades et autres représentations sur les diverses places de la ville, tout est vachement bien. D'où dilemme. En plus, l'aprème il fait super chaud et je préfère rester chez moi tous volets fermés à essayer de siester en vain. Et le matin quand il fait encore bon, je suis employé en tant que manutentionnaire chez une personne qui a un déménagement imminent (bon, c'est à la fin du mois, mais elle anticipe grave) . Me reste donc le soir.
Hier, ça a été regardage de télévision et des trucs affligeants de l'été. Tout d'abord, le traditionnel Koh Lanta. Deux bandes soi-disant abandonnées sur une île paradisiaque. En fait, ils sont suivis par toute une équipe de télévision, que s'il leur arrive quelque chose, ils ont le rapatriement sanitaire quasi instantané. Admettons, ils n'ont pas grand chose à manger et la production leur impose plein d'épreuves tout aussi difficiles que stupides et pas inédites. Le mangeage de larves répugnantes est par exemple un grand classique. Et tout ça pour éliminer l'un d'entre eux à la fin, qu'il ne doit en rester qu'un au bout de l'aventure. Dans la foulée, nous arrivons à ce que je considère actuellement comme le degré zéro de la télé réalité, j'ai nommé secret story. Je dis bien actuellement, vu qu'il doit exister des têtes pensantes en train de nous concocter pire encore. Là, j'ai tenu 5 minutes montre en main. Je n'ai même pas attendu la fin où Benji tente d'entretenir un ersatz de suspense quant au nom de celui ou celle qui va sortir. De toute façon, 5 minutes ça suffit pour voir que rien ne se passe dans la maison, que la production essaie désespérément d'animer avec des soirées à thème. Hier soir, c'était le bal des pompiers. Et je crois que si ces derniers intentent un procès pour diffamation à téhèfouane, ça ne me surprendrait pas du tout. Vous me direz certainement qu'il existe toute un panel d'autres chaînes. Mais un bref moment de zapping démontre que ça ne vaut pas franchement mieux ailleurs.
Tout ça pour dire que je me suis vacciné pour un moment contre la télévision vespérale de l'été. Ce soir, c'est décidé, je sors, au minimum pour louer un DVD, voire pour une toile ou une pièce. A moins que je ne décide d'aller à l'encontre de ce qu'on m'a demandé et que je ramène toute une batterie d'instruments exotiques à percussion qui font beaucoup de bruit et encombrent un maximum à qui vous savez (ricanements sardoniques).
Hier, ça a été regardage de télévision et des trucs affligeants de l'été. Tout d'abord, le traditionnel Koh Lanta. Deux bandes soi-disant abandonnées sur une île paradisiaque. En fait, ils sont suivis par toute une équipe de télévision, que s'il leur arrive quelque chose, ils ont le rapatriement sanitaire quasi instantané. Admettons, ils n'ont pas grand chose à manger et la production leur impose plein d'épreuves tout aussi difficiles que stupides et pas inédites. Le mangeage de larves répugnantes est par exemple un grand classique. Et tout ça pour éliminer l'un d'entre eux à la fin, qu'il ne doit en rester qu'un au bout de l'aventure. Dans la foulée, nous arrivons à ce que je considère actuellement comme le degré zéro de la télé réalité, j'ai nommé secret story. Je dis bien actuellement, vu qu'il doit exister des têtes pensantes en train de nous concocter pire encore. Là, j'ai tenu 5 minutes montre en main. Je n'ai même pas attendu la fin où Benji tente d'entretenir un ersatz de suspense quant au nom de celui ou celle qui va sortir. De toute façon, 5 minutes ça suffit pour voir que rien ne se passe dans la maison, que la production essaie désespérément d'animer avec des soirées à thème. Hier soir, c'était le bal des pompiers. Et je crois que si ces derniers intentent un procès pour diffamation à téhèfouane, ça ne me surprendrait pas du tout. Vous me direz certainement qu'il existe toute un panel d'autres chaînes. Mais un bref moment de zapping démontre que ça ne vaut pas franchement mieux ailleurs.
Tout ça pour dire que je me suis vacciné pour un moment contre la télévision vespérale de l'été. Ce soir, c'est décidé, je sors, au minimum pour louer un DVD, voire pour une toile ou une pièce. A moins que je ne décide d'aller à l'encontre de ce qu'on m'a demandé et que je ramène toute une batterie d'instruments exotiques à percussion qui font beaucoup de bruit et encombrent un maximum à qui vous savez (ricanements sardoniques).
vendredi, juillet 13, 2007
Du bon et du mauvais
J'ai bien reçu la confirmation ce matin. L'entretien est bel et bien mercredi prochain. vivement que ça arrive, je ne tiens plus en place. Hélas, cette bonne nouvelle a été ternie par l'accident aussi stupide que tragique qui est arrivé à mon APN. Stupide car si je l'avais rangé correctement, il ne serait pas tombé de toute la hauteur de mon lit (35 cm environ) sur le sol. Tragique car depuis il ne s'allume plus. De plus, quand je le secoue, il fait un drôle de gling gling au niveau de l'emplacement des piles. J'ai quand même réussi à sauvegarder les photos qui s'y trouvaient sur mon disque dur. Maintenant, c'est à joli-papa qui s'y connait plutôt bien en la matière de prononcer un diagnostic que j'espère optimiste. Ou alors à mon cousin qui a une idée derrière la tête sur la nature des blessures. Si ça pouvait se faire ce ouikande, ce serait parfait. En attendant, je me caille le sang et je n'ose pas tout démonter avec mes petites papattes, mes talents de bricoleur étant, comme vous devez vous en douter, réduits à leur plus simple expression. On verra bien.
Sinon, ces prochains jours s'annoncent plutôt bien malgré la canicule naissante et l'absence de Chérie que je ne reverrai au plus tôt que lundi soir. Ben oui, on a eu 34°C hier. Pas mal non? Et vu que tout le monde doit avoir maintenant du soleil et de la chaleur, je n'admettrai aucune plainte de mon lectorat. Et en ce qui concerne Chérie, elle a à gérer un troupeau d'adolescentes tout ce ouikande avec amenage au macumba night local ainsi qu'en d'autres lieux de perdition. Sans compter le couchage et le nourrissage de ces charmantes têtes blondes. Souhaitez lui bon courage, ça ne va pas être de tout repos cette affaire là. Je la plains beaucoup, moi qui risque de passer le plus monumental ouikande de glandouille jamais atteint depuis environ trois siècles. Peut-être irai-je trainer du côté du marché aux artisans pas trop loin de chez moi, histoire de voir les derières nouveautés en matière de djembés et autres bâtons de pluie,sans compter les traditionnelles fringues made in exoticland.
J'espère vous donner de bonnes nouvelles d'ici à très bientôt, photos à l'appui (j'ai mis mon espoir dans le seigneur... Et non, je n'ai pas succombé à l'évangélisme galopant de Nathalie, ci-devant voisine de Sixtine).
P.S. 14h21 wéééééééééééééé!!!APN est tiré d'affaire! Tout ça grâce à joli-papa qui a su émettre un diagnostic rapide et qui a su inventer l'outil trop bien adapté:
C'est ça. Trop de la mécanique de précision. Joli-papa, trop c'est le prof de Mc Gyver. Encore merci à lui pour tout ce qu'il a fait. Comme quoi, plein d'années d'expérience feront toujours la différence (j'ai déjà entendu ça quelque part, pas vous?).
Sinon, ces prochains jours s'annoncent plutôt bien malgré la canicule naissante et l'absence de Chérie que je ne reverrai au plus tôt que lundi soir. Ben oui, on a eu 34°C hier. Pas mal non? Et vu que tout le monde doit avoir maintenant du soleil et de la chaleur, je n'admettrai aucune plainte de mon lectorat. Et en ce qui concerne Chérie, elle a à gérer un troupeau d'adolescentes tout ce ouikande avec amenage au macumba night local ainsi qu'en d'autres lieux de perdition. Sans compter le couchage et le nourrissage de ces charmantes têtes blondes. Souhaitez lui bon courage, ça ne va pas être de tout repos cette affaire là. Je la plains beaucoup, moi qui risque de passer le plus monumental ouikande de glandouille jamais atteint depuis environ trois siècles. Peut-être irai-je trainer du côté du marché aux artisans pas trop loin de chez moi, histoire de voir les derières nouveautés en matière de djembés et autres bâtons de pluie,sans compter les traditionnelles fringues made in exoticland.
J'espère vous donner de bonnes nouvelles d'ici à très bientôt, photos à l'appui (j'ai mis mon espoir dans le seigneur... Et non, je n'ai pas succombé à l'évangélisme galopant de Nathalie, ci-devant voisine de Sixtine).
P.S. 14h21 wéééééééééééééé!!!APN est tiré d'affaire! Tout ça grâce à joli-papa qui a su émettre un diagnostic rapide et qui a su inventer l'outil trop bien adapté:

mercredi, juillet 11, 2007
Boulot?
Ca y est! après une longue attente, que je me demandais s'ils n'allaient jamais me contacter, j'ai enfin eu ma convocation pour l'entretien d'embauche final. C'est pour mercredi prochain. Croisez bien les doigts pour moi d'ici là. Le plus marrant a été que cet emploi est à la poste. Et devinez où j'étais quand mon perdable a sonné pour cette bonne nouvelle? Je vous le donne en mille. Depuis, c'est l'exaltation totale. Enfin du boulot après 30000 refus. Je peux vous dire que l'inactivité commençais à me porter sur les nerfs. Ce qui est un peu dommage, c'est que je risque de devoir déménager, le poste n'étant pas dans ma ville mais à une trentaine de kilomètres. Juste au moment où, grâce à tous vos bons conseils, je commençais à faire de mon clapier un véritable appartement. Mais bon, rien n'est fait pour le moment et ne nous emballons pas. Mais bon, j'ai quand même fêté ça en prenant un pot sur une jolie place pas loin de chez moi en compagnie de Sixtine qui en a profité pour prendre plein de joulies photos à voir chez elle. Et après, ramenage de cartons chez elle. Faut bien qu'elle mette tous ses trucs quelque part pour son déménagement. Mais le retour a été folklo. J'ai fait le trajet quasiment à l'aveuglette, vu la pile que je trimballais.
Sinon, ce matin, j'ai redécouvert quelque chose. L'arôme du café qui se fait. Ca fait trop de bien aux narines et au moral ce genre de truc. Et puis ça commence à faire vraiment installé maintenant. Je me mets même à avoir de menues idées d'améliorations pour le reste. Et comme je vais gagner plein de sous (on continue à croiser les doigts), je vais pouvoir investir. Note pour plus tard: dévaliser Paragraphe. Promis, il y aura des photos.
Sinon, ce matin, j'ai redécouvert quelque chose. L'arôme du café qui se fait. Ca fait trop de bien aux narines et au moral ce genre de truc. Et puis ça commence à faire vraiment installé maintenant. Je me mets même à avoir de menues idées d'améliorations pour le reste. Et comme je vais gagner plein de sous (on continue à croiser les doigts), je vais pouvoir investir. Note pour plus tard: dévaliser Paragraphe. Promis, il y aura des photos.
mardi, juillet 10, 2007
Du mouvement dans ma maison
Bon, j'ai une nouvelle chaise, découverte lors d'une visite on ne sais jamais dans les combles de l'immeuble où j'habite. Merci Mister proprio. L'autre est allée rejoindre le paradis du petit mobilier via un passage moins glorieux au conteneur à déchets du coin. Je ne résiste d'ailleurs pas au plaisir de vous la montrer avant son dernier passage pour vous prouver que non, décidément, plus rien n'était possible pour la sauver et qu'elle ne pouvait pas non plus être recyclée, même temporairement, en meuble à cafetière.
La cafetière, venons y. Normalement, dès ce soir je devrais en adopter une gracieusement offerte par Rose et Jean (ma môman et mon joli-papa) qui viennent d'en changer pour cause de volume devenu insuffisant. Et comme j'ai fait un peu de rangement chez moi, notamment au niveau du coin cuisine, j'ai de quoi la poser sur mon mini plan de travail, du moins tant que je ne fais rien cuire. Mais généralement en été, je me nourris quasi exclusivement de crudités et de rôti de porc froid. Donc; pas de souci de ce côté là. Et si me venait l'envie de manger chaud, j'ai plein de place au dessus de ma hotte pour la ranger. J'en profite pour dire un grand merci à tous les gens qui prennent la peine de me lire pour leurs conseils éclairés. De toute manière, bientôt miss cafetière aura son petit meuble tout exprès pour elle à peu près à l'endroit où se trouve ma défunte chaise sur la photo ci-dessus. Il y aura d'autres clichés pour vous montrer l'adoption.
Sinon, journée agréable au niveau météo. Vers 10h30 ce matin il ne faisait que 19°C avec un petit mistral bien sympathique. La canicule n'est pas encore arrivée. Pourvu que ça dure. Ca permet au moins de participer aux tâches de rangement jetage chez Sixtine sans top mourir de déshydratation. Et dieu sait s'il y a du boulot.
P.S. de20h37 : ça y est, elle est arrivée.
Regardez comme elle est belle. A moi les joies du bon café maintenant et finies les vilaines bactéries. Pour le meuble à aller chercher chez Paragraphe, c'est à suivre.
Sinon, journée agréable au niveau météo. Vers 10h30 ce matin il ne faisait que 19°C avec un petit mistral bien sympathique. La canicule n'est pas encore arrivée. Pourvu que ça dure. Ca permet au moins de participer aux tâches de rangement jetage chez Sixtine sans top mourir de déshydratation. Et dieu sait s'il y a du boulot.
P.S. de20h37 : ça y est, elle est arrivée.
Regardez comme elle est belle. A moi les joies du bon café maintenant et finies les vilaines bactéries. Pour le meuble à aller chercher chez Paragraphe, c'est à suivre.
lundi, juillet 09, 2007
Café et soldes
Trop je suis un pro du bricolage! La molette que j'ai bougée hier soir sur mon chauffe-eau était la bonne. J'ai donc à nouveau de l'eau bien chaude. Ce qui ne m'empêche pas d'envisager l'adoption très prochaine d'une vraie cafetière. Ce serait quand même mieux que de faire ce que je fais actuellement. Mais d'abord, je dois envisager l'emplette d'un petit meuble où la poser. C'est d'ailleurs ça qui m'a fait hésiter depuis tout ce temps. Mais comme je n'envisage pas l'arrivée d'un monstre de technologie ni un truc qui fait deux mètres cubes de café, ça devrait pouvoir se faire assez vite.Je vous tiens au courant.
Ce matin, lever tôt. Grâces en soient rendues aux ouvriers du chantier d'à côté qui font un boucan de tous les diables à grand renfort de perceuses et autres outils électriques. Pas grave. Je devais de toute manière être sur le pont pour aller faire un saut chez Paragraphe voir ce qu'ils soldaient. Mais comme ce n'est qu'à l'instant que je me rappelle la nécessité du petit meuble dont j'ai parlé plus haut, rien n'a avancé si ce n'est que je n'ai pas encore écorné (waw les anagrammes) mon petit budget. C'est bien la première fois que je suis aussi sage lors des soldes. Pourvu que ça dure. Mais le retour à Paragraphe est imminent et je vais claquer du blé vu que ma chaise pliante de devant l'ordi vient de s'affaisser de façon irrémédiable et que donc je suis obligé de terminer debout. Pas super pratique.
Ce matin, lever tôt. Grâces en soient rendues aux ouvriers du chantier d'à côté qui font un boucan de tous les diables à grand renfort de perceuses et autres outils électriques. Pas grave. Je devais de toute manière être sur le pont pour aller faire un saut chez Paragraphe voir ce qu'ils soldaient. Mais comme ce n'est qu'à l'instant que je me rappelle la nécessité du petit meuble dont j'ai parlé plus haut, rien n'a avancé si ce n'est que je n'ai pas encore écorné (waw les anagrammes) mon petit budget. C'est bien la première fois que je suis aussi sage lors des soldes. Pourvu que ça dure. Mais le retour à Paragraphe est imminent et je vais claquer du blé vu que ma chaise pliante de devant l'ordi vient de s'affaisser de façon irrémédiable et que donc je suis obligé de terminer debout. Pas super pratique.
dimanche, juillet 08, 2007
Epilogue
Je pensais que les tribulations du chauffe-eau étaient terminées. Eh bien non. Figurez vous que ce brave appareil tourne à l'économie et que donc il me fait une sorte d'eau tiédasse. Pas l'eau brûlante que j'attendais (pas pour la douche en ce moment) et qui me sert à me faire mon café soluble du matin. Oui, je suis une grosse feignasse du petit dèj'. Mais bon. Vu que je n'ai pas de cafetière (je compte lancer un faffwahthon pour remédier à cet état de fait), je fais un peu ce que je peux. Et vous, chers lecteurs, savez vous comment on règle un chauffe-eau? Parce que moi non. Je suis l'antithèse du mâle bricoleur. Déjà, il m'a fallu déployer des trésors de patience pour retrouver l'unique tournevis que je possède. Ensuite, démontage d'un capot pour chercher un thermostat. Je n'ai rien trouvé de ressemblant si ce n'est une espèce de molette graduée de 1 à 4. J'ai donc mis le machin sur 4. Qui vivra verra. Déjà, je n'ai rien fait sauter, donc rien de grave. Pour les résultats, on se réfèrera à l'instantané de demain matin. Je vous tiens au courant.
Sinon, journée paisible en famille avec des températures clémentes. Que 27°C à 11h du matin et donc une petite trentaine au maximum. Faut pas que ça monte encore. Là, je suis à la limite. Pour celles et ceux qui vivent encore dans un froid polaire, je dirai qu'il est quand même plus facile de se protéger du froid que du chaud. Il n'y a qu'à se couvrir plus. Là, avec 28°C dans mon appart, je ne sais plus quoi faire, vu que je suis déjà à moitié à walpé et avec un pauvre ventilo qui fait ce qu'il peut avec ses petites pales. Je suis prêt à échanger avec un inuit.
Sinon, journée paisible en famille avec des températures clémentes. Que 27°C à 11h du matin et donc une petite trentaine au maximum. Faut pas que ça monte encore. Là, je suis à la limite. Pour celles et ceux qui vivent encore dans un froid polaire, je dirai qu'il est quand même plus facile de se protéger du froid que du chaud. Il n'y a qu'à se couvrir plus. Là, avec 28°C dans mon appart, je ne sais plus quoi faire, vu que je suis déjà à moitié à walpé et avec un pauvre ventilo qui fait ce qu'il peut avec ses petites pales. Je suis prêt à échanger avec un inuit.
samedi, juillet 07, 2007
Suite et fin
Hosanna, hosanna, ça y est, c'est fait!
Donc, ce matin, lever aux aurores vu que mister proprio avait dit qu'il passerait tôt. Erreur funeste. Le proprio est fourbe quand il s'agit d'horaires. Et muet quand essaie de le joindre sur son portable. A moins qu'il ne soit sourd et ne l'entende pas sonner. Quoi qu'il en soit, vers 10h45 (à peine un peu plus de deux heures de retard) , le voilà, accompagné d'un arpète de choc. Comme le proprio est fier, il ne s'abaisse pas à s'excuser. Et voilà que commencent les travaux.Tout d'abord, vider l'eau qui reste dans le chauffe-eau subitement décédé. Là, ça a été folklorique, vu que ni proprio ni arpète ne maîtrisaient l'art, ô combien délicat de la plomberie. Ca coulait au rythme d'un verre pas trop grand à l'heure. Nous n'étions pas rendus.Après moult tâtonnements, ils finirent par trouver le truc. Mais il subsistait un léger problème. Le plus grand récipient possible dans mon appartement ne dépasse pas le volume considérable de trois litres. Ca allait donc un poil plus vite mais ça ressemblait touours au remplissage du tonneau des Danaïdes avec un dé à coudre. Vers midi et quart, l'opération était terminée. Restait à installer le nouveau. Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est relativement malaisé à manipuler ce genre de truc. Et vu l'espace de travail et l'éclairage quasi absent de ce coin, je m'attendais au pire. Que nenni. En une petite vingtaine de minutes, tout était rentré dans l'ordre. Je pouvais enfin prétendre avoir de l'eau chaude dans un avenir pas trop lointain. Juste quand les premières grosses chaleurs de l'été arrivaient avec leur cortège de températures supérieures à 30°C, que là, de l'eau chaude je n'en veux plus, même pour me raser, que l'eau chaude c'est mieux paraît-il. L'évacuation de la victime se déroula sans trop de difficultés, malgré une cage d'escalier étroite et tortueuse. Pour fêter ça, je pris mon courage à deux mains pour affronter la canicule naissante (que ceux qui veulent de la chaleur, je peux leur en envoyer par paquets) , pour aller à K Roof faire quelques menues emplettes. Fallait pas déconner, il faisait faim à cette heure là. Une fois la panse remplie, rangeage des écuries d'Augias. Sacré boulot qui m'a permis de redécouvrir des fringues que je croyais à jamais disparues. Une bonne chose qui me permet à présent de résister aux sirènes des soldes. Vade retro!
L'ordre apparent qui règne sur mes affaires. Ce n'est hélas que provisoire. J'ai encore tout plein de trucs à caser sur ces satanées étagères. Ca risque de se transformer en empilages façon Jenga. Mais pour le moment, je n'ai pas le courage de le faire. Arrêtons nous donc à cette délicieuse sensation du travail accompli
Donc, ce matin, lever aux aurores vu que mister proprio avait dit qu'il passerait tôt. Erreur funeste. Le proprio est fourbe quand il s'agit d'horaires. Et muet quand essaie de le joindre sur son portable. A moins qu'il ne soit sourd et ne l'entende pas sonner. Quoi qu'il en soit, vers 10h45 (à peine un peu plus de deux heures de retard) , le voilà, accompagné d'un arpète de choc. Comme le proprio est fier, il ne s'abaisse pas à s'excuser. Et voilà que commencent les travaux.Tout d'abord, vider l'eau qui reste dans le chauffe-eau subitement décédé. Là, ça a été folklorique, vu que ni proprio ni arpète ne maîtrisaient l'art, ô combien délicat de la plomberie. Ca coulait au rythme d'un verre pas trop grand à l'heure. Nous n'étions pas rendus.Après moult tâtonnements, ils finirent par trouver le truc. Mais il subsistait un léger problème. Le plus grand récipient possible dans mon appartement ne dépasse pas le volume considérable de trois litres. Ca allait donc un poil plus vite mais ça ressemblait touours au remplissage du tonneau des Danaïdes avec un dé à coudre. Vers midi et quart, l'opération était terminée. Restait à installer le nouveau. Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est relativement malaisé à manipuler ce genre de truc. Et vu l'espace de travail et l'éclairage quasi absent de ce coin, je m'attendais au pire. Que nenni. En une petite vingtaine de minutes, tout était rentré dans l'ordre. Je pouvais enfin prétendre avoir de l'eau chaude dans un avenir pas trop lointain. Juste quand les premières grosses chaleurs de l'été arrivaient avec leur cortège de températures supérieures à 30°C, que là, de l'eau chaude je n'en veux plus, même pour me raser, que l'eau chaude c'est mieux paraît-il. L'évacuation de la victime se déroula sans trop de difficultés, malgré une cage d'escalier étroite et tortueuse. Pour fêter ça, je pris mon courage à deux mains pour affronter la canicule naissante (que ceux qui veulent de la chaleur, je peux leur en envoyer par paquets) , pour aller à K Roof faire quelques menues emplettes. Fallait pas déconner, il faisait faim à cette heure là. Une fois la panse remplie, rangeage des écuries d'Augias. Sacré boulot qui m'a permis de redécouvrir des fringues que je croyais à jamais disparues. Une bonne chose qui me permet à présent de résister aux sirènes des soldes. Vade retro!
vendredi, juillet 06, 2007
Plomberie suite
Voilà, encore un après-midi un peu foutu en l'air vu que mon proprio a passablement oublié de m'appeler pour me dire quand il devait passer. Il semblerait qu'il ait perdu mon numéro de téléphone. Et pagesjaunes.fr, c'est pour les chiens? Finalement, il a opté pour la solution je ne fais pas appel à l'artisanat local, je le fais moi-même. Et il a apporté le nouveau chauffe-eau. Reste plus qu'à le monter. et ça, c'est demain matin aux aurores. Envolés les rêves de grasse matinée avec Chérie. Et pour couronner le tout, il a laissé le chauffe-eau sur le palier. Ca ne fait pas du tout Bronx ce truc là.
Ici, vous avez le coupable de toutes ces aventures.
Et là son successeur. Vous remarquerez comme il meuble bien le palier et la cage d'escalier.
Ca me promet un super ouikande ça. Va falloir négocier serré avec Chérie. Ou alors, je la laisserai dormir et partirai sur la pointe des pieds.
Ici, vous avez le coupable de toutes ces aventures.
jeudi, juillet 05, 2007
Plomberie
Il y en a pour qui c'est la serrure qui pose problème. En ce qui me concerne, c'est plutôt la plomberie.Ben oui, mon chauffe-eau a rendu l'âme dimanche soir en faisant sauter les plombs alors que j'étais tranquille à lire des blogs. Après moult jurons et à l'aide d'un briquet, je me suis déplacé à tâtons vers le tableau électrique pour voir ce qui se passait. Là, il a fallu essayer tous les fusibles pour voir ce qui clochait. Et un briquet, ça crame un peu les doigts au bout d'un moment. Et, bien sûr, c'est le dernier qui a rendu son verdict. Le chauffe-eau déconnait. Il allait falloir se passer d'eau chaude au moins jusqu'au lendemain. Lundi matin donc, appelage du proprio qui ne répond jamais et qui se manifeste toujours des plombes plus tard. Patience mon amie... Au bout d'une journée, miracle, il a donné signe de vie. Bon, d'accord, il était en vacances et ne rentrait pas avant jeudi.Et il fallait trouver un plombier disponible pour changer le chauffe-eau. On n'y était pas encore. Ben si. Normalement, ça devrait se faire cet après-midi. Avec toutes formes de réserves, tant je l'ai senti impliqué lors de son appel. On verra. En attendant, j'ai préféré m'expatrier chez Chérie pour ne pas avoir à me doucher à l'eau glacée. J'entends déjà les réflexions : "oui, il a saboté lui-même son chauffe-eau pour aller squatter avec madame, c'est trop bien joué". J'aurais pu. Mais non. Parce que, vu qu'il est situé juste derrière les étagères et la penderie où j'ai mes fringues, il m'a fallu tout virer pour que ce soit accessible. Et mon appart est dans un désordre sans nom. Je n'ose même pas vous en faire profiter via photo tellement c'est horrible. Je peux juste m'assoir devant l'ordi. C'est tout. Tous mes espoirs reposent donc sur la célérité de l'artisanat local. Pitié, faites que ça aille vite.
P.S. Pas de photos du bowdel abiant d'ici pour cause d'APN chez Chérie. Demain peut-être. Mais une tête connue. Cherchez bien.
P.P.S A la demande générale, un petit cliché pour illustrer le boxon de chez moi en attendant l'intervention de l'artisanat local. Je vous raconterai
P.S. Pas de photos du bowdel abiant d'ici pour cause d'APN chez Chérie. Demain peut-être. Mais une tête connue. Cherchez bien.

mardi, juillet 03, 2007
Plus de peur que de mal finalement. C'est donc rassuré que je vais vous conter mes dernières péripéties. Tout d'abord, ce fut un week-end chargé en festivités diverse puisqu'il n'y avait pas moins de deux anniversaires, un anniversaire de mariage et un départ à la retraite. Du lourd donc. Mais pas au niveau du buffet qui était fort bon ma foi et plein de bons légumes qui font du bien. A ma grande honte, j'avais oublié APN, ce qui vous privera du look de l'année qui consistait en un superbe pantalon à petits carreaux jaunes et blancs surmonté d'une chemise à fleurs de type hawaïen du plus bel effet. Dommage. Signalons au passage la fourberie de la sangria qui fit quelques victimes, la version familiale étant particulièrement réussie. Heureusement que du couchage sur place était prévu pour ces malheureux. Un bon moment de passé donc. Le lendemain fut consacré au finissage des restes, épreuve parfois difficile pour ceux qui, après une brève nuit de sommeil, se voyaient, quasiment au réveil, proposer un nouvel apéritif et des monceaux de victuailles. Tout cela se passa sous un ciel légèrement menaçant et nous eûmes même droit à une averses. Mais oui, il peut pleuvoir début juillet dans le sud de notre beau pays. Dire que la semaine prochaine nous remettons ça. L'été commence bien.
lundi, juillet 02, 2007
dimanche, juillet 01, 2007
La photo pour Sixtine
Dans son commentaire du dernier post, Sixtine a fait remarquer l'absence de filles en bikini. J'avais prévu le coup et donc, je vais publier une photo de filles à moitié nues prise à la paparazzi sur la plage.
On remarquera le cadrage un peu foireux genre cliché pris un peu à la ramasse.
Désolé pour les filles mais je n'ai pas d'éphèbe en stock. S'il y a de la demande, je ferai un effort la prochaine fois.
Voilà. C'était le post racoleur du dimanche soir après un week-end de fêtes d'anniversaire. Je vous raconterai ça la prochaine fois. Maintenant, je ne peux pas, je digère.
Désolé pour les filles mais je n'ai pas d'éphèbe en stock. S'il y a de la demande, je ferai un effort la prochaine fois.
Voilà. C'était le post racoleur du dimanche soir après un week-end de fêtes d'anniversaire. Je vous raconterai ça la prochaine fois. Maintenant, je ne peux pas, je digère.
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